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Le Dernier Chant de la Liberté Maudite

Ce poème poignant nous entraîne à travers une ville dévastée, où l’écho des rêves et des espoirs se mêle à la douleur et à la mélancolie. À travers les mots d’un jeune poète errant, nous explorons la quête désespérée de Liberté, ce désir éternel qui, malgré les ombres du passé, continue de briller dans l’obscurité.

Le Dernier Chant de la Liberté Maudite

I
Dans l’ombre épaisse d’une ville en ruines, solitaire,
Errant, le jeune poète aux rêves de lumière,
Maudit dès l’aube, en quête d’un destin éphémère,
Il porte en son cœur un ardent et sombre mystère.
Les murs brisés, témoins d’un temps aux fastes engloutis,
Murmurent au vent l’histoire des espoirs révolus,
Tandis qu’en sa plume vibrent l’âme et l’infini
De la Liberté, son unique et poignant salut.

II
Sous un ciel d’automne, d’or pâle et mélancolique,
Les ruines chuchotent les regrets d’une ère antique.
Le poète, l’âme en peine, trace en vers sa chronique,
De l’étincelle ardente à l’oubli, route cyclique.
Il foule les pavés disloqués d’une cité meurtrie,
Où jadis la vie chantait dans un élan infini,
Et, tel un funeste orpail, porté par l’ironie,
Il recueille traîtes d’amour et d’amertume inouïe.

III
« Ô Liberté ! » s’élève sa voix aux échos déchirés,
Dans l’air froid et brisé, ses espoirs mal assortis.
Chaque pierre, chaque fissure, en secret lui disait
Que nul n’est maître du sort, que le temps est maudit.
L’inéluctable destin, implacable spectre obscur,
Tissait en filigrane le chemin d’une fin usure,
Et dans ses vers, sans relâche, s’inscrivait l’aventure
D’une âme égarée en quête d’un rêve qui rassure.

IV
Là, sur l’autel des ombres, surgissent d’antiques rumeurs,
Parlant d’un art perdu, d’une sublime lueur.
Là-bas, au cœur des ruines, au-delà des douleurs,
Sommeille la liberté, promesse d’un monde en fleurs.
Ainsi, le poète martèle ses pas sur le granite,
D’une ardeur inaltérable, d’une foi qui jamais ne s’effrite,
Car sous son regard, l’horizon se mue en une pépite,
Et son âme enflammée trouve son ultime épitaphe.

V
Lentement, dans le silence, s’égrène l’instant fatal,
Les souvenirs d’enfance, chéris en un vibrat pâle,
Évoquent en ses paroles un rêve providentiel,
Alors qu’il s’engage, solitaire, sur un chemin cruel.
Chaque ruelle, chaque vestige d’une splendeur passée,
Reflet d’une gloire éteinte, d’une vie irrévocablement brisée,
Ressuscitent en son cœur des espoirs jadis caressés,
Et la Liberté se décline en un doux vers envolé.

VI
« Ô Muse, guide mon errance, éclaire mon destin ! »
Murmure-t-il en regardant l’aube naissante au loin.
Sa quête, telle une flamme vacillante endéchaînée,
Trouve en l’inconnu l’écho d’une âme déchaînée.
Dans l’alcôve d’un passé, parmi l’ombre et la poussière,
Il perd le compte des heures, errant en solitaire,
Bercé par l’ivresse d’un rêve aux reflets de lumière,
Ignorant que l’oubli, en silence, déjà le guette en arrière.

VII
Au détour d’un sentier, sous un saule pleureur,
Un éphémère mirage offre au poète son labeur.
Il voit dans la distance un éclat de vérité,
Un chant de liberté, une promesse de beauté.
Ces vers, comme un baume sur sa douleur enfiévrée,
Le poussent à parcourir mil lieues, d’une ardeur sacrée,
Sans se douter que l’ombre lente, déjà accablée,
Tissait sa toile d’oubli, furtive et désolée.

