Dans le silence d’une nuit étoilée, où les rêves murmurent leurs secrets, l’envie s’éveille comme un souffle ardent. Elle s’installe dans le cœur avec la douceur d’une caresse, mais brûle avec la ferveur d’un feu sauvage. C’est un désir qui transcende les limites, qui s’enracine dans chaque regard échangé, dans chaque geste délicat. Parfois douce, parfois amère, cette envie de possession se tisse délicatement autour de nous, comme une toile d’araignée scintillante, attirant et envoûtant. Ainsi, plongeons dans cette quête fascinante, celle de posséder l’autre, non seulement par le corps, mais aussi par l’âme.
Dans la danse des ombres, je t’observe, souhait vivant,
Un souffle de vent, la promesse d’un instant.
L’ardent désir prend forme, silhouette mouvante,
Chaque pas vers toi, une étoile éclatante.
Tu es ce trésor, ce jardin scintillant,
Fleur qui s’incline sous le poids du temps.
Je rêve de t’enfermer dans une cage dorée,
D’éprouver l’essence de ta beauté.
Voilà, je t’imagine, miroir de ma pensée,
Un reflet parfait que je veux embrasser,
Mais l’envie me consume, un feu sans relâche,
Possession fragile, une rose qui s’efface.
Dans l’écrin des nuits, où le silence s’étire,
Chaque battement de cœur ajoute à mon empire.
Tes rires résonnent, douce mélodie,
Mais dans cette chasse, qui sera le pris?
Peut-être que l’amour ne se mesure ainsi,
Ni en larmes, ni en rêves, mais en éclats de vie.
Pourtant, cette envie, comme une vague, monte,
Elle m’aspire, et dans son rythme, je m’implante.
Érate-moi dans ce désir insatiable,
De te posséder, de te faire admirable,
Mais le vrai trésor, n’est-ce pas l’instant?
Où ton regard croise le mien, éclat vivant?
Ainsi, je me perds dans ce vertige doux-amer, où l’envie de possession flirte avec l’amour véritable. Chaque battement de cœur résonne comme une promesse silencieuse, un appel à ce qui ne se possède jamais vraiment. L’essence des sentiments se trouve dans l’éphémère, dans cette beauté fragile qui se dévoile à travers le désir. Peut-être que l’art de l’aimer réside non pas dans le vouloir, mais dans la capacité à savourer la présence de l’autre, ici et maintenant, dans toute sa splendide liberté.
