Le poème ‘A César C.’ de Paul Verlaine, figure emblématique du symbolisme, reflète une quête de douceur et de paix dans un monde souvent troublé. Écrit à la fin du 19ᵉ siècle, ce poème dévoile la complexité des émotions humaines à travers des vers lyriques et introspectifs. Verlaine y aborde des thèmes universels tels que l’amour, la sérénité et les luttes intérieures, rendant cette œuvre d’une profonde résonance.
Vous êtes la douceur elle-même et la paix. Et c’est au nom de quoi, mon ami, je vous aime. Comme étant la douceur et — oui ! — la paix, moi-même, La paix, comme je veux, la douceur, où je vais ! Parfois, c’est vrai, je suis méchant et non mauvais. Je ne suis plus celui que trouble le problème, Je ne suis plus celui qu’envolait le poème, Je ne suis, par instants, que « fais donc ce que fais », Instinctif, et, sinon terrible, près de l’être, Comme vous m’avez vu, puis, comme un mauvais prêtre Affreux d’hypocrisie et vil de faux honneur. Mais ensuite, et de vous, ami, prenant l’exemple, Sérieusement doux et paisible donneur De douceur et de paix dès la porte du temple.
Ce poème nous invite à réfléchir sur la recherche de la paix intérieure face aux tumultes de l’existence. N’hésitez pas à explorer davantage l’œuvre de Paul Verlaine et à partager vos réflexion sur la douceur et la paix inspirées par ses mots.