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La Vérité des Ombres

Dans ‘La Vérité des Ombres’, le lecteur est invité à explorer les méandres de l’âme humaine, confrontée à ses peurs et ses désirs au sein d’un château chargé d’histoire. Ce poème évoque la dualité entre lumière et obscurité, une réflexion sur notre quête de vérité dans un monde où le passé et le présent s’entrelacent.

Le Passage des Âmes Errantes

Dans l’ombre épaisse d’un crépuscule éternel,
Où le temps semble fléchir sous le joug de l’inconnu,
Se dresse, solitaire, un château aux pierres vieilles,
Gardien de mille secrets, témoin d’un passé confus.
Là, dans la pénombre des corridors hantés,
Un homme erre, l’âme en quête d’un destin incertain,
Investigateur de son propre destin tourmenté,
Cherchant en ses entrailles le reflet d’un chemin
Où la dualité se joue entre lumière et obscur.
Tel un funambule sur le fil d’une existence fragile,
Il arpente les salles vides, les couloirs impassibles,
Dissipant les brumes d’un passé, secret, taciturne.

Ce chevalier de l’âme, aux yeux miroitants d’angoisse,
Futilement croit-il trouver dans ces murs ancestraux
La clef qui dénouera le nœud de sa propre force,
La vérité enfouie sous les décombres des mots ?
Chaque pierre, chaque vestige, murmure un écho ancestral,
Et le vent, complice discret, fredonne d’antiques comptines,
Transmettant en paroles subtiles et spectrales
Les confidences oubliées d’amours et de ruines.
Ainsi commence son errance, en quête de rédemption,
Dans l’intimité d’un château tel un vaste labyrinthe,
Où le souffle des souvenirs anime sa passion,
Et sa raison, en dualité, sur le seuil vacille et s’imprime.

Au détour d’un couloir, il rencontre un vieux manuscrit,
Reposant, abandonné, près d’une lourde porte close,
Écrit d’une main oubliée, retraçant un triste récit,
Celui d’un ancêtre aux doigts de pierre, d’une vie morose.
« Qui es-tu, voyageur solitaire, qui scrute ces ombres ? »
Lui chuchote la voix des pierres, en écho des regrets.
« Je suis l’investigateur de mon destin, ô nombre
Incommensurable de douleurs et d’espérances muets. »
Sa voix se fait confession, douce et mélancolique,
Telle une flûte solitaire aux notes d’un air funèbre,
Révélant la dualité d’une âme unique et mythique,
Errant entre deux mondes, entre la vie et la ténèbre.

Dans ce vaste espace de silence et d’abîme,
Le souffle du passé parvient à réveiller sa peine,
Chaque pas, chaque écho devient un paradigme
D’un temps révolu, gravé en lettres souveraines.
Les murs, témoins silencieux d’un festin d’anciens jours,
Racontent l’histoire d’un secret, enfoui en leur sein,
Un passage secret menant aux vestiges d’amours,
Aux fragments de vérité qui défient le destin.
« Ô destin capricieux, est-il fait de renoncements
Ou peut-on, en déterrant le passé, renaître enfin ? »
Se demande-t-il, dans un murmure, en proie aux tourments,
Sa voix éclairant la nuit d’un espoir incertain.

Car parmi ces ombres, dissimulé sous l’arche dorée,
Se cache une porte secrète, oubliée du temps,
Un passage aux contours que nul n’avait dévoilés,
Où l’histoire d’un ancêtre s’écrit, fragile et tremblant.
Sans crainte, il pousse la lourde porte en chêne,
Et découvre un sentier d’antiques mosaïques et marqués,
Gravé dans la mémoire d’une âme en peine,
Là où le passé se mêle au présent désabusé.
Au cœur de ce corridor, laissé par le temps,
Les ombres dansent un pas de deux avec la lumière,
Chaque recoin, chaque pierre semble porter, éperdument,
Les échos d’une vie, d’un destin outragé et amer.

