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La Quête du Destin

Dans ‘La Quête du Destin’, le lecteur est entraîné sur un chemin rocailleux où chaque pas du Voyageur résonne avec des questions profondes sur la vie, le destin et la quête d’identité. Ce poème évoque les luttes internes et les combats constants auxquels nous faisons tous face dans notre existence.

Le Chemin des Âmes Perdues

Sur un chemin rocailleux, aux contours incertains,
Où l’ombre danse et le ciel se voile de sombres destins,
Le Voyageur déterminé avance, le regard levé
Vers un firmament tourmenté que nul cœur n’ose défier.

Sous ses pas ébréchés, le roc se grave en silence,
Témoin d’un combat infini, d’une lutte sans indulgence,
Le vent murmure, complice funeste et vague,
Des paroles d’un temps ancien, où chaque pierre enrage.

« Ô destin implacable, pourquoi me condamnes-tu ainsi ? »
S’exclame le Voyageur, au seuil d’un paradigme infini,
« Chaque pas me rapproche d’un abîme de vérité,
Où l’âme se déchire, prisonnière d’une fatalité. »

Dans l’éclat gris des nuages, où tourbillonne l’espoir,
Les échos de vies disparues résonnent le soir,
Et le ciel, en tempête furieuse, crie son jugement,
Comme si les dieux anciens, de leur indifférence, jouaient au vent.

Sur sa route, le sol fissuré se fait épreuve et sentier,
Trace de souffrances anciennes, de combats disperse,
Chaque roc semble porter le fardeau d’une mémoire,
Où l’âme du Voyageur se perd en quête d’un rempart.

La nuit s’avance, lourde et pleine de desseins brisés,
Et dans la pénombre, l’homme affronte son avenir glacé.
« La fatalité me poursuit, tel un spectre insidieux,
Et dans l’écrin du silence, mon être se fait silencieux. »

Son cœur, battement de guerre et d’une amère clameur,
Résonne en échos tristes, en notes de douleur;
Effleurant les rives d’un passé muet et désespéré,
Il cherche dans le ciel un signe pour l’éternité.

Au détour d’un sentier, orné de guenilles et de fracas,
Un vieil écho murmure, lointain chuchotement d’avant-bas:
« Ce chemin n’est qu’un miroir des âmes en exil,
Où se confond la lumière et l’ombre d’un futile péril. »

Le Voyageur, las des combats contre l’inéluctable,
Scrute le désert de ses regrets, durable et inévitable,
Et dans un monologue muet, l’âme en peine s’abandonne:
« Mon identité se perd, dans la nuit qui m’emprisonne. »

Sur ce chemin de désespoir, sous la fureur du ciel en pleurs,
Chaque pierre, chaque crevasse, reflète mes douleurs,
Les herbes, telles de frêles confidences, murmurent à l’oreille
Des secrets amers du temps, que la destinée éveille.

La nature elle-même semble se rebeller contre la loi des hommes,
Ses ruisseaux, en cascades funèbres, entonnent des psaumes,
Ombre et lumière se livrent une bataille infinie,
Et le voyageur, solitaire, se sent de plus en plus démuni.

Dans un interlude, une voix s’élève, douce et tremblante,
« Pourquoi cherches-tu, Ô errant, la vérité si déchirante ? »
Un écho d’un souvenir, d’un être autrefois aimé,
Qui jadis lui murmurait que la vie devait être chantée.

« Ah ! voix subtile, éphémère reflet de mes espérances,
Ne saurais-je, malgré les bourrasques, dérober une chance ?
Une quête d’identité, tissée dans le fil du destin,
Doit trouver en ce chaos l’origine d’un lendemain. »

Mais les mots se dissolvent dans le vent, emportant
Les vestiges d’un passé en lambeaux, inéluctablement,
Et le combat continue, implacable et cruel,
Contre cette fatalité, ce spectre éternel.

Les jours succèdent aux nuits, en une danse macabre,
Où le temps se confond en un cycle qui ne se sabre;
Le voyageur, silhouette errante, bute contre l’inévitable,
Dans des batailles intérieures, intenses et redoutables.

