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Un Cancre Libéré : La Quête d’Imagination et de Liberté

Dans une école où les murs semblent étouffer les rêves, un jeune cancre se distingue par son esprit libre et son imagination débordante. Cette histoire nous plonge dans son univers, où les formules et les schémas ne sont que des entraves à sa créativité.

Les Couloirs de l’École

Illustration de Les Couloirs de l'École

Dans un gymnase silencieux, au milieu de l’ennui scolaire, un jeune garçon errait, les mains enfoncées dans ses poches, les yeux perdus au-delà des murs beige et mornes de l’école. Chaque couloir résonnait avec des échos de cris d’enfants et des murmures de professeurs, silhouettes rigides et indistinctes qui, comme des ombres, tentaient de façonner l’esprit de la jeunesse. Mais lui, le cancre, s’évadait par la magie de ses pensées, bâtissant des mondes que les livres ne pouvaient jamais lui offrir.

Il se dirigea vers une fenêtre, l’embrasure encadrant un extérieur vibrant où la lumière du soleil dansait sur les feuilles des arbres. Chaque nuance de vert lui paraissait une promesse, chaque reflet de lumière une invitation à la liberté. La nostalgie l’envahissait alors qu’il repensait à ses souvenirs d’enfance, aux jours d’insouciance où le ciel semblait sans limites, et où rien d’autre n’importait, si ce n’est l’émerveillement d’un instant.

« Pourquoi devrais-je écouter ces vieilles voix ? » murmura-t-il pour lui-même, une lueur de défi scintillant dans ses yeux. L’autorité affichée par les professeurs n’était que l’écho d’une norme qu’il avait choisi d’ignorer. Quelque part dans son cœur, il savait qu’imaginer ne devait pas se confronter à la conformité. L’école, pour lui, était un labyrinthe, un terrain d’exploration pour l’esprit.

Alors qu’il se perdait encore dans ses réflexions, une silhouette familière attira son regard. Une élève, aux cheveux éclatants, observait ceux qui, comme lui, erraient sans but dans ces couloirs. Ses yeux brillants se posèrent un instant sur lui, une étincelle de compréhension se glissant entre eux. Son audace à ignorer les normes ne passait pas inaperçue. « Tu ferais mieux de te concentrer sur les cours, » fit-elle avec un sourire espiègle, se moquant des règles établies. Ce simple échange éveilla en lui la possibilité d’une amitié, une connexion douce et inattendue dans ce monde très cadré.

« Est-cea que rêver est un péché ? » lui demanda-t-il, son ton léger mais ses mots lourds de sens. Elle secoua la tête, un éclat de rire chaleureux rompant la monotonie ambiante. « Non, pas tant que tu es prêt à vivre. »

En cet instant, quelque chose changea en lui. Les couleurs du couloir, jusqu’alors ternes, prirent vie. La liberté de créer, de rêver, de voir le monde autrement brillait comme une étoile dans sa tête. La beauté des couleurs l’entourait, clamant haut et fort que l’imagination était bien plus grande que le cadre des livres.

Alors qu’il se dirigeait vers l’autre bout du couloir, ses pensées tourbillonnaient entre souvenirs et aspirations, le cœur battant au rythme de la jeunesse. Ce jour-là, il ne se contenterait pas de suivre des règles : il les redéfinirait. À cet instant, il avait compris que sa quête n’était pas seulement de fuir la conformité, mais de s’élever au-dessus, de danser au gré des attentes.

Avec cette nouvelle amitié potentielle, une promesse d’aventures à venir, il s’éloigna, permettant aux murs de l’école de résonner encore une fois avec des rêves vibrants, alors qu’il aspirait à une liberté que personne ne pourrait jamais lui ôter.