VIII
Les jours s’égrenant tel le sable d’une triste mer,
L’écho de ses pas résonne en un rengaine austère,
Telle la plainte d’un oiseau captif dans une cage,
Où la nostalgie se meurt au cœur d’un étrange mirage.
Chaque vers qu’il déclame, en écho au vent qui gémissant,
Est l’ultime serment d’un songe toujours renaissant ;
Mais la route, sans pardon, le mène à l’horizon errant,
Et dans le creux de la nuit, l’oubli attend, implacablement.

IX
Dans l’obscur labyrinthe de ruelles désolées,
Son âme se fait écho de cantiques oubliés.
Sous la voûte du ciel, lui imposant un destin,
Il découvre en son voyage les abîmes du chagrin.
Les vestiges d’une cité témoignent d’amours défunts
Et de rêves éteints, noyés dans les flots indistincts.
Là, le jeune poète, à l’instar des âmes sans lendemain,
Voit la Liberté se dissoudre en un funeste matin.

X
Au cœur d’une nuit sans étoile, oppressante et sereine,
Lui surgit un souvenir, promesse douce et ancienne :
Le reflet d’un amour mort, d’un espoir jadis vibrant,
Qui jadis, sur ses lèvres, chantait son destin charmant.
« Ô compagne de mes vers, ô muse à l’allure divine, »
S’exclame-t-il en pleurant, aux confins de l’échine
D’un souvenir évanoui, d’un rêve lointain,
Cherchant en vain la clé d’un bonheur souverain.

XI
La cité en ruines, théâtre d’une passion déchue,
Devint le miroir d’un cœur en quête absolue.
Là, parmi les colonnes fêlées et l’ombre des regrets,
Il entendait, en murmure, des serments oubliés.
Sa quête, noble et funeste, était un chant de révolte
Contre l’inexorable destin que le sort lui impose.
Car en dépit des pierres noires et de l’amère lutte,
La Liberté se cachait aux portes d’une aube morose.

XII
Vers l’horizon incertain, il s’en allait sans répit,
Ses pas marquant la piste d’un voyage inouï ;
Chaque pas était une strophe, chaque cri une ballade
Rendant hommage à l’espoir, à la vie qui se fane en cascade.
Le vent charriait ses vers, messagers d’un cœur brisé,
Tandis que la cité, en silence, semblait l’avoir élu,
Pour que l’oubli le consume, en son ultime secret,
Donnant à sa quête la teinte d’un sort impromptu.

XIII
Le matin se levait, timide, sur un ciel de cendre,
Et le poète, martyr de ses rêves à comprendre,
Se jura devant l’azur et l’éternel firmament
De poursuivre sa quête, malgré le sort oppressant.
Car, dans ses vers, la Liberté était une flamme,
Un souffle éternel, défiant la nuit infâme ;
Mais l’ombre, toujours présente, tissait en filigrane
L’ultime mélodie d’une vie qui se fana.

XIV
Dans les vestiges d’un temple, aux colonnes effondrées,
Où jadis résonnait l’écho d’une ivresse sacrée,
L’écho de ses pas, solitaire, s’associa aux regrets
D’un empire déchu, aux murmures d’âmes à jamais
Errantes, cherchant au fond des ruines une clarté,
Telle une prière évanescente en l’immensité,
Là s’offrait à lui un instant d’éternelle beauté,
Qu’il s’apprêtait à consigner en vers de vérité.

XV
« Ô Liberté, mon étoile, guide mes pas errants, »
Chanta-t-il, entre larmes, son cœur vibrant et tremblant.
Les pierres, témoins muets de l’histoire et de l’oubli,
Répondirent en silence, portées par un vent faiblissant.
La cité, dans sa douleur, devint l’ultime écho
Des serments d’un poète dont le destin était clos.
Ainsi s’inscrivait, en lettres d’or et d’adieu,
L’inéluctable tragique fin d’un cœur audacieux.