Les murs du passage se font écrin de révélations,
Peignant d’anciennes fresques des images oubliées,
Et chaque fresque murmure avec douce émotion
Les secrets enfouis sous les toiles effacées.
L’investigateur, en proie à sa propre dualité,
Murmure aux pierres une prière sans cadence :
« Par quelle clé vais-je déchiffrer ma vérité ?
Comment sceller l’abîme ou apaiser cette errance ? »
Le sol craque sous ses pas, comme pour témoigner
Qu’en ces lieux de mystères et d’antilopes soliloques,
Un passé enfoui se laisse enfin respirer,
Éveillant en lui des échos de douleurs baroques.

Dans un recoin obscur, il discerne alors un portrait
D’un lointain ancêtre, dont le regard, empreint de sagesse,
Semble sonder son être, dévoilant un hommage aux faits
D’un temps éteint, de tristesse et de noblesse.
« Ô toi, silhouette d’un passé que j’ignore,
Que dis-tu, en ton absence, de mes peurs, de mes doutes ?
Suis-je condamné à errer, en quête d’un trésor,
Ou suis-je l’architecte d’un destin qui se redoute ? »
Se questionne-t-il, dans un murmure plaintif,
Résonnant dans le silence comme une complainte infinie.
Son esprit se divise, partagé entre l’ombre et la lumière,
Déchiré par l’abîme d’un choix sans issue définitive.

Les murmures du passage enflent en symphonie,
Tissant, en filigrane, une trame de vie suspendue,
Où chaque pierre, chaque écho de mélancolie
Invite l’âme en quête à se perdre, à être à nu.
Son esprit se rappelle alors des souvenirs lointains,
Où jadis, enfant, il contemplait les vastes jardins,
Chemins de rêveries et de naïfs desseins,
Ignorant que le temps serait maître de destins.
Ces réminiscences, telles des fleurs fanées,
Reviennent hanter ses nuits, invoquant la dualité,
Celui qui a tissé en secret son sombre passé,
Et celui qui, avec l’espoir, ose défier l’éternité.

Au détour d’un couloir aux voûtes labyrinthiques,
Il aperçoit un écrin de lumière dans une alcôve,
Où se dresse, fragile, une stèle énigmatique
Gravée d’inscriptions que la mémoire éprouve.
« Icare et Prométhée, dois-je m’identifier à ces héros,
Pris entre l’ascension des cieux et l’abîme terrestre ?
Dans ce passage secret où le temps se fait fardeau,
Suis-je l’ombre qui s’efface ou le feu qui se dresse ? »
Interroge-t-il l’esprit des lieux, d’un ton altier,
Les mots se mêlant aux reflets d’une lune fuyante,
Ses doutes, comme des spectres, l’enlaçant de leur fer,
Dans une valse triste, énigmatique et résonnante.

Les échos de ses interrogations parviennent, vibrants,
Aux oreilles d’un écho du passé qui répond, discret,
D’une voix de pierre, murmure des instants d’antan :
« Viens, et laisse ton cœur sonder l’ombre et le secret. »
La voix, semblable à un souffle vieux comme le temps,
Lui révèle la trace d’un chemin à moitié effacé,
Où la dualité de l’être, l’alliance des contraires,
Forgera la clé d’un destin encore à modeler.
Entre les reflets du passé et les promesses de l’avenir,
Il découvre que son identité n’est qu’un fragment d’âme,
Un puzzle inachevé, à jamais voué à se réunir,
Loin de la certitude, vagabondant en quête de trame.

Là, dans le crépuscule dense d’un souvenir ancien,
Il rencontre une silhouette que l’ombre a esquissée,
Ni tout à fait réelle, ni l’image de son destin,
Une apparition fugace par le seuil invoquée.
Les mots s’envolent ainsi, dans un dialogue muet,
Tissant entre eux la trame d’une rencontre impermanente :
« Qui es-tu, voyageur, dans ce dédale d’obscurité ? »
« Je suis ce que je fuis, et pourtant ce que je hante,
L’ombre et la lumière dans un corps disloqué,
À la recherche du sens d’un chemin enfin tracé. »
Les échanges, d’une rare clarté, font vibrer la pierre,
Emettant des reflets d’un doute, d’un espoir sincère,
Manifestant l’unisson d’un destin aux multiples visages,
Révélation d’un passé enfoui, écho de pluriels orages.

Tout doucement, l’investigateur se voit confronté
À l’essence de sa propre dualité, à l’intersection
D’un passé que la mémoire avait longtemps effacé
Et d’un avenir incertain, promesse d’une rédemption.
Dans la pénombre d’un couloir, où la lumière se meurt,
Il découvre une fresque racontant jadis l’histoire d’un homme,
Qui, aux confins de l’ombre, affronta ses peurs,
Marquant de son courage la splendeur de sa tombe.
Les détails se transforment en images vivantes,
Spectres d’un temps où l’âme était pur murmure,
Et chaque trait esquissé, en senteur envoûtante,
Raconte le fracas d’un destin, l’ombre qui perdure.

« Voilà que le passé se dévoile,
Imaginez, mon âme, ce secret silencieux,
D’un ancêtre ou peut-être de toi, en parabole,
Une vérité scellée dans les méandres des cieux. »
Ces mots, portés par une voix que rien ne maîtrise,
Résonnent en lui comme l’appel d’une destinée inachevée,
Le forçant à braver la dualité qui hypnotise
Sa conscience réclamant l’éclat d’une vie à ressusciter.
Entre le souvenir incandescent et le présent si fuyant,
Il se débat, un jour guerrier de ses propres tourments,
Et se trouve à même de perdre ou de retrouver
La part de lui-même en falaises d’ombre exaltant.

Les heures s’écoulent, les mystères se répandent,
Et le chemin du passage secret se fait de confidences,
De révélations progressives que le cœur commande
Dans une mélodie amère, tissée de réticences.
Chaque pierre, chaque fissure devient le livre ouvert
D’un passé enfoui, essentiel, aux accents mélodieux,
Où les peurs, les espoirs, dans un élan désert,
S’entrelacent en un poème aux cieux ambitieux.
« Suis ce chemin, » semble dire la voix du destin,
« Ose sonder le mystère des ombres en écho,
Car en ton for intérieur sommeillent des refrains
De vérités oubliées et de trop vieux flambeaux. »
L’investigateur, le cœur battant, poursuit sa quête,
L’âme emplie d’un embrouillement de rêves anciens,
Et chaque pas dans le passage l’amène, en fête,
Vers un avenir où se mêlent annihilation et dessein.

Dans le miroitement d’une clarté diffuse,
Il découvre une salle voûtée aux miroirs nacrés,
Où ses reflets se multiplient en une subtile ruse,
De multiples facettes de l’être en question posée.
« Est-ce là le reflet de mes espoirs oubliés,
Ou bien la réminiscence d’un passé fracassé ? »
Se questionne-t-il, en observant ces âmes égarées,
Que la lumière, en éclats d’ambiguïté, a encensées.
Chaque reflet, une part de lui que l’oubli étreint,
Entre l’ombre d’une enfance perdue et la clarté d’un rêve,
S’exprime en douceur, en murmures et dessins
De l’existence humaine, d’une dualité sans trêve.

Dans un dialogue feutré, il se parle à lui-même,
« Qu’est-ce qu’être à la fois l’ombre et la lumière ?
Suis-je le sculpteur de mon âme qui s’extasie,
Ou la victime des affres d’une destinée amère ? »
Il écoute la rumeur de ses pensées,
Ces voix intérieures, pleines de doutes et d’espérance,
Et dans l’écho de ce lieu, à l’âme entremêlée,
Il décèle un ultime message, un ultime pli, une chance.
« Ignore le jugement des pierres et des murs,
Car en toi sommeille la clé d’un chemin inouï,
Ouvre grand ton cœur aux ombres, aux murmures
Des temps jadis, pour que l’avenir se déplie. »
Ainsi, dans cette salle aux reflets infinis,
Il comprend que son âme est un livre en écriture,
Où le passé et le présent, en symphonie,
S’unissent pour révéler une trame d’aventure.