Les Rêves Éveillés

Illustration de Les Rêves Éveillés

Dans le coin d’une salle de classe austère, un jeune garçon aux cheveux ébouriffés s’était peu à peu laissé emporter par les douleurs de l’ordinaire. Le bruit des craies sur le tableau noir en manteau de poussière créait une mélodie hypnotique, celle d’un monde ennuyeux réservé aux « copains des devoirs ». Mais, loin de cet univers plat, une lueur d’imagination brillait au fond de son âme, prête à éclore. Alors que les enseignants, silhouettes rigides, essayaient d’ancrer l’enfant dans les rigueurs de l’éducation, il était déjà loin, naviguant entre des contrées extraordinaires peuplées de dragons et de princesses faites de lumière.

Un jour, tandis que le cours s’étirait comme un chewing-gum aux arômes amers, il trouva refuge dans son petit monde intérieur. Avec des crayons usés qu’il avait dérobés dans son sac à dos, il commença à dessiner sur une feuille. Un dragon fier et flamboyant émergea sous ses gestes, ses écailles argentées scintillant sous l’illusion du soleil. À ses côtés, dominée par la créativité juvénile, une jeune fille aux cheveux blonds, son regard pétillant d’enthousiasme, l’observait.

« Regarde, tu pourrais écrire des histoires incroyables avec ça ! » s’exclama-t-elle, sa voix s’élevant au-dessus du murmure de la classe. « Ne t’arrête pas, fais-les voler ! »

Ses encouragements étaient comme des douceurs pour son cœur assoiffé d’affection. Elle représentait a elle seule la brise fraîche dans ce climat de conformisme. Il se mit à rêver plus grand, plus audacieusement. Alors que le professeur se tournait, il osa faire un pas vers l’avant. Avec une détermination renouvelée, il s’approcha du tableau noir et y griffonna à la craie, laissant son imagination s’étendre, tel un voilier voguant sur des mers inconnues.

Les murmures dans la salle se turent alors que la magie opérait. Un dragon à la queue vibrante, des nuages enchantés, et une princesse aux yeux brillants prenaient vie, défiant la morosité ambiante. Ses camarades, d’abord incrédules, scrutaient ses œuvres, un mélange d’admiration mêlée à une dose de surprise reflétée dans leurs yeux. Même les enseignants, ces gardiens de la norme, ne purent s’empêcher de s’arrêter, un frisson d’inattendu les traversant.

« Qu’est-ce qu’il fait, là ? » chuchota l’un d’eux, visiblement déstabilisé.

« On dirait qu’il crée un monde ! » répondit une élève, visiblement envoûtée par le spectacle.

Dans cette effervescence, le jeune cancre vivait des instants précieux. Chaque coup de craie sur le tableau était devenu une affirmation, une déclaration de liberté, une rébellion contre les chaînes imposées par une éducation étriquée. Seul, face à ses créations, il réalisait que chaque image dessinée était une promesse, une aspiration à casser les murs de l’uniformité.

Les rires et les cris résonnaient autour de lui, mais il se sentait léger, comme si le sol ne le soutenait plus. Ses doutes s’effaraient devant cette vague d’innovation et de création. « Après tout, » réfléchit-il, « la liberté d’imaginer et de rêver est la clé pour briser les chaînes de la conformité. »

Alors que la cloche retentissait, signalant la fin de cette heure d’évasion, la classe s’employait à retourner à la banalité, mais les cœurs avaient, eux, vibré autrement. La jeune blonde lui lançait un regard complice, empli d’une tendresse réconfortante, comme si elle avait vu le monde à travers ses yeux. Un sourire partagé, celui d’une amitié scellée par la magie des rêves.

Et dans un coin de sa tête, un murmure persistait : cette étroite salle de classe n’était qu’un tremplin vers des horizons infinis, vers d’autres aventures enchevêtrées dans un univers où la créativité était reine.

