back to top

Utilisation des poèmes : Tous les poèmes de unpoeme.fr sont libres de droits et 100% uniques "sauf catégorie poésie classique" .

Vous pouvez les utiliser pour vos projets, écoles, affichages, etc., en mentionnant simplement notre site.

⚠️ Les poèmes soumis par nos lecteurs qui souhaitent en limiter l'usage auront une mention spécifique à la fin. En l’absence de cette mention, considérez-les comme libres de droits pour votre usage personnel ou professionnel.

Profitez-en !

Partagez votre talent avec nous ! ✨ Envoyez vos poèmes et histoires via ou utilisez ce formulaire.
Tous les styles sont bienvenus, tant que vous évitez les sujets sensibles. À vos plumes !

La Flamme Éphémère

Dans le mystère d’une forêt antique, ‘La Flamme Éphémère’ explore les thèmes de la passion et de l’éphémérité à travers les métaphores du feu. Ce poème nous invite à réfléchir sur la nature fugace des sentiments, illustrant comment une flamme ardente peut également représenter un destin tragique.

La Flamme du Destin

Dans l’obscurité séculaire d’une forêt antique,
Où le temps semblait s’être égaré au gré des songes,
Naquit, sous le ciel voilé de mystères infinis,
Un creux de clair-obscur illuminé par un modeste feu de camp.
Les flammes, telles des rubans de soie enchevêtrés dans l’air,
Dansaient avec une grâce sauvage, en écho aux battements
D’un cœur égaré, celui d’un Amoureux déchu,
Dont l’âme, telle une braise mourante, se consumait en silence.

Sous le firmament d’une nuit printanière,
Où les étoiles se perdaient dans la pénombre,
Il rôdait, l’esprit alourdi par le fardeau de ses regrets,
Déambulant parmi les arbres séculaires dont les troncs
Gardaient le secret d’innombrables passions fauchées
Par la tempête implacable du destin.
À l’orée du campement, les éclats de ce feu
Parasitaient l’obscurité, révélant fugacement
La figure incertaine et tourmentée de l’âme égarée.

« Ô flamme, messagère de l’éphémère,
Révèle-moi le chemin perdu dans tes lueurs incertaines… »
Murmura-t-il d’une voix rauque, chuchotant aux ombres mouvantes,
Comme si, dans le ballet incandescent, il pouvait discerner
Les arabesques d’un destin qui s’effilochait,
Et son cœur, fragile navire en perdition, se laissa emporter
Par cette prière éthérée, écho d’un temps révolu.

Les arbres, témoins muets de cette confession nocturne,
S’inclinaient en un frisson mélancolique sur le sentier,
Sous le regard impitoyable de la lune amie,
Dont le pâle éclat se mêlait aux reflets ardents.
La forêt antique, complice de sa peine, se faisait écrin
D’un récit tragique aux accents de passion et d’éphémérité,
Où chaque feuille, chaque brin d’herbe, murmuraient
Les stances d’une destinée cruelle, gravée dans le marbre des regrets.

Dans l’âtre vacillant, le reflet des braises s’entremêlait
Avec les souvenirs d’un amour jadis vibrant,
D’un temps où l’espoir chantait en harmonie avec la vie,
Avant que le cruel destin ne lui arrache
La douce quiétude d’un rêve désormais éteint.
Amoureux déchu, se souvenait d’une époque révolue,
Où le parfum enivrant des jours naissants
Semblaient promettre l’éternité dans un élan de passion.

« La flamme, miroir de mon être,
Éclaire les méandres de mon passé,
Révèle-moi l’instant fugace où j’ai osé croire
En l’avenir d’un amour sans entrave… »
Le murmure répétait-il, entrecoupé par le crépitement
Des braises qui se rebellaient sur le bois ancien.
Dans l’obscurité, chaque étincelle semblait encadrer
Les fragments épars d’un destin égaré,
Traversant l’instant en une valse incandescente.

