Dans son poème ‘J’adore la Banlieue avec Ses Champs en Friche’, François Coppée nous transporte dans une exploration émotive de la banlieue. Ce poème, écrit à la fin du 19ᵉ siècle, évoque une période où la région était en pleine transformation. À travers des images vivantes et une mélancolie palpable, l’auteur parvient à capturer la beauté des lieux délaissés, invitant le lecteur à apprécier ce qui est souvent négligé.
J’adore la banlieue avec ses champs en friche
Et ses vieux murs lépreux, où quelque ancienne affiche
Me parle de quartiers dès longtemps démolis.
Ô vanité ! Le nom du marchand que j’y lis
Doit orner un tombeau dans le Père-Lachaise.
Je m’attarde. Il n’est rien ici qui ne me plaise,
Même les pissenlits frissonnant dans un coin.
Et puis, pour regagner les maisons déjà loin,
Dont le couchant vermeil fait flamboyer les vitres,
Je prends un chemin noir semé d’écailles d’huîtres.
Et ses vieux murs lépreux, où quelque ancienne affiche
Me parle de quartiers dès longtemps démolis.
Ô vanité ! Le nom du marchand que j’y lis
Doit orner un tombeau dans le Père-Lachaise.
Je m’attarde. Il n’est rien ici qui ne me plaise,
Même les pissenlits frissonnant dans un coin.
Et puis, pour regagner les maisons déjà loin,
Dont le couchant vermeil fait flamboyer les vitres,
Je prends un chemin noir semé d’écailles d’huîtres.
En conclusion, François Coppée nous rappelle l’importance de voir la beauté dans les détails de notre environnement. N’hésitez pas à partager vos impressions sur ce poème et à explorer d’autres œuvres de cet auteur remarquable.