Le poème ‘Concordances’ d’Alphonse Beauregard nous plonge dans un univers mélancolique où les souvenirs résonnent à travers le temps. Écrit au 19ᵉ siècle, ce poème illustre avec délicatesse comment la nature et les éléments se mêlent aux émotions humaines, rendant hommage aux moments fugaces de notre existence. Découvrez les vers touchants qui font écho à nos propres réflexions sur le passage du temps.
Le même triste accent vient toujours des rapides,
Toujours les mêmes flots font le même circuit
En recueillant le rêve et l’espoir dans leurs rides.
Je l’ai senti déjà le vent de cette nuit ;
Il conserva mes paroles et les répète,
Et de naïfs couplets renaissent avec lui.
Un firmament connu resplendit sur ma tête.
Toujours les mêmes flots font le même circuit
En recueillant le rêve et l’espoir dans leurs rides.
Je l’ai senti déjà le vent de cette nuit ;
Il conserva mes paroles et les répète,
Et de naïfs couplets renaissent avec lui.
Un firmament connu resplendit sur ma tête.
En conclusion, ‘Concordances’ nous rappelle que chaque moment de notre vie est empreint de souvenirs. Nous vous invitons à explorer davantage les œuvres d’Alphonse Beauregard et à partager vos impressions sur ce poème chargé d’émotions.