XVI
Au fil de l’aventure, l’âme du poète se faisait
Le miroir des ruines, l’incarnation d’une quête
Dont l’issue, scellée par un sort qui irait,
Emporter son essence, à jamais en une dette.
Chaque vers, chaque soupir, était une prière ardente
À l’Être sans visage qui tissait l’intrigue lente,
De cette vie, éphémère, aux lueurs vacillantes,
Où se mêlaient l’amour, la douleur et l’ombre dévorante.

XVII
Les soirs s’effilochaient en pourpres et en chagrins,
Tel un rideau de velours sur un destin incertain,
Et le poète, las, avançait sur des sentiers obscurs,
Cherchant malgré lui à déchiffrer le futur.
Sa voix, pourtant vibrante d’une obstinée passion,
Se perdait dans l’instant d’une triste rémission,
Car il sentait, en silence, que la douce raison
Se trouvait scellée dans l’oubli et l’indignation.

XVIII
Sur le seuil d’une antique cour, envahie par les ombres,
Il rencontra, en son errance, des âmes que l’on nomme
Les ombres des temps anciens, les vestiges d’un rêve
Oublié par l’univers, que la fureur égrève.
« Venez, âmes errantes, partagez ma destinée ! »
Lui soufflaient les échos, à la lisière du passé.
Mais dans ce ballet funeste de tristesse et de silence,
Le jeune poète discernait l’amère sentence.

XIX
Alors qu’au loin, s’épanouissait l’ombre d’un matin,
Il s’avançait, résigné, sur le chemin incertain
De la Liberté tant rêvée, pourtant si fuyante,
Où se dérobe l’espérance, incrustée et vacillante.
Sa plume, à l’image d’un destin lourd d’amertume,
Traçait des vers funèbres que même le temps allume
Parfois, dans le fracas d’un monde en déroute,
Évoquant la délivrance en une ultime déroute.

XX
Sous la voûte céleste, aux reflets de braises et d’or,
Il déclama, en soupirs, l’inflexible sort
De son âme, engagée en une quête sans retour,
Où la Liberté se perdait, mystère de toujours.
« Que suis-je, sinon l’ombre errante d’une rime,
Un fragile écho, prisonnier d’un cruel abîme ? »
Interrogea-t-il le silence, dans un ultime cri
Qui se mêla aux ténèbres d’un funeste répit.

XXI
Le temps, comme un sculpteur, façonnait sa destinée
En lettres d’effroi et d’une douleur prolongée ;
Chaque pierre qui s’écroulait en un fracas de pleurs
Était le témoin muet d’un fragile bonheur.
Dans ces vers tragiques, son âme se consumait
Au contact de l’oubli, que l’existence égrenait.
Ainsi, il avançait, conscient de son heure,
Tissant son destin funeste en une ultime lueur.

XXII
Sur un parvis désolé, aux ruines imposantes,
Un clair-obscur se fit, d’une beauté poignante.
Le poète, en extase, contempla l’infini
Où reposait la Liberté, encor inassouvie.
« Ô muse de l’errance, dis-moi où suis-je lié
À ce monde de décombres, à ce destin sacrifié ! »
Sa voix fendit la nuit, en un glas interminable,
Révélant la douleur d’une âme insatiable.

XXIII
Les vents portaient les chuchotements des mémoires
De cités jadis florissantes, hélas, aujourd’hui froides,
Et le jeune poète, prisonnier des trajectoires
D’un passé glorieux, dont l’écho en lui se démode,
Se laissait conduire par l’appel du néant
Où la paix éternelle s’offre en un silence croissant.
Mais dans son cœur battant, le désir de liberté
Restait une étoile, éphémère et condamnée.

XXIV
À l’approche du crépuscule, l’ombre s’allongeait,
Emportant en son sillage les illusions du passé.
La cité, dans sa splendeur déchue, maintenant mourante,
Offrait au poète son linceul de poussière errante.
Il sut, en ces instants, que sa quête se referme
Sur un abîme d’oubli, tel le destin qui se ferme.
« Ô Liberté, dernière muse, à qui dois-je confier
Le fardeau de ma vie en ce chaos consommé ? »

XXV
Dans un murmure final, empli de supplications,
Il implora le silence, l’indicible pardon,
De voir son errance couronnée d’une triste gloire,
Le souvenir d’un voyage au prix d’une ultime victoire.
Mais le temps, implacable, ne pouvait plus reculer
La fatalité d’un chemin dont l’issue était scellée.
L’ombre de l’oubli, impitoyable, gagnait son empire,
Emportant ses rêves en un lourd et funeste délire.