Les ombres se mouvaient, compagne de ses pensées,
Et dans chaque bruissement, le souvenir d’un serment
De jadis se matérialisait en rêveries douloureuses.
Le vent, messager invisible, apportait des échos lointains,
Des notes discordantes d’une symphonie autrefois harmonieuse.
Telle une mélodie mélancolique, il murmurait
Des promesses de passions évanouies et de désirs consumés,
Révélant que l’éphémérité de la vie n’était qu’un instant,
Emporté, inexorable, par la grande roue du destin.

Sur le seuil d’un éclat de lucidité,
Une silhouette se détacha dans la pénombre,
Un compagnon d’infortune, à l’allure discrète,
Qui, en ses yeux autrefois ardents, n’avait laissé qu’un éclat
D’un espoir jadis insoumis, désormais réduit en cendres.
« Ami, prononça-t-il d’une voix empreinte de compassion,
Tes larmes, telles des perles salées, témoignent
Des combats intérieurs qui agitent ton âme meurtrie… »
Éprit de tendresse, le mystère se mêlait à l’instant présent.

Le dialogue, tel un écho venu d’un autre temps,
Donnait à l’obscurité un relief de mélodie ancienne,
Et les deux âmes, errantes dans la pénombre silencieuse,
Se trouvaient unis dans la quête d’un sens,
Dans l’effort de transcender ce qui semblait fatalement
Inscrit dans la trame du destin.
Cependant, l’un d’eux, le seul véritable Amoureux déchu,
Poursuivait son pèlerinage intérieur
Vers l’abîme de ses souvenirs, plongé dans la nostalgie.

« Regarde ces flammes, compagnon,
Elles s’enlacent telles les fils d’un destin capricieux,
Et dans leur danse se fond la trame de nos vies,
Parfois éclatantes, souvent fragiles… »
Déclarait-il, le regard perdu dans la lueur vacillante
Qui traçait sur son visage les stigmates du temps,
Comme des rivières incandescentes emportant
Les doux instants d’une vie désormais désenchantée.

La forêt, temple du silence, se faisait l’arène
D’un combat éternel entre l’espoir et le désespoir,
Où chaque bruissement des feuilles résonnait,
Telle une complainte natale pour l’âme tourmentée.
Les murmures des arbres semblaient conter l’histoire
D’un destin enivrant et cruel, où la passion,
Tel un feu ardent, consumait tout sur son passage
Dans un tourbillon de lumière et de ténèbres entremêlées.

Les heures s’égrenaient, emportées par le souffle du vent,
Et les ombres de la nuit s’allongeaient en une caducité
Où le passé et le présent se confondaient en un seul univers.
Jamais plus, son cœur, jadis vibrant de la fièvre
D’un amour exalté, ne reverrait la clarté d’une aube sincère.
Amoureux déchu, perdu en la contemplation
Des braises qui s’éteignaient petit à petit,
Sentait encore la brûlure de cet adieu cruel
Qui avait scellé pour toujours le pacte de son malheur.

Dans un monologue intérieur d’une intensité brûlante,
Il se rappelait, tel un doux supplice,
Les instants d’extase où la vie semblait être un miracle,
Où la passion s’exprimait en éclats incandescents,
Comme l’embrasement soudain d’un ciel étoilé.
« Ô destin capricieux, dis-moi pourquoi as-tu
Tissé pour moi ce chemin jonché de déceptions,
Où chaque flamme, chaque étincelle, évoque
Le souvenir d’un bonheur fugace et inatteignable… »
S’exclamait-il, la voix emplie du tumulte des émotions.

La nuit, complice de son désespoir, s’étendait
Comme un manteau de velours sur la clairière,
Et le feu, tel un symbole de la lente agonie,
Semblait clamer l’inéluctable fin d’une ère d’amour.
Chaque éclat de braise, porteur d’une promesse éphémère,
S’inscrivait en une métaphore criante de la vie :
Brûlante, intense, mais destinée à s’éteindre
Dans l’abîme silencieux du temps qui avance.

