Poème sur la nature, Voix de la Terre, s’ouvre sur le dialogue silencieux entre l’homme et la nature, une symphonie de vie à chaque coin.
Au cœur d'un monde constamment bouleversé, où le tumulte de la vie moderne envahit chaque pore de l'existence, il reste un sanctuaire immuable, un havre de paix et de beauté intemporelle : la nature. "Voix de la Terre : Poème sur la Nature", est un voyage poétique qui nous invite à écouter et à traduire les murmures de notre planète, à travers des vers enchanteurs qui nous rappellent notre lien indélébile avec elle.
Dans un ballet éternel, les saisons défilent, emportant avec elles les témoignages du temps, sculptant la surface de notre monde avec un art majestueux et éphémère. Chaque bourgeon qui éclot, chaque feuille qui frémit, chaque ruisseau qui serpente à travers la forêt, est une syllabe dans le langage ancien de la Terre, un mot d'amour et de vie envoyé à notre âme souvent sourde aux appels de notre maison commune.
Sous le vaste firmament
Sous le vaste firmament, l'astre du jour entame sa ronde céleste,
Baignant de sa lumière dorée les champs, les monts, et les côtes désertes.
Au lever du soleil, la rosée scintille, telle une myriade de joyaux éphémères,
Chaque goutte, un univers, chaque rayon, une promesse de vie éternelle.
Les forêts, sentinelles millénaires, élèvent vers le ciel leurs branches séculaires,
Dans un murmure, elles content l'histoire de la Terre, ses rires, et ses colères.
Les feuilles, en choeur, dansent et oscillent au rythme des vents vagabonds,
Un ballet silencieux, témoignage d'une harmonie qui défie les âges et les horizons.
Au bord des eaux murmures
Au bord des eaux murmures, où le temps semble suspendu,
La vie s'écoule, paisible, dans le reflet d'un monde inversé et nu.
Ici, un poisson frôle la surface, disséquant un rayon de lumière,
Là, une fleur de lotus émerge, pureté éphémère, étoile de cette rivière.
Les cascades, en leur chute, jouent une mélodie de cristal,
Un chant puissant qui traverse les vallées, majestueux et astral.
Dans ces profondeurs cachées, ces abysses mystérieuses,
Résident les secrets les mieux gardés, les âmes curieuses.
Entre le ciel et la terre
Entre le ciel et la terre, le vol majestueux de l'aigle se déploie,
Dans cette immensité bleue, il est le maître, libre de toute loi.
En-dessous, le vert patchwork des prairies s'étale,
Un tapis vivant, où chaque fleur, chaque brin d'herbe révèle une morale.
Les montagnes, dans leur stoïque silence, défient les siècles,
Leurs sommets enneigés, des phares dans le crépuscule, éternels.
Et au cœur de ces géants, dans les failles et les crevasses,
Se cachent des jardins secrets, des paradis perdus, où le temps efface.
Lorsque la nuit dévoile ses mystères
Lorsque la nuit dévoile ses mystères, et que le silence règne enfin,
Le ciel, d'un noir profond, s'illumine d'étoiles, fin tissu divin.
La lune, dans sa ronde immuable, veille sur le monde endormi,
Sa lumière argentée, un phare dans l'obscurité, guide les âmes dans la nuit.
C'est dans ces heures suspendues, où la nature semble retenir son souffle,
Que l'on prend conscience de sa majesté, de son infinie beauté, sauf.
Elle, qui depuis l'aube des temps, façonne, nourrit et abrite,
Mérite notre respect, notre amour, pour que jamais elle ne s'effrite.
"Voix de la Terre : Poème sur la Nature", plus qu'une simple ode, c'est un appel,
Un rappel que nous sommes les enfants de cette Terre, ses sentinelles.
Dans chaque recoin de ce monde, dans chaque battement de son cœur immense,
Réside un fragment de ce tout, un appel à la préservation, à l'essence.
Alors, écoutons les murmures de la Terre, harmonisons nos actions et nos rêves,
Pour que les générations futures puissent encore admirer, aimer, et rêver sans trêves.
Dans l'union avec notre mère nature, dans un respect mutuel et profond,
Résident l'espoir, l'avenir, et la promesse d'un monde meilleur, un monde où tout répond.
Le poème se termine sur un appel à préserver notre monde, la nature étant non seulement notre foyer mais aussi notre futur.