Chaque pierre sous ses pas se monte, en un édifice funeste,
Le rappel constant d’un enfant perdu, d’une quête modeste,
Où l’existence se fait lutte, dans ce sentier d’amertume,
Et l’âme se perd, ballottée par la houle de l’enclume.

En parcourant ce chemin rocailleux, le visage marqué par la rage,
Le Voyageur se souvient des jours d’un passé sans entrave,
Quand ses rêves voguaient, légers, sur l’océan de la vie,
Ignorant alors le pesant fardeau du destin qui se plie.

Aux confins d’un promontoire, sous un ciel assombri,
Il rencontre le reflet de son âme, en un miroir terni;
Lui-même, vieilli par les tourments, par la quête incessante,
Où chaque seconde était un pas vers une fin déchirante.

« Me voici, déchu, face à moi-même, en un cri muet,
L’essence de mon être se fond dans l’ombre et l’obscurité;
Là où l’inéluctable combat se fait le juge implacable,
De mes espérances égarées, de mon destin inévitable. »

Les éléments conspirent, le vent hurlant, la pluie en larmes,
Sur ce chemin de roches, la nature se fait alarme:
Elle porte en elle le souffle des combats antérieurs,
Où la vie se perd, au fil de ses erreurs.

Dans un moment suspendu, où le temps se dérobe lentement,
Le Voyageur, face à l’abîme, se laisse aller aux tourments:
« Ô existence cruelle, pourquoi m’isoles-tu de ta grâce ?
Quand la quête d’identité se heurte aux pierres de ma disgrâce. »

Sa voix se perd dans l’immensité du vent hurlant,
D’un écho désespéré, d’un serment déchirant;
Le ciel, en un ultime soupir, se déchire en éclairs,
Révélant, dans sa fureur, l’inéluctable destin aux yeux amers.

Ainsi, les batailles intérieures se mêlent aux affrontements du ciel,
Chaque goutte de pluie, une larme de cet être immortel,
Qui tente, en vain, de recouvrer son identité bafouée,
Dans un monde où l’espoir n’est qu’un mirage, une vérité flottée.

Les voix du passé, les ombres du futur se confondent en un murmure,
Témoins silencieux d’un combat contre la fatalité impure;
Et dans ce fracas de l’âme, le Voyageur se perd,
Oublié de lui-même, dans la tourmente, en un cri amer.

« Dois-je continuer, malgré l’effroi de ce destin si cruel,
Où le souffle de la vie se fait l’écho sourd d’un adieu mortel ? »
Ces mots résonnent dans le ciel, en une complainte infinie,
Telle une plainte funèbre, issue d’une éternelle agonie.

Alors qu’un orage déchaîne ses foudres sur la lande,
Le chemin se fait ultime, la fin de sa quête se répand,
Et le Voyageur, las de lutter contre l’inévitable,
Se voit prisonnier d’un destin, d’une tragique fable.

Dans la lutte contre le temps, contre l’ombre et l’indicible,
Ses forces s’amenuisent en un souffle inéluctable;
Chaque battement de cœur se fait écho de sa défaite,
Sur ce chemin rocailleux, la vie tout doucement s’arrête.

Le dernier acte s’annonce, lourd d’une mélancolie accablante,
Où les cris silencieux se dissolvent en une note désespérante,
Et le ciel, en une ultime larme de grisaille, se fait témoin
De l’effacement de l’âme, de l’ultime soupir du destin.

« Adieu, quête d’identité, adieu vain espoir,
Que mon âme se noie dans l’abîme de l’incertain soir,
Car en ce combat fatal, je n’ai pu vaincre l’inévitable,
Et le chemin se referme sur moi, funeste et impitoyable. »

Alors, l’ombre du Voyageur se dissipe dans le vent froid,
Emportée par la furie de l’orage, par ses derniers émois;
Il s’efface, se perd, dans cet univers trop vaste,
Laissant derrière lui une trace de douleur déjà faste.