XXVI
Il se remémora, alors, l’éclat d’un tendre printemps,
Où sous le regard naïf, naissaient des chants d’antan,
Tels des bourgeons d’espérance sur l’étang de chaque jour,
Promesse de liberté, de lumière et d’amour.
Mais les ruines, froides et tristes, répliquaient en écho
Que l’existence n’est qu’un cycle de l’ombre et du faux,
Et la quête d’un être en proie à l’inévitable retour
Fut scellée par l’oubli, en un inéluctable séjour.

XXVII
Dans l’ultime clameur d’un soir, aux cieux altérés,
Le poète, fatigué, se trouva bientôt accablé.
Ses yeux, jadis si vifs, s’embuèrent d’un voile amer,
Et son âme pétrie de vers s’éteignit, solitaire.
La suite de son destin, inconsolable et morne,
S’acheva en silence, sous une nuit que rien ne transforme.
Chaque strophe, chaque râle, dans l’ombre s’effaçait
Comme le souffle d’une vie que le Temps emportait.

XXVIII
Avant l’heure fatale, il laissa échapper un aveu :
« Ma quête de Liberté fut l’ultime vœu
D’un être en tutelle, en proie aux affres du destin,
Mais le prix de ce rêve fut d’avaler son chagrin. »
Ses mots, vibrants et doux, se mêlaient aux frimas,
Chantant l’ironie du sort, l’inéluctable trépas
D’un cœur qui voulait briller, ô combien sincère,
Pourtant destiné à sombrer dans l’oubli amer.

XXIX
Et le soir se fit funeste, baigné de brumes légères,
Quand, dans un dernier sursaut, s’éteignit la lumière.
Ainsi, le poète maudit, aux rêves traversés d’ombre,
S’acheva sur le pavé, où le destin se fait sombre.
Dans ce lieu en ruines, où jadis s’offrait l’espérance,
Sa voix s’éteignit à jamais, scellant sa douloureuse errance.
La Liberté, tant espérée, se dissout en un soupir
Offrant en son ultime étreinte un funeste avenir.

XXX
Sur les décombres du temps, où l’espérance se meurt,
Les stances du poète résonnent en écho vainqueur,
Tels des cris silencieux, portés par le vent meurtri,
De l’homme qui chercha en vain à braver l’infini.
Son destin, en filigrane d’une quête d’absolu,
S’effaça dans l’oubli, par le cruel sort poursuivi ;
Et, dans ce dernier murmure, en un ultime adieu,
Sa vie offrit à la nuit un témoignage mystérieux.

XXXI
Tels des reflets d’un songe, dans l’âme des cendres naissantes,
Ses vers demeurent gardiens d’une flamme vacillante,
Un cri de liberté qui, malgré l’ombre et l’amer destin,
Traverse le voile épais d’un univers incertain.
Le poète, en des stances d’un lyrisme immémorial,
A laissé, en des mots purs, l’écho d’un rêve fatal,
Que nul ne saurait oublier, tant l’amour était grand,
Même quand l’oubli réclame en silence l’instant.

XXXII
Aujourd’hui, dans le fracas, résonne encore, obsédant,
Le chant de cet errant, qui, brave et douloureux,
A tout sacrifié, sa vie et son âme en jeu,
Pour une Liberté qui, discrète, s’enfuit lentement.
Ainsi l’histoire se scelle par un funeste crépuscule,
Où s’efface le poète, dans le temps qui se cumule,
Et l’ombre de son errance, sur le cœur des ruines funéraires,
Porte l’empreinte d’un destin inéluctable et précaire.

