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L’Odyssée de Amer Béton

L’Odyssée de Amer Béton’ est un poème qui vous emmène dans les rues animées d’un monde urbain, où la fraternité et la lutte pour la survie dominent. Cette oeuvre poétique peint un tableau vivant de la vie en ville, explorant les liens fraternels et la résilience face aux épreuves de l’existence. Chaque strophe dépeint avec intensité les défis et les espoirs de ceux qui luttent chaque jour pour s’affirmer et survivre dans un environnement impitoyable.

Pour vous plonger dans ce poème riche en images et en émotions, il est important de se laisser emporter par les mots et les vers. Voici L’Odyssée de Amer Béton.


Odyssée Urbaine: Fraternité et Résilience dans les Ruelles de la Ville

Dans les ruelles sombres et sans fin de la cité,
Les murs parlent d’histoires jamais contées,
Des soupirs d’espoir, de lutte insolente,
D’un monde flou, où tout se réinvente.

L’Odyssée de Amer Béton commence ici,
Entre les ombres de béton raffermi,
Deux frères, piliers d’une réalité en friche,
Des héros ordinaires dans un monde maléfique.

Les gratte-ciels aux aguets, silhouettes farouches,
Surveillent leurs pas, connivents sous la touche,
De ce ciel urbain, où le vent siffle, amer,
Comme le goût d’un rêve, abrupt et sévère.

Les frères du béton, piliers de l’ombre,
Aux âmes éprouvées mais jamais sombres,
Leurs cœurs battent aux rythmes des pavés,
À chaque écho, des histoires ravivées.

Taro, le sage, aux yeux perçants,
Capte l’instant, prévoyant et constant,
Hisako, l’impétueux, brûlant de vie,
Le cœur en braise, défie nuit et dystopie.

Dans leur mains calleuses, l’espoir réside,
Une lueur timide dans un monde hybride,
Les ruelles se muent en arènes bouillantes,
Où chaque jour est une épreuve brûlante.

Les graffiti, messages d’une jeunesse en deuil,
Reflètent l’amer déclin, des luttes sans orgueil,
Des visages marqués, des regards de braise,
Rivalisent d’éclats dans ce cosmos de glaise.

Sous ce ciel d’urbanité où les rêves se consument,
Où chaque note d’espoir soudainement se parfume,
Amer Béton résonne de promesses intimes,
D’un avenir résilient malgré mille abîmes.

La lumière, rare, trace des cercles d’or,
Révélant des secrets, échos de trésors,
Les frères avancent, porteurs d’une flamme,
Leurs âmes, incandescentes, vibrent en gamme.

Les fenêtres qui s’ouvrent sur des vies en suspens,
Murmurent des récits d’espoir incessant,
Chaque jour est une page, chaque nuit une quête,
Dans ce grand livre d’ombre, où la lune fait sa fête.

Les rues sont des veines où circule le temps,
Drapées d’un voile, irréel et poignant,
Les voitures en flux, les hommes sans regard,
Les voix se mêlent, tissent un chant hagard.

Les murs de cloisons, où des vies résonnent,
Vibrent sous le poids des histoires qu’ils sonnent,
Le béton, amère source de survie,
Sculpté par le temps, par des mains endurcies.

Voici les marchés où naïveté s’échange,
Des sourires forcés, des secrets qui dérangent,
Les enfants, silhouettes furtives dans la brume,
Poupées de chiffon dans ce théâtre posthume.

Un monde parallèle dans chaque ruelle,
Où les ombres se jouent des lanternes frêles,
La nuit dévoile des danseurs d’incertitude,
Des âmes errantes, en quête d’amplitude.

Le béton, miroir des craintes et des espoirs,
Écumé de graffitis comme un vaste grimoire,
Chaque trait, un cri, chaque couleur, un rêve,
Suspendu dans l’éther entre deux trêves.

Les frères, guides dans cette mer d’incertitude,
Partagent la charge du monde avec gratitude,
Leurs cœurs battent en staccato de révolte,
Ensemble, ils renversent les ombres qu’ils sculptent.

Sous les éclaircies rares d’un destin incertain,
Ils trouvent leur force dans l’union des mains,
Chaque épreuve transcende en une victoire muette,
Les âmes, granitiques, la vie comme allumette.

Quand le jour se lève, éclairant le béton,
Les frères avancent dans l’incandescence du pardon,
Leur legs, ce testament écrit de sueurs et de larmes,
Est une poétique ode aux cœurs en armes.

En chaque lurbin d’espoir brille un éclat,
L’essence même de ‘Amer Béton’, le combat,
Rien n’efface les pas des éclats de survie,
Quand le cœur embrasse un rêve inassouvi.

Dans cette ville de béton amer, réside,
Un cosmos de promesses, de destins en orbite,
Chaque vers tracer une toile complexe,
Où se jouent les drames et les rêves réflexes.

Taro et Hisako, sous l’ombre des gratte-ciel,
Peignent des fresques d’espoir au fusain, rebelles,
Leurs âmes insoumises, leurs cœurs d’acier,
Tracent l’avenir dans un élan d’éternité.

Ainsi, ‘L’Odyssée de Amer Béton’,
Est la saga des rêves et des ambitions,
Dans un monde de béton, amer mais fertile,
Où chaque cœur bat et rêve, indocile.

La ville, en sommeil, murmure un refrain doux,
Un éloge aux cœurs fervents et fiers, debout,
Dans cette symphonie urbaine, brille l’infini,
Chaque vie est un poème écrit à l’encre survie.

Dans les méandres de l’odyssée urbaine, chaque pas est un témoignage de la force collective. Cette exploration des rues de la ville nous rappelle l’importance de la fraternité et de l’entraide dans la construction d’un futur où la compassion et l’espoir triomphent des adversités. Ensemble, façonnons des communautés où la solidarité est le socle de notre quotidien.

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