Dans ‘Foi du Petit’, Daniel Biga nous plonge au cœur d’une réflexion existentielle où la notion de perte et de gain se conjugue avec une approche ironique. Écrit au XXᵉ siècle, ce poème reste pertinent dans un monde où les honneurs et les échecs s’entremêlent, offrant une perspective unique sur notre condition humaine.
Si rien n’est jamais gain rien non plus n’est jamais perdition toi le plus lourd le plus grossier et le peu intelligent
celui dont la langue s’entortille bafouille le plus maladroit le moins à l’aise toi le perdant des causes visibles « les premiers sont les derniers » la bête offerte en sacrifice si ton
fumet plaît aux narines de l’Esprit ainsi soit-il
celui dont la langue s’entortille bafouille le plus maladroit le moins à l’aise toi le perdant des causes visibles « les premiers sont les derniers » la bête offerte en sacrifice si ton
fumet plaît aux narines de l’Esprit ainsi soit-il
À travers ‘Foi du Petit’, Biga nous invite à méditer sur la nature des victoires et des défaites. N’hésitez pas à plonger plus profondément dans son œuvre pour découvrir d’autres réflexions éclairantes.