Les Jugements du Monde

Illustration de  Les Jugements du Monde

Le soleil d’avril baignait la cour de récréation d’une lumière dorée, comme si chaque rayon cherchait à souligner le contraste entre l’énergie des enfants et les murmures pleins de jugement. Au centre de ce vaste rectangle de béton, un jeune garçon aux cheveux ébouriffés était assis, son carnet de croquis ouvert devant lui, un monde vibrant émergeant de son imagination.

Autour de lui, les rires des autres élèves résonnaient comme un écho cruel. « Tu ne peux pas rêver éternellement, » lançait l’un d’eux, un regard moqueur sur son visage. « Regarde-toi, tu es juste un cancre. » Les mots, comme des pierres jetées, frappaient lourdement le torse du rêveur, mais il se redressa, la détermination marquée sur son visage. Son esprit luttait contre l’emprise de la conformité qui, lentement, tentait de le réduire au silence.

« Ignore-les, » murmura un ami fidèle, Kesra, les cheveux bruns en bataille, qui se tenait à ses côtés. « Ne leur laisse pas le pouvoir de détruire ta vision. » Les deux garçons partagèrent un moment de silence, pendant lequel le cancre sentit la chaleur réconfortante de l’amitié couler en lui, une douceur contrastant avec la douleur des moqueries. Il savait, au fond de son âme, que les défis de la réalité ne devraient jamais anéantir ses rêves.

Alors, au prix d’un effort quasi-herculéen, il se leva, son cœur battant à l’unisson avec l’attente générale. À ses yeux, le monde qui l’entourait se figea. Tout ce qui comptait désormais était sa voix et sa volonté de se faire entendre. « Pourquoi devrais-je me conformer ? » s’exclama-t-il, sa voix résonnant comme un appel à la révolte. « Regarder le monde comme il est, c’est ennuyant. Pourquoi ne pas être capable d’imaginer quelque chose de plus grand ? »

Des murmures d’étonnement parcoururent le groupe, et les regards s’éclairèrent d’une curiosité inattendue. Le garçon, même au milieu des rires, commença à dépeindre son univers sur cet imposant tableau de la réalité. Des dragons majestueux et des paysages enchanteurs prirent vie sous ses coups de crayon. Il se laissa emporter, scellant son essence même dans chaque trait, comme une promesse à lui-même de ne jamais abandonner ce qui le rendait unique.

Les rires moqueurs se tarirent, remplacés par une admiration émerveillée. « Regarde, il est en train de créer un véritable spectacle ! » chuchota une élève, fascinée. Les yeux de ses camarades, habituellement si pleins de jugements, commençaient à briller d’une nouvelle lumière, réfléchissant la beauté de l’imagination. Et à cet instant précis, ce rêveur impraticable devint le centre d’un monde nouveau, comme une étoile brilla au sein de la nuit.

Alors que les rayons du soleil se faisaient plus doux, l’enfant réalisait qu’il venait de briser les chaînes invisibles du conformisme, et ce geste d’affirmation devint une lumière d’espoir non seulement pour lui, mais pour tous ceux qui le regardaient. Chaque sourire échangé portait avec lui la promesse que la liberté d’imaginer et de rêver n’était pas juste une fantaisie, mais la clé d’une vie authentique, d’une existence pleine et entière.

Dans cet instant suspendu, une vague d’optimisme se propagea à travers la cour. Le regard de Kesra brillait, et à travers sa main, il fit un signe d’encouragement, comme s’il saluait une nouvelle ère de pensée. « N’abandonne jamais, » fut tout ce qu’il dit, mais plein de foi.

Et le jeune cancre, galvanisé par l’acceptation émergente de ses pairs, savait dans son cœur que ce moment marquerait le début de quelque chose de grand. L’image d’un monde sans limites prenait forme dans son esprit, et il s’accrochait à cette vision, prêt à l’explorer sans jamais se détourner de son chemin.

