Poème pour Maman : Merci pour Tout

Hommage à l’Amour Maternel

Dans le jardin doux où fleurit son cœur,
Chaque souffle chantait un chant d’amour,
Elle a semé des rêves, elle a apaisé les pleurs,
Maman, douce étoile, lumière de nos jours.

Ses bras ont été l’asile des balbutiements,
Là où chaque steppe devenait chemin.
Elle offrait son soutien, avec tant d’égard,
Par chaque étreinte, sa tendresse agissant.

Des histoires murmurées, aux lueurs du soir,
Elle tisse des pensées, elle délie les peurs,
Avec une voix douce, son tendre répertoire,
Rabote les angoisses, réchauffe nos labeurs.

Sous le ciel étoilé, ses paroles résonnent,
Chaque mot, un bijou, que le souvenir façonne.
Dans le livre de la vie, elle est la première page,
Maman, te rendre hommage est mon doux partage.

Vous êtes la sagesse qui guide nos pas,
Le souffle de l’espoir dans les heures sombres,
Un regard échangé, et la douleur s’éloigne,
Dans le cœur des enfants, votre amour succombe.

Au fil des saisons, les jours défilent,
Et chaque sourire, un doux tableau,
Se grave dans l’âme, tel un fil subtil,
Nous rappelle sans fin votre amour si beau.

Quand la tempête gronde, et que l’esprit s’emporte,
Votre voix revient comme une douce mélodie,
Elle pacifie les cœurs, elle nous réconforte,
Maman, orchestratrice de notre symphonie.

Voyez comme le temps, avec gourmandise,
Emporte les rires, mais jamais l’amour,
Les souvenirs tissés, avec tant de finesse,
Dans nos veines vibrent, échos d’un parcours.

Gravitons dans les cieux, dans cet élan de vie,
À chaque aurore nouvelle, vous êtes le sillon,
Tandis que l’enfance, comme un fragile abri,
S’épanouit toujours, sous votre bienveillance.

O mère, notre phare, dans la nuit et le jour,
Chaque pas que nous faisons, votre ombre précieuse,
Nous berce avec foi, nous couvre de velours,
De votre amour infini, douce Maman gracieuse.

Et lorsque le temps soufflera sur nos âmes,
Que pourront rester, que nos cœurs en écho,
Des promesses d’amour, bien plus que des drames,
Graveront en nos vies l’essence de vos mots.

Ce hommage à vous, dans le vent, nous le donnons,
En espérant qu’un jour, au-delà de ces vers,
Vous sentiez chaque battement, cet amour profond,
Qui pour vous, notre Maman, jamais ne se perd.