XXXIII
Le rideau se ferme sur cette tragédie en vers,
Où la quête de Liberté se dissout en univers
De désolation et de rêves, progressivement avortés,
Telle une fleur fanée que le vent a emportée.
Mais dans l’écho persistant de ces stances sublimes,
Vibre l’âme d’un poète aux douleurs intemporelles et intimes,
Hérité de son rêve, malgré la marée du néant,
Il nous enseigne que chaque vie est un chant poignant.

XXXIV
Aux confins de l’oubli, le destin se fait écriture,
Et le poète maudit, par un sort de pure usure,
Laisse en héritage ce cri, ultime et désespéré,
Cris de vie et de rêve, par le temps inéluctablement enchaîné.
Tel l’écho d’une liberté qui jamais ne se brisera,
Ses vers, doux et tristes, perpétuent l’âme qui fut là,
Et dans la ville en ruines, aux vestiges d’un passé,
Résonne le dernier chant d’une vie irrémédiablement passée.

XXXV
Ainsi s’achève la légende, porteur d’une douleur sublime,
Le destin du jeune poète, aux notes d’une ultime rime.
Sa quête, semblable à l’ombre, se précipite dans l’oubli,
Et la Liberté, son mirage, s’évanouit, indécise, ici.
Que cette strophe, ultime offrande d’un flair tragique,
Sème en nos cœurs le souvenir d’un amour épique,
Dans un souffle de nostalgie, et d’un adieu insoutenable,
Où se confond l’âme, la vie, et le rêve inévitable.

XXXVI
Au seuil du néant, sur l’échine d’un temps qui s’efface,
Le jeune poète demeure, en silence, face à sa disgrâce.
Un écho lointain nous rappelle son appel inextinguible :
« La Liberté est un chant qui, malgré tout, reste indicible. »
Et dans ce sombre décor, où se mêlent douleur et beauté,
Les vestiges de sa vie se dispersent en fragment d’éternité,
Nous laissant l’amertume d’un rêve en route vers l’oubli,
Témoin d’un destin tragique, d’une âme à jamais flétrie.

XXXVII
D’une ultime révérence, il se fond en l’ombre du néant,
Son cœur, jadis empli d’un désir infini et étincelant,
S’est éteint, tel un astre, farouche devant le crépuscule,
Laissant derrière lui un sillage d’espoir qui recule.
Car, au détour de l’existence, qui se meurt en un instant,
La Liberté s’échappe, éphémère, au gré d’un vent du temps.
Ainsi, se clôt ce récit, en une mélodie de désespoir,
Où chaque vers, chaque soupir, éternellement persévère dans le noir.

XXXVIII
Et si, demain, en méditant sur ces stances si claires,
Le cœur du lecteur, ému par ces chants, se laisse faire,
Qu’il entende encore vibrer l’âme du poète maudit,
Dont la quête de Liberté fut un chemin inouï.
Car, même dans l’oubli, ce rêve se fait messager poignant,
Révélant en notre être la fragilité du temps,
Et dans ce sillage d’amour, de lutte et d’accomplissement,
La Beauté de l’existence demeure, fragile et triomphant.

Ainsi se conclut, en une ultime note empreinte d’amertume,
Le tragique récit d’un cœur épris qui, face à l’enclume
Du destin, de l’oubli, ne pouvait que s’effacer en silence,
Offrant à la Liberté sa plus tendre révérence.
Que ce chant éternel, inscrit sur la toile du destin,
Reste le témoignage d’un rêve, d’un combat clandestin,
Où chaque mot, chaque vers, est l’écho d’une vie disparue,
Dans la cité en ruines, en un adieu éternelement reconnu.

Fin.

Alors que la lumière s’estompe et que le poète se dissout dans l’oubli, nous sommes laissés face à notre propre quête de sens et de liberté. Ce dernier chant résonne comme un rappel que chaque pas sur notre chemin est imbriqué dans un fil plus grand de lutte et d’espoir. Réfléchissons donc à notre propre vie, aux ruines que nous portons et à la lumière que nous cherchons encore.
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Auteur: Jean J. pour unpoeme.fr

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