Au-delà du murmure des feuillages, l’Amoureux déchu
Vit se dessiner, dans le voile de fumée,
Les symboles d’un destin cruel et implacable,
Où la passion n’était qu’un feu de paille,
Et l’éternité, une illusion filiforme et brisée.
« Ô flamme, toi qui as été le témoin de mes errances,
Guide mes pas vers la compréhension de cet effacement,
Où l’instant douloureux de la perte se fait
L’écho interminable d’une vie en sursis… »
Ces mots, portés par le vent, se perdirent dans la nuit.

Alors que l’aube peinait à percer la noirceur,
Les derniers scintillements du feu mourant
Ressemblaient aux adieux funestes d’un amour défunt.
Dans cette mélancolie infinie, la forêt antique
Pleurait en silence la fin d’un rêve incandescent,
Tandis que l’Amoureux déchu, seul et désespéré,
Contemplait son destin dessiné dans les volutes de fumée,
Où chaque braise mourante racontait un adieu irrévocable.

Lentement, comme un funeste prélude à l’oubli,
Sa silhouette se détacha du cercle ardent,
Laissant derrière lui un sillage de souvenirs
Et l’amertume d’une passion qui s’était éteinte,
Tel le dernier soupir d’un incendie consumé.
« Peut-être, murmura-t-il dans un souffle lastestin,
Le destin n’était-il qu’une flamme indomptable,
Destinée à briller un instant, pour se perdre ensuite
Dans l’immensité glacée des regrets infinis… »
Ces mots s’évaporèrent dans le vent d’un matin triste.

Le chemin de sa destinée l’emmena
Vers des contrées encore plus sombres et solitaires,
Où les échos de ses pas se mêlaient
Aux sanglots discrets des arbres centenaires.
Chaque pierre, chaque racine, semblait
Lui rappeler l’amertume d’un amour jadis proclamé,
Et la forêt, témoins impassibles des errances du cœur,
Devenait le miroir de son âme en lambeaux,
Reflet d’un destin imprégné de tristesse et de renoncement.

Au détour d’un sentier où les ombres dansaient,
Il rencontra enfin le miroir de sa solitude,
Une mare silencieuse, aux eaux sombres et profondes,
Où se reflétait la pâleur d’un rêve défunt.
Là, dans le silence de l’aube naissante,
Il se vit, victime de ses propres illusions,
Un Amoureux déchu, marqué par les stigmates
D’un destin cruel et d’une passion désormais éteinte.
« Adieu, mon cher reflet, » se murmura-t-il,
« Car en toi se trouve le spectre
De ce que je ne peux plus aimer,
Et ce que mon cœur ne peut plus supporter… »

Sur ces mots, la mare, en un ultime soupir,
Emporta la fable d’un amour effleuré,
D’un rêve incandescent, évanoui dans l’infini,
Laissant derrière lui le goût amer
De l’éphémère passion qui, telle une braise
Jamais consumée par la raison,
S’était dissipée dans le néant
De l’indifférence éternelle du destin.
Les rayons du soleil, timides témoins du matin,
Mortellement indulgents, ne purent illuminer
Les cicatrices d’un cœur voué à l’abîme.

Ainsi se clôt le triste banquet de la vie,
Dans la solitude d’une forêt aux secrets ancestraux,
Où le feu de camp, jadis témoin de passions ferventes,
N’était plus qu’un vestige, un mirage incandescent
D’un temps où l’amour chantait encore ses serments.
Les braises s’éteignirent, emportant dans leur dernier soupir
Les vestiges d’un rêve, les cris désespérés
D’un Amoureux déchu, errant dans une hinterland
D’un destin implacable, où la passion,
Tel un feu de paille, n’était qu’un aveu de l’éphémère.