Sur ce sentier de roc, où jadis la vie cherchait son sens,
Les échos du combat résonnent en une triste cadence,
Chaque pierre, chaque éclat, crie la fin d’un idéal,
D’un homme qui luttait, malgré l’inéluctable, contre son fatal.

Ainsi s’achève la route d’un être en quête de vérité,
Dans un ultime cri, une mélopée destinée à s’effacer,
Le ciel pleure, et la terre garde en son sein le secret
D’un combat vaillant, d’une âme en lutte, dans l’ombre du regret.

Les étoiles se taisent, les nuages emportent les derniers cris,
Et le chemin redevient muet, dans sa monotonie d’oubli;
Là où le Voyageur, en vain, espérait trouver l’absolu,
Il n’est plus qu’un fantôme errant, dans un monde déchu.

Le silence s’installe, lourd et définitif comme le destin,
Tandis que le vent, en mélodie triste, effleure la fin;
La route reste, témoin muet d’un combat acharné,
Où la quête d’identité s’est heurtée à l’inéluctable, en vérité.

Et dans les dernières lueurs d’un ciel désormais apaisé,
Le vent murmure encore le récit d’un être désemparé;
Ainsi se conclut le long périple d’un homme aux mille reflets,
Dont l’âme, en lutte contre la fatalité, se fond dans l’obscurité.

La fin est venue, douce et cruelle comme un adieu murmuré,
Et le chemin, dans sa solitude, pleure le destin brisé;
Le Voyageur se dissout dans l’ombre d’une nuit sans retour,
Témoins des passions éteintes, des rêves noyés dans l’albâtre du jour.

Et tandis que le temps s’efface, dans un soupir de regrets,
Le monde continue son chemin, implacable dans ses attraits;
Mais sur ce sentier rocailleux, marqué par d’innombrables pleurs,
L’esprit du Voyageur reste, en écho, de ses combats et de ses douleurs.

Dans la mémoire des pierres, à jamais, son combat réside,
Une lutte éternelle contre l’inéluctable, une quête qui se brise,
Car au cœur de la nature, dans le tumulte de l’existence,
La fatalité se dresse, inéluctable dans son insolence.

Ainsi, sur ce chemin de l’âme, où l’espoir fut jadis roi,
Le voyageur, en quête d’identité, se dissout, sans émoi;
Dans un silence déchirant, marquant la fin d’un destin
Où le combat contre l’inévitable fut vain, laissant naître le chagrin.

Et par ce dernier regard vers l’horizon tourmenté,
Où les ombres du passé se mêlent aux douleurs apprivoisées,
Le cœur ébranlé se laisse engloutir par la nuit,
Témoignant d’un combat trop rude, d’un être qui s’enfuit.

La route s’étend, infinie, dans une tristesse impitoyable,
Les remparts de l’existence s’effondrent en un élan instable,
Et le destin, en son verbe acerbe, scelle d’un baiser funeste
La fin d’un voyageur, de son rêve avorté, dans une tristesse manifeste.

Ô chemin rocailleux, témoin des âmes en perdition,
Garde en tes sillons le secret d’une fable sans rédemption;
Car sur ton lit de pierres, sous le ciel en perpétuel orage,
Se cache l’ultime écho d’un être brisé, victime de son propre naufrage.

Ainsi se clôt cet hymne, en un soupir lourd d’amertume,
Là où le combat contre l’inévitable scelle une douloureuse enclume,
Et le Voyageur, égaré entre ombre et lumière,
Finit son périple en silence, submergé par la triste lumière.

En fin de compte, ce poème nous rappelle que la vie est un chemin parsemé d’épreuves et de réflexions. Chaque pierre sur notre route porte les marques de nos luttes, et même si l’inéluctable semble parfois écrasant, c’est dans ces batailles que nous forgeons notre essence. Réfléchissons à notre propre quête et aux échos de nos propres luttes silencieuses.
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Auteur: Jean J. pour unpoeme.fr

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