Les Horizons Infinis

Illustration de Les Horizons Infinis

Le bruit de la cloche résonnait dans le couloir comme une mélodie familière. Les élèves affluaient, pressés de quitter les murs impartiaux de l’école. Au milieu de cette effervescence, le cancre, songeant à l’année écoulée, se tenait en retrait, contemplant l’horizon qui allait bientôt s’ouvrir devant lui. Pourtant, une mélancolie sourde étreignait son cœur, une sorte de nostalgie pour les jours où il avait navigué dans l’univers de ses rêves, loin des jugements des autres.

Alors que le soleil déclinait, teintant le ciel de nuances dorées, des figures fantastiques se matérialisaient autour de lui : un aigle majestueux, symbole de liberté, balayait le ciel d’un battement d’ailes, tandis qu’un cerf aux bois étoilés dansait entre les ombres des arbres, incarnant l’inspiration. Chacune de ces créatures semblait l’encourager à ne pas craindre l’inconnu, mais plutôt à l’embrasser, à le transcender avec audace. « Tu es autant de rêves que de réalité, » lui murmura l’aigle, son regard perçant semblant dissiper la brume de ses hésitations.

Ce futur, empli de promesses, lui paraissait à la fois exaltant et terrifiant. Combien de fois avait-il feuilleté des livres d’aventures, imaginant des contrées lointaines, des batailles épiques et des amitiés indéfectibles, tandis qu’il était enfermé dans une salle de classe austère ? Oui, demain, il serait libre. Libre d’explorer ces horizons infinis qui s’offraient à lui, mais en même temps, dans chaque battement de cœur, un petit bruit de tristesse s’immisçait, évoquant les rituels qui allaient bientôt s’éteindre.

Le jour des adieux, dans un coin de la cour, il se mit à écrire. Les mots coulaient comme un ruisseau dans un paysage de mémoire, chaque phrase résonnant comme un hommage à ceux qui l’avaient guidé malgré tout. « Chers enseignants, merci pour vos leçons, pour avoir cru en mes rêves même lorsque je les avais oubliés. Aujourd’hui, je me tiens sur le seuil d’une nouvelle vie, prêt à créer mon propre chemin. »

À mesure qu’il scellait sa lettre, une larme s’échappa, mêlant tristesse et espoir. La mélodie poignante des adieux vibrait autour de lui, résonnant des rires d’autres élèves qui partageaient ces derniers instants. Mais dans cette étreinte du passé, il découvrit une force insoupçonnée. Comme ces animaux fantastiques qui l’avaient accompagné dans son cheminement, il comprenait désormais que la liberté et la créativité seraient les clés pour briser les chaînes de la conformité qu’il avait tant redoutées.

Les portes de l’école s’ouvrirent, et un souffle frais lui caressa le visage. Prêt à avancer, il lança un dernier regard en arrière, gravé d’affection, avant de se tourner vers l’inconnu et de faire un pas victorieux vers l’avenir. L’univers l’attendait, grouillant des possibilités illimitées, et lui, le cancre rêveur, se laissait porter par l’appel d’une aventure naissante, enfin prêt à embrasser le vaste monde qui s’ouvrait devant lui.

Cette histoire rappelle à chacun de nous l’importance de rêver, de libérer notre imagination et de embrasser nos passions. Partagez vos réflexions sur cet enfant au cœur libre et découvrez d’autres récits qui célèbrent la créativité.
  • Genre littéraires: Drame, Poésie
  • Thèmes: liberté, créativité, enfance, éducation, imagination
  • Émotions évoquées:émerveillement, nostalgie, inspiration, tendresse
  • Message de l’histoire: La liberté d’imaginer et de rêver est la clé pour briser les chaînes de la conformité.
  • époque: Époque contemporaine
  • Histoire Inspirée par ce Poème:
Liberté Et Imagination Dun Jeune Cancre À Lécole| Cancre| Rêve| Imagination| Liberté| Enfance| Créatif| Drame| Poésie| Émerveillement| Nostalgie| Inspiration| Tendresse| Époque Contemporaine
Écrit par Lucy B. de unpoeme.fr

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