Dans un ultime élan, les ombres se refermèrent,
Effaçant la silhouette d’un être en perdition,
Et le murmure du vent, porteur de mille lamentations,
Emporta la complainte d’un cœur meurtri,
Perdu entre les vestiges d’un amour consumé
Et les incertitudes d’un destin cruelment tracé.
La forêt antique devint le sanctuaire silencieux
Des espoirs exténués, des rêves disparus,
Et le feu de camp, désormais éteint, garda
Le secret funeste d’un Amoureux déchu,
Dont la flamme intérieure, jadis éblouissante,
S’était consumée dans l’incertitude des adieux.

Et dans ce décor de tristesse infinie,
Où la nature pleurait en silence la fin d’une ère,
Le destin, implacable et brut, laissa,
Dans l’ombre d’un crépuscule voilé,
La trace indélébile d’un amour qui fut semblable
À la flamme vacillante, éphémère mais sublime,
Un instant volé à l’éternité,
Que le temps, dans sa course inexorable,
Rappela avec amertume à l’ordre des âmes
Dénaturées par l’ombre et la passion.

Ainsi s’achève la triste odyssée
De cet Amoureux déchu, errant dans une nuit sans retour,
Où chaque étincelle mourante
Rappelait la fatalité de ses rêves défunts,
Et chaque soupir, porté par le vent,
Serrait dans son sein l’ultime mélodie
D’un destin consumé, où nul ne saurait
Contrebalancer la loi implacable
De la vie et des amours éphémères.
Le silence s’abattit sur la clairière,
Emportant dans ses plis l’écho
De cette passion, désormais morte,
Seul souvenir d’un feu,
D’un amour,
D’un destin tragiquement lié aux ténèbres de la destinée.

Dans la pénombre, les ombres et la douleur
Se firent un pacte, gravant dans la terre
Les mots muets d’un adieu silencieux,
Témoignage d’une existence qui s’efface
Sous le joug implacable de l’infortune.
Ce feu de camp, jadis berceau d’une ardente passion,
Ne laissa derrière lui que la cendre
D’un amour perdu, d’un rêve anéanti,
Et dans le bruissement final des feuilles
Chantait la fin d’une histoire,
L’histoire triste d’un Amoureux déchu,
Dont la flamme, emportée par le vent du destin,
S’éteignit dans un soupir amer,
Telle l’ultime lueur disparue
Dans l’immensité d’une nuit sans retour.

Ainsi, au crépuscule de ce destin tragique,
La forêt, gardienne ancestrale des regrets, et la flamme éphémère,
Deviennent les témoins muets et éternels
D’un amour passionnel qui, malgré l’éclat de ses feux,
Aura succombé aux vicissitudes du temps.
Le destin, inflexible et sombre, fut le juge impitoyable
De l’âme égarée et de ses rêves en déroute,
Ne laissant pour seule consolation l’amertume
D’un souvenir incandescent,
Tel un brasier qui, dans un dernier frisson,
S’est éteint pour laisser place
À l’inévitable silence
D’un crépuscule mortellement triste.

Et dans le cœur de la forêt, bercée par le vent,
Les verbes et les rires d’antan se confondent
En un chuchotement permanent,
Où chaque pierre, chaque feuille,
Raconte l’histoire mélancolique d’un passant,
D’un Amoureux déchu, qui, dans la fièvre
De ses passions et de ses rêves avortés,
N’a pu que succomber, tel un feu de paille,
Aux exigences impitoyables d’un destin scandaleux.
Les lueurs faibles du campement, dissipées par la nuit,
Ont laissé derrière elles une traînée
De tristesse et de regrets infinis,
Comme le sillage d’une étoile filante
Qui, malgré sa beauté,
Ne peut échapper aux lois de l’univers.

