Dans le doux jardin des souvenirs, où se mêlent éclats de rires et murmures d’innocence, se tisse un lien précieux, celui de l’amour pour une sœur. Complice de mes rêves d’enfant, elle est l’étoile qui éclaire mes nuits les plus sombres. À travers ce poème, je souhaite célébrer cette tendresse éternelle, ce fil invisible qui nous unit, même lorsque les chemins s’éloignent.
Dans le reflet du miroir, une ombre se dessine,
Celle d’une sœur, à la joie ô combien divine.
Elle illumine le ciel de mille éclats,
Comme un soleil levé aux confins de nos pas.
Nos rires s’entrelacent, mélodie d’une enfance,
Chacune de mes peines, tu sais turn en espérance.
Dans les serres du temps, main dans la main,
Nous avons tissé des rêves au fil incertain.
Tes secrets murmurés comme des promesses,
Dans la lueur des étoiles, tu es ma forteresse.
À l’ombre des arbres, nous passions des heures,
À raconter des contes où voltige la douceur.
Chaque pas sur cette terre, ensemble nous y dansons,
Égrenant chaque instant, perles de notre chanson.
Nos chemins parfois séparés par l’infini,
Resteront à jamais unis dans l’infini.
Toi, ma sœur, l’écho de mes doutes et de mes joies,
Dans l’étreinte des souvenirs, je trouve ma voie.
Ton regard, comme un phare, guide mes incertitudes,
Et sur l’océan des vies, nous oscillons en plénitude.
Que jamais ne s’éteigne cette flamme que nous portons,
Car au-delà des heures, des temps, des horizons,
L’amour fraternel, doux et pur, rayonnera,
Tel un ciel étoilé, toujours, toujours brillera.
En célébrant notre lien fraternel, il est essentiel de comprendre que l’amour qui nous unit va au-delà des mots. Il s’inscrit dans chaque moment partagé, chaque souvenir tissé, et demeure une source de force et de réconfort dans les tumultes de la vie. Que cette affection continue d’éclairer nos chemins, rappelant que, dans la danse de l’existence, une sœur est un trésor inestimable, ancré dans nos cœurs pour l’éternité.