Les Contes de Terremer
Dans le berceau des temps, où les voix du futur
Étaient tissées d'espoir, de rêve et de murmure,
Les cœurs battaient au rythme des étoiles, sans fin,
Cherchant dans l'obscur la lumière du destin.
Tel un fleuve ardent, coulant vers l'océan,
Nos vies, minuscules vaisseaux, affrontent le courant.
Chercheurs de vérité, à la quête de notre essence,
Nous naviguons, écrivant notre propre légende.
Entre ciel et terre, notre regard se perd,
Dans l'immensité d'un univers, si vaste et si clair.
Sous la voûte céleste, où les comètes dansent,
Chaque âme scintille, chaque rêve commence.
Les continents de sentiments, vastes et profonds,
Abritent les jardins secrets où fleurissent nos passions.
Dans ces terres méconnues, où l'homme rarement pénètre,
Se cachent les trésors que même la mort ne peut dismettre.
Les pages du temps, d'une énigme précieuse couronnées,
Sont gravées de récits, de destins entrelacés.
Encre indélébile sur le tissu de l'existence,
Témoins silencieux de notre humaine persistance.
Lorsque le vent de l’histoire souffle sur les braises,
Des épopées anciennes, des amours éteintes se raniment à l'aise.
Dans le souffle des dieux, dans le cri des batailles,
Vivent les échos du courage, des larmes, des médailles.
Sur le fil du temps, danse le poète,
Tisse les mots d'or et d'argent, en quête
De la beauté cachée dans l'ombre des jours,
Il donne voix à l'invisible, amour.
Dans le labyrinthe de nos esprits, des ponts se construisent,
Reliant des mondes, des idées, que la raison exclut, épuise.
Là, dans le silence, parle la poésie,
Un langage universel, brisant les chaînes de l'ennui.
De l'aube jusqu'au crépuscule, dans le cycle éternel,
Nous foulons les sentiers de l'existence, tels des éternels.
Dans la chaleur et le froid, dans la joie et dans la peine,
Chaque pas une note, dans la grande symphonie du vivant, s’enchaîne.
La sagesse des âges, comme une rivière souterraine,
Coule sous nos pieds, guide nos pas vers la plaine.
Où la paix s’étend, vastes champs de l’après,
Lieu de repos pour l'esprit, oasis de sagesse.
Et alors que notre quête s'achève, au seuil du dernier rêve,
Les mots, telles des étoiles, dans le firmament se lèvent.
Ils parlent d'unité dans la diversité infinie,
D'un voyage commun, dans l'immensité de la vie.
Voici les contes de Terremer, histoires tissées d'amour et de lumière,
Où chaque mot est un univers, chaque vers une frontière.
Dans cet espace entre les mots, réside l’essence vraie,
Réfléchissant les nuances de l’existence, dans leur richesse cachée.
Car dans le miroir de la poésie, nos vies se reflètent,
Dévoilant le véritable visage de notre quête.
À travers les âges, les mots voyagent, puissants,
Portant en eux l'essence même de nos aspirations, brillants.
Ainsi, lorsque la lune monte, argentée et sereine,
Regardez au-delà des ombres, vers la lumière qui vous mène.
Car dans chaque cœur bat un fragment du grand mystère,
Et dans chaque souffle, se vit un conte de Terremer.
Dans cette immensité tissée de rêves et de réalité,
Nous sommes les navigateurs de notre propre destinée.
Aux confins de l'âme humaine, là où tout commence et tout finit,
Réside l'univers infini de la poésie.