Que demeure désormais dans le silence de l’immuable forêt
Que l’ombre d’un souvenir égaré,
La trace indélébile d’une passion
Qui, dans un ultime éclat de fureur, s’est perdue
Dans l’obscurité insondable du destin,
Tel un phénix déchu qui n’a connu
Qu’un court instant de splendeur avant de s’effacer
Dans la brume éternelle du temps.
Le triste éclat de cette flamme,
Révélant son essence fugace,
S’inscrit à jamais comme le testament
D’un cœur qui, au creux de la nuit antique,
A osé croire encore en l’éternité
D’une passion incendiaire,
Pour finalement se rendre
Au joug inéluctable d’un destin fatal.

Ainsi, tandis que le feu s’éteint
Et que la forêt retrouve son calme séculaire,
Un ultime silence enveloppe la clairière,
Abritant le chagrin d’un Amoureux déchu
Dont l’âme, jadis enflammée,
N’a pu qu’embrasser la douleur de ses illusions,
Perdu entre la lumière vacillante de l’espoir
Et l’ombre éternelle d’un destin tragique.
Les braises mourantes témoignent d’un adieu impérissable,
D’un feu éphémère dont la splendeur
Aura laissé en héritage l’amertume
D’un rêve consumé, d’un amour fané,
Et le souvenir plaintif d’un être
Dont le cœur, désormais froid,
Assiste, impuissant, au funeste cortège
Des heures surannées et des espoirs délaissés.

Dans le murmure final de la nuit,
Où les ombres se confondent avec la pénombre,
Le campement se fait relique d’un temps disparu,
Et l’âme de l’Amoureux déchu se dissout
Dans l’antique écho d’une passion finie,
Comme les dernières braises d’un incendie
Qui, malgré son éclat fugace,
Laissent une trace inoubliable
Sur la toile éphémère du destin.
Le feu ne résiste plus,
Et la mort de son éclat se fait le glas
D’un amour passé, d’un rêve malade,
Que rien ne pourra jamais ranimer,
Ne serait-ce qu’un instant, avant que
Le cycle cruel du temps n’emporte
Le souvenir meurtri d’un être en exil.

Ainsi s’achève la déchéance
D’un cœur jadis vibrant et éperdu,
Aujourd’hui laissé pour mort dans le froid
Des regrets et de la solitude infinie.
La forêt antique, dans toute sa majesté silencieuse,
Garde en son sein le récit tragique d’un amour
Qui fut, aussi fugace que la lueur d’une flamme,
Promesse d’un destin irrémédiablement scellé.
Et tandis que le dernier rayon de lumière
S’évapore dans le voile de l’aube mélancolique,
L’ultime soupir de l’Amoureux déchu
Résonne, tel un adieu éternel,
Dans le silence funeste d’une nuit consommée
Par la passion qui, jadis, avait embrasé son âme.

Fin.

À travers la contemplation de cette flamme éphémère, nous sommes rappelés que chaque moment de passion, aussi intense soit-il, est voué à s’évanouir. La beauté réside dans cette impermanence, nous incitant à embrasser chaque instant avec toute notre âme, car ce sont ces éclats de vie qui forgent notre existence.
Passion| Éphémérité| Destin| Amour| Forêt| Flammes| Regrets| Poème Sur La Passion Éphémère| Fin Triste| Passion Et Éphémérité
Auteur: Jean J. pour unpoeme.fr

💖 Soutenez notre travail ! 💖

Si nos poèmes et histoires ont touché votre cœur et apporté un peu de lumière à votre journée, nous vous invitons à soutenir notre projet, chaque don, même modeste, nous aide à continuer à créer et partager ces moments de douceur, de réflexion et d'émotion avec vous.
Ensemble, nous pouvons faire grandir cet espace dédié à la poésie et aux histoires, pour qu’il reste accessible à tous.

Merci de tout cœur pour votre générosité et votre soutien précieux. 🌟

➡️ Faites un don ici

Laisser un commentaire

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici