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Adieu sous la Lueur d’Étoile

Dans un monde où les adieux laissent des marques indélébiles, ‘Adieu sous la Lueur d’Étoile’ explore la profonde mélancolie d’un amour perdu. Ce poème évoque une femme au cœur brisé, attendant son destin sur un pont où la pluie et les souvenirs se mêlent, transformant chaque larme en une étoile scintillante de douleur et d’espoir.

Adieu sous la Lueur d’Étoile

Sous le voile opaque d’un ciel en lamentation,
Sur le pont froid et mouillé, écho d’une affliction,
Se dresse, en silence, une âme aux pleurs de braise,
Femme au destin brisé, dont le cœur seul se délaise.

Le vent murmure aux pierres l’écho d’un vieux regret,
Et la pluie, complice, verse ses larmes en secret.
Là, sous la pâle lumière d’une étoile hésitante,
Elle attend l’adieu d’une heure funeste et déchirante.

Ses yeux, fenêtres tristes de douleurs inavouées,
Racontent l’histoire d’un sacrifice éprouvé,
Où l’amour, jadis vibrant, fut contraint de renaître
Dans l’ombre d’un serment, d’un adieu à faire naître.

Au bord des eaux sombres, d’un fleuve aux reflets muets,
Le pont, tel un témoin d’un destin trop imparfait,
Recueille le murmure d’une vie en suspens,
Et le soupir d’une amante aux espoirs vacillants.

I. L’Éveil du Souvenir

Dans un passé lointain, aux charmes évanouis,
Une idylle pure éclatait, comme un doux bruit
D’un ruisseau dans les champs d’or aux senteurs d’espérance,
Où l’âme des amants offrait sa tendre révérence.
Elle, belle et fière, rayonnait sous l’aurore,
Et son regard si limpide, en secret, implore
Un amour sincère, pur, aux accents immortels,
Offrant sans retour ses rêves sans artifices cruels.

Cependant, le destin, en farce cruelle et avide,
Confronta la jeune femme à une épreuve timide,
Où l’ombre s’empara de ses pluies d’espoir,
Et fit d’un doux paradis un triste miroir.
Le sacrifice, lourd fardeau de ceux qui osent aimer,
Devenait alors la clef d’un bonheur condamné,
Car l’ordre du temps, impitoyable destinataire,
Contraignait à choisir entre vie et l’âme de l’amant solitaire.

II. Le Crépuscule des Promesses

Au cœur d’un soir d’automne, l’heure était venue,
De sceller une parole, d’un adieu attendu.
Sur ce pont transi, là où la pluie dessine
Des arabesques d’argent, de doulourines épines,
La femme se tenait, vêtue d’un sombre chagrin,
Les yeux embués d’une lueur d’un passé lointain.
Contre la brume d’une nuit qui semblait éternelle,
Elle murmurait un chant de destins irréels.

« Adieu, cher amour, mon cœur en berne et déchu,
Ta présence fut un astre que mon ciel avait accru,
Mais le chemin s’écarte, aux embruns de l’inévitable,
Et ma vie se doit d’être scellée à la croisée des fables. »
Ses mots, nés de l’abîme d’un douloureux sacrifice,
Résonnaient en échos d’un accord si propice
Qu’un fragment de leur être se mourait en silence,
Face à l’obligation d’un choix, d’une triste sentence.

Les larmes se mêlaient aux gouttes de la pluie,
Et l’étoile isolée, témoin d’une nuit éperdue,
Semblait comprendre l’ardeur d’un adieu consumé
Par la force d’un destin implacable et désabusé.
Dans l’air vicié de regrets, la fragile union
D’un amour sincère se brisait sans rémission,
Et le pont, lieu de la rencontre et de la séparation,
Devenait le théâtre de l’ultime abdication.

III. L’Instant Avant l’Abîme

Sous la grisaille éternelle, le temps se suspend,
Tandis que la femme, aux traits par le destin défendus,
Revisite son passé de tendres amours confondus,
Quand l’espoir terrestre et céleste s’allumait ardent.
Un souvenir si fragile, à l’instant flamboyant,
Lui rappelait le regard de l’aimé, si sincère,
Avant qu’une ombre glaciale ne vienne parfaire
La sentence amère d’un futur inadéquat et tremblant.

« Ô toi qui fus mon île, ma raison et mon soleil, »
Chuchota-t-elle en murmurant, sous un voile vermeil,
« La mort de mes rêves, en ce sacrifice cruel,
S’élève pour te libérer d’un amour trop réel.
Pardonne mon adieu, qu’il est la seule clé
Pour sceller nos destins, en un pacte sacré
Où l’essence de mon être s’abandonne en silence,
Telle la rose qui fane sans ode de délivrance. »
Ainsi, ses paroles, douces et cruellement sincères,
S’unirent au chuintement de la pluie, messagères
D’un ultime serment, d’un adieu à nul retour,
Où l’amour se sacrifiait pour conjurer le jour.

IV. La Rencontre avec l’Inéluctable

Sur le pont, le temps s’égrenait en soupirs funèbres,
Et l’ombre de la destinée se faisait plus implacable,
Comme la lourde marche d’un destin inévitable,
Qui collectait les instants et les rêves en sèvres.
Face à la nuit étoilée, comme une amante éternelle,
Le regard de l’amante se perdit dans l’immensité,
Où l’espace lui offrait la trame d’une fatalité
Qui battait en écho la fin de ses pensées mortelles.

Alors, dans une ultime révérence, elle déclara :
« L’heure est venue, ô mon tendre aimé, d’accepter
Le poids de ce sacrifice, pour nos âmes de passeurs,
Qui, dans l’ombre, voient s’envoler les rires et les pleurs.
Je renonce à nos heures et à la douce lumière,
Afin d’offrir à ton cœur la paix d’une ère
Où la douleur se dissout en larmes d’oubli,
Et où le souvenir d’un amour sacré survit. »
Sa voix, en écho pâle, se mêlait à l’onde des regrets,
Et le pont, dans son immobilité, portait le destin
De ces deux âmes liées par un pacte incertain,
OÙ l’amour et le sacrifice tissaient le fil secret.

V. L’Adieu Ultime Sous l’Étoile

Sous la voûte étoilée, la pluie en un dernier élan,
S’abattait, implacable, sur le cœur troublé des amants,
Qui, unis dans la douleur, s’offraient à l’inévitable,
Dans un dernier baiser, douloureux et ineffable.
Sur le pont, là où les regrets se noient dans la nuit,
Leurs mains se frôlèrent en un instant d’adieu infini,
Témoignant d’un amour, à jamais consacré
Par un sacrifice ultime, par la fatalité dictée.

« Adieu, ô mon cher amour, c’est l’heure de s’effacer, »
Murmura la brise légère, complice et désespérée,
« Que nos cœurs se séparent en un ultime serment,
Afin que l’ombre de nos vies se dissolve lentement. »
Les mots s’évanouirent dans le long chemin de la pluie,
Laissant en leur trace une douce et poignante agonie
Où le silence devint le tribunal de l’amour sacré,
Et où la destinée, implacable, ne pouvait qu’imposer
La fin inévitable d’un serment trop lourd à porter.

Le pont gît, témoin muet de l’horloge du chagrin,
Où la femme, aux yeux embués d’un bonheur fuyant,
Avait consenti le sacrifice, dans un geste austère
Qui scellait, à jamais, son amour, son douloureux mystère.
Ainsi se fermait le cycle d’un rêve trop humain,
Où l’adieu sous la lueur d’une étoile, en chemin,
Devint le sceau définitif d’un destin en déclin,
Éteignant dans la nuit la flamme d’un amour divin.

VI. L’Épilogue de Douleur et de Grâce

Dans le murmure des feuilles, la mémoire persiste,
D’une âme qui se libéra en un geste si triste,
Pour que, sur le pont maudit, à jamais se gravât
L’adieu d’un amour pur, où le sacrifice se pactât.
Les cieux, dans leur éternelle et froide indifférence,
Gardent en écho la plainte d’une dernière espérance,
Où la femme au destin brisé, par son choix inéluctable,
S’est offerte en offrande, en un sacrifice mémorable.

Ainsi se clôt la ballade d’un amour déchu et fier,
Où la pluie et l’étoile, complices d’un dernier mystère,
Ont vu s’affranchir le fardeau d’un cœur meurtri,
Pour que l’absence devienne le témoignage de la vie.
Le pont reste en mémoire, comme un autel funéraire,
Où l’on pleure encore, en échos quasi-prénataires,
La douce tragédie d’un adieu sous l’astre solitaire,
Un serment de douleur, d’amour et d’un adieu sincère.

Que le temps, dans son cours, efface les souffrances,
Mais ne ternisse jamais l’image de cette instance,
Où le sacrifice se mua en une offrande sublime,
Et la femme, en un ultime cri, embrassa l’abîme.
Dans le silence de la nuit et l’ombre de la destinée,
Elle laissa en héritage une leçon transcendantée :
Que l’amour, toujours, se sacrifie en éclats d’espérance,
Même lorsque l’adieu, inévitable, scelle la révérence.

Ainsi, sur ce pont sous la pluie, se fond le souvenir,
D’un adieu sous la lueur d’une étoile à venir,
Où le sacrifice d’une âme en peine devint lumière,
Un symbole éternel, malgré l’amère dernière ère.
Au cœur de la nuit, dans la brume des temps révolus,
La tristesse et l’amour se confondent en un salut,
Et le destin, implacable, poursuit son chemin obscur,
Laissant derrière lui l’empreinte d’un rêve si pur.

Telle fut l’odyssée d’un amour voué à sa fin,
Où la femme au destin brisé, en un adieu divin,
S’unit à l’ombre du pont, aux pleurs de la pluie éternelle,
Scellant pour l’éternité sa douleur ineffable.
Que ce chant, en vers immuables et en alexandrins,
Rappelle aux âmes errantes l’éclat d’un amour divin,
Et qu’en chaque adieu, dans la souffrance et l’honneur,
Vibre encore l’essence du sacrifice et du grand amour.

En réfléchissant à ce poème poignant, nous réalisons que chaque adieu est un chapitre de notre histoire d’amour, une invitation à contempler le sacrifice nécessaire pour préserver l’essence même de nos sentiments. La douleur de la séparation peut parfois éclairer la voie vers la compréhension de l’amour véritable. Que chaque séparé trouve la paix dans la promesse d’une étoile qui veille, même dans les ténèbres.
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Auteur: Jean J. pour unpoeme.fr

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