Alors qu’il se détourne des miroirs incandescents,
Laissant derrière lui l’écho d’un savoir ancien,
L’investigateur fait face à l’ultime changement,
Celui du regard sur son existence, de son dessein.
Il se souvient d’un mot chuchoté par les pierres,
Un mot gravé dans le silence des couloirs secrets,
« Passage » – mot où se confond l’ombre et la lumière,
D’un néant qui laisse entrevoir d’insondables attraits.
Les brumes se dissipent, dévoilant en filigrane
Des voies cachées, des sentiers qui se perdent dans la nuit,
Et, tout en marchant, il se sent de plus en plus humain,
Porté par l’ampleur d’un destin qui se construit.

Les échos du passé se font messagers d’espérance,
Tandis qu’il arpente ces lieux où le temps se défait,
Révélant des chapitres d’une étrange félicité,
Où se conjuguent les paradoxes de l’existence.
Dans ce décor silencieux, le dualisme s’exprime
À travers des sculptures d’ombres et des éclats de vie,
Chaque relief, chaque courbe, chaque ultime rime
Servant à illustrer les combats de l’âme apprivoisée.
« À quoi bon craindre le dédale où l’on se perd, »
Se dit-il, l’esprit vibrant au rythme des révélations,
« Quand de cette dualité naît un univers
Où l’homme se redéfinit, embrassant ses contradictions ? »
Ainsi la quête continue, sans fin ni répit,
Dans le fracas discret d’un destin en gestation,
L’homme se fait artisan, au cœur d’un vieux récit,
Révélant en secret son passé, sa propre création.

Le passage secret, tel un miroir aux profonds abîmes,
Lui offre la vision d’une vie aux multiples arabesques,
Où, par delà les apparences et les sombres rimes,
S’inscrit l’histoire d’un être aux passions cosses et grotesques.
Il contemple, émerveillé, les vestiges d’un temps jadis,
Des fragments de mémoires, épars comme des pétales,
Et dans cette balade incandescente, il s’immisce,
Cherchant à lier son présent aux légendes d’un carnaval.
« Est-ce le reflet de mes angoisses, de mes espoirs contrariés,
Ou le témoignage d’une vie en perpétuelle mutation ? »
Ses pensées se confondent telle l’eau d’un ruisseau brisé,
Offrant un ultime regard sur la condition humaine, en oscillation.

A mesure que le chemin s’allonge, le soir s’installe,
Et dans l’obscurité naissante, une dernière vision se dresse,
Un escalier en colimaçon, où se décline l’écho d’une toile,
Où le passé, tel un spectre, se pare d’une ultime ivresse.
Sur ces marches, gravées de secrets et d’envolées d’âme,
Il entend la voix d’un ancêtre, ou peut-être la sienne intérieure :
« Abandonne tes doutes, écoute le chant de la flamme,
Car dans cette dualité se révèle la force d’un rêveur. »
Le dialogue se fait murmure, le silence se transforme en parole,
Et dans cette symphonie de l’ombre et du clair matin,
L’investigateur s’avance, apprenant à tendre le voile
Qui sépare sa réalité d’un passé aux accents divins.

L’heure tourne, et le poème de sa vie se déploie en vers
Où chaque pierre, chaque songe, chaque éclat est une énigme,
Un fragment d’un puzzle que le destin disperse
Pour que, moi, l’âme en exil, je trouve enfin mon paradigme.
Ainsi, errant dans ce château aux multiples facettes,
Où se mêlent le murmure des siècles et l’ombre d’un secret,
Il laisse son empreinte sur le chemin en perpétuelle quête,
Un chemin où se confond l’aurore d’un sombrero discret.
Sa quête, en écho aux douleurs et aux joies inavouées,
Révèle le passé enfoui, doucement, en filigrane,
Un récit ancien, aux accents d’une justice voilée,
Que le temps même, malgré lui, emporte et dramatise.
Tel un vers harmonieux qui se brise en absolu mystère,
Il en vient à comprendre que son destin, en volutes entremêlées,
N’est ni ombre complète ni éclat solaire,
Mais un fragile équilibre entre la vie et ses vérités.

