back to top

Utilisation des poèmes : Tous les poèmes de unpoeme.fr sont libres de droits et 100% uniques "sauf catégorie poésie classique" .

Vous pouvez les utiliser pour vos projets, écoles, affichages, etc., en mentionnant simplement notre site.

⚠️ Les poèmes soumis par nos lecteurs qui souhaitent en limiter l'usage auront une mention spécifique à la fin. En l’absence de cette mention, considérez-les comme libres de droits pour votre usage personnel ou professionnel.

Profitez-en !

Partagez votre talent avec nous ! ✨ Envoyez vos poèmes et histoires via ou utilisez ce formulaire.
Tous les styles sont bienvenus, tant que vous évitez les sujets sensibles. À vos plumes !

Putain de Toi

Le poème ‘Putain de Toi’ de Georges Brassens, écrit dans la seconde moitié du 20ᵉ siècle, illustre de manière poignante les péripéties de l’amour et de la nostalgie. À travers un style musical et des métaphores évocatrices, Brassens nous plonge dans un univers où l’amour se mêle à la souffrance et à la beauté éphémère des moments partagés. Ce poème reste un incontournable de la poésie française, touchant par son honnêteté et sa profondeur émotionnelle.
En ce temps-là, je vivais dans la lune Les bonheurs d’ici-bas m’étaient tous défendus, Je semais des violettes et chantais pour des prunes Et tendais la patte aux chats perdus. Refrain Ah, ah, ah, ah putain de toi Ah, ah, ah, ah pauvre de moi… Un soir de pluie v’ià qu’on gratte à ma porte Je m’empresse d’ouvrir, sans doute un nouveau chat, Nom de Dieu 1′ beau félin que l’orage m’apporte C’était toi, c’était toi, c’était toi. (Refrain) Les yeux fendus et couleur de pistache T’as posé sur mon cœur ta patte de velours Fort heureusement pour moi t’avais pas de moustache Et ta vertu ne pesait pas trop lourd. (Refrain) Aux quatre coins de ma vie de bohème T’as prom’né, t’as prom’né le feu de tes vingt ans, Et pour moi, pour mes chats, pour mes fleurs, mes C’était toi la pluie et le beau temps… [poèmes (Refrain) Mais le temps passe et fauche à l’aveuglette. Notre amour mûrissait à peine que déjà, Tu brûlais mes chansons, crachais sur mes violettes, Et faisais des misères à mes chats. (Refrain) Le comble enfin, misérable salope, Comme il n’ restait plus rien dans le garde-manger, T’as couru sans vergogne, et pour une escalope, Te jeter dans le lit du boucher. (Refrain) C’était fini, t’avais passé les bornes, Et, r’nonçant aux amours frivoles d’ici-bas, J’suis r’monté dans la lune en emportant mes cornes, Mes chansons, et mes fleurs, et mes chats. (Refrain)
Ce poème nous invite à réfléchir sur les amours éphémères et les souvenirs qui persistent malgré les déceptions. N’hésitez pas à explorer d’autres œuvres de Georges Brassens pour plonger encore plus dans son univers poétique unique.

💖 Soutenez notre travail ! 💖

Si nos poèmes et histoires ont touché votre cœur et apporté un peu de lumière à votre journée, nous vous invitons à soutenir notre projet, chaque don, même modeste, nous aide à continuer à créer et partager ces moments de douceur, de réflexion et d'émotion avec vous.
Ensemble, nous pouvons faire grandir cet espace dédié à la poésie et aux histoires, pour qu’il reste accessible à tous.

Merci de tout cœur pour votre générosité et votre soutien précieux. 🌟

➡️ Faites un don ici

Laisser un commentaire

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici