Je parcours les ruelles blanches d’Obidos comme on relit un livre ancien, les toits rouges dessinant l’horizon.
Les murailles racontent la romanité, la présence mauresque et le geste des rois qui offrirent la cité aux reines.
L’air porte le jasmin, la ginjinha et le sel de la lagune, tandis que les cloches marquent le temps au soir.
Voici la ville à visiter pour son patrimoine vivant, son artisanat d’azulejos et ses paysages côtiers.
Échos d’Obidos
Berceau des Maures, reconquise, donnée en douaire aux reines — mémoire qui enflamme l’âme.
Immense château veille sur la cité, la Porta da Vila en azulejos garde chaque trame de l’âme.
Dans la Rua Direita et l’église Santa Maria résonnent marchés et fêtes médiévales qui consument l’âme.
Ou la lagune d’Óbidos et la mer proche dessinent dunes et horizons, ateliers et panoramas pour l’âme.
Son des cloches, murmure du souk et goût de ginjinha : patrimoine, artisanat, festivals qui nourrissent l’âme.
Passe par la Porta da Vila, prends la Rua Direita, écoute les histoires gravées dans la pierre.
Goûte la ginjinha servie dans un petit verre, flâne chez les artisans d’azulejos et regarde la lagune au crépuscule.
Que la cité, entre mer et remparts, te livre ses saisons, ses fêtes et sa mémoire vivante.
Clés de Lecture du Poème
Genre Poétique: acrostiche, chant lyrique inspiré de la tradition classique.
Thèmes Abordés: attachement à la ville, mémoire historique (romains, occupation mauresque, reconquête, douaire aux reines), patrimoine et résilience.
Atmosphère Évoquée: murs blancs et toits rouges, jasmin et ginjinha, cloches et marché, brise saline de la lagune au coucher du soleil.
Invitation du Poète: visiter pour le patrimoine (château, murailles, Porta da Vila), l’artisanat d’azulejos, la gastronomie locale, les festivals médiévaux et la beauté des paysages côtiers.