Dans la pénombre d’un hall de pierre, où se croise l’infini,
L’investigateur se tient, regard plongé en son univers,
Face à un avenir ouvert, sans chaînes ni serments finis,
Où l’ombre d’un passé enfoui se glisse en vers amers.
Sur le seuil de cet escalier que la lumière effleure,
Il se questionne, en un dernier monologue intérieur :
« Dois-je me perdre encore ou renaître en vain de nos pleurs ?
Dois-je suivre le chemin obscur où l’âme s’embrase en douceur ? »
Ainsi se fait l’interrogation de l’homme en suspens,
Dont l’histoire nous se dévoile en un souffle à demi-mots,
Et le château, témoin muet d’un destin en mouvement,
Laisse son final ouvert aux promesses d’autres maux.

Au détour de ce corridor aux miroirs et aux reflets,
L’avenir se dessine en lignes incertaines, telles des ombres,
Et l’investigateur, conscient de ses multiples traits,
Avance, laissant derrière lui les douleurs qui l’encombrent.
Car en ce lieu, où le secret et la dualité se conjuguent,
Chaque pas le rapproche d’un mystère de l’existence,
D’un passé enfoui que, peu à peu, l’âme induque
En révélant la trame d’une vie en quête de sens.
L’histoire se poursuit, indéfinie, en vagues de certitudes,
Où l’homme, artisant de son âme, se forge son propre chemin,
Naviguant entre l’ombre du passé et l’aube des attitudes,
En embrassant sans retour l’éternel paradoxe divin.

Ainsi, dans la fraîcheur d’un renouveau aux teintes incertaines,
Le poème se clôt sur des mots en suspens, en accords délicats,
Où le destin de l’investigateur, entre ombres anciennes,
Reste ouvert à ceux qui osent explorer ces sentiers d’albâtre.
Le passage secret demeure, murmure perpétuel des âmes,
Gardien d’un mystère insaisissable, d’un rêve jamais achevé,
Et dans le grand livre du temps, entre pages de flammes,
L’histoire s’écrit encore, à l’encre de l’ombre et de l’idée.
Sans conclusion définitive, ni ultime sortie,
Le futur attend, prêt à s’ouvrir à d’autres lendemains,
Là où la dualité et la condition humaine, infinies,
Se fondent dans le tumulte d’un destin ouvert et incertain.

Et ainsi se laisse suspendre, dans le souffle du silence et du temps,
Le dernier écho d’un mystère, l’ombre d’un passé enfin révélé,
L’investigateur de son propre destin s’avance, vaillamment,
Sur le seuil d’un horizon où le futur reste à inventer.
Les pierres de ce château médiéval vibrent encore,
Portant la mémoire d’âmes, de joies, de traîtrises et d’espoirs,
Offrant, en un dialogue feutré, des réponses qui se décorent,
En un poème sans fin, où se mêlent les rires et les histoires.
Ainsi, le passage secret se transforme en un verbe mouvant,
Emblème de la quête incessante, de la dualité humaine,
Et l’homme, face à ce paradoxe si magnifiquement déconcertant,
Poursuit sa route, son cœur vibrant, en une ultime haleine.

Le charme de ce lieu, entre ombre et lumière,
Invite chaque pas à une révélation imprévue,
Pour celui qui, face à lui-même, s’émerveille et espère
Retrouver la clef d’un passé enfoui et jamais rompu.
Dans la clarté vacillante de ce soir médiéval,
L’investigateur regarde l’avenir comme un vaste tableau,
Peint des ombres du passé et d’un horizon spectral,
Où le mystère, à jamais, demeure son flambeau.
Ainsi s’achève ce poème, non point en fin conclu,
Mais en une porte entrouverte sur des possibles infinis,
Où le destin, tel un songe, jamais n’est résolu,
Et où l’homme, en quête perpétuelle, demeure à demi-épris.

Ainsi, ‘La Vérité des Ombres’ nous rappelle que chaque pas dans l’obscurité peut être une occasion de découverte et de renaissance. En acceptant notre dualité, nous pouvons trouver la force de forger notre propre chemin, illuminé par la sagesse des ombres qui nous habitent.
Quête De Soi| Dualité| Mystère| Passé| Rédemption| Poème Sur La Dualité De La Vie| Fin Ouverte| Condition Humaine
Auteur: Jean J. pour unpoeme.fr

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