Le poème ‘Comment ça Finit’ de David Solway se penche sur les paradoxes de la vie, où l’ironie s’entrelace avec les réalités des relations humaines. Écrit au 20ᵉ siècle, ce poème résonne particulièrement dans un monde où les émotions et les conflits interpersonnels sont omniprésents. L’auteur nous invite à réfléchir sur notre propre existence à travers des images saisissantes et une diction mordante.
Je pense à mon oncle Aby,
Lui mauvais avec les femmes,
abattus par des guêtres domestiques,
eu un accident vasculaire cérébral et un babillage.
Que reste-t-il à faire ? Hé, sois
compagnon de l’ironie,
Transformez vos dièses en bémols,
agir comme un chien galeux
quand elle part et peut-être
par report, vous pouvez tourner
un bravo barbare,
et être par nature couronné.
Alors voici ce que je dirai : « Moi
bête illettrée, de parent bâtard.
Moi la grammaire n’est pas si bonne. C’est
pourquoi les divisions et les querelles abondent.
Et : « Moi j’ai la rage.
Moi je ne peux pas gagner.
Moi à l’envers comme des chauves-souris.
Je cours dans le sol.
Eh bien, c’est comme ça qu’on peut voir
l’acte de dépréciation,
dernier recours des rats érotiques
qui perdent ce qu’ils ont trouvé.
Lui mauvais avec les femmes,
abattus par des guêtres domestiques,
eu un accident vasculaire cérébral et un babillage.
Que reste-t-il à faire ? Hé, sois
compagnon de l’ironie,
Transformez vos dièses en bémols,
agir comme un chien galeux
quand elle part et peut-être
par report, vous pouvez tourner
un bravo barbare,
et être par nature couronné.
Alors voici ce que je dirai : « Moi
bête illettrée, de parent bâtard.
Moi la grammaire n’est pas si bonne. C’est
pourquoi les divisions et les querelles abondent.
Et : « Moi j’ai la rage.
Moi je ne peux pas gagner.
Moi à l’envers comme des chauves-souris.
Je cours dans le sol.
Eh bien, c’est comme ça qu’on peut voir
l’acte de dépréciation,
dernier recours des rats érotiques
qui perdent ce qu’ils ont trouvé.
En conclusion, ‘Comment ça Finit’ nous pousse à examiner notre rapport avec l’ironie et les défis de nos relations. N’hésitez pas à partager vos réflexions sur ce poème ou à découvrir d’autres œuvres de David Solway.