Les clairières du bonheur
Dans l'aube d'un monde où danse la lumière,
Un souffle de vie enlace l'éphémère,
Au cœur des forêts où le temps semble suspendu,
Les clairières du bonheur se sont tissées, étendues.
Au fil de l’eau, le ruisseau murmure
Des secrets anciens, pureté et murmure,
Cheminant à travers des prés verdoyants,
Où le ciel embrasse la terre, amant flamboyant.
Les oiseaux, messagers de l'azur infini,
Tressent de leurs chants un tissu d'harmonie,
Des mélodies qui éveillent l’âme à la douceur,
Ouvrant les cœurs à la quête du bonheur.
Les arbres, gardiens de ces lieux enchanteurs,
Déploient leurs branches telle une invitation au voyageur,
A se perdre entre les ombres et la lumière,
Dans cette danse où le silence parle aux prières.
Les fleurs sauvages, éclats de rires colorés,
Jonchent nos pas d'un tapis étoilé,
Chaque pétale, une promesse de renouveau,
Un horizon où chaque rêve prend son envol.
Sous le voile de la nuit, la lune veille,
Argentant les prairies d'une douceur sans pareille,
Les étoiles, phares d'espoir dans l'obscurité,
Nous guident vers les clairières de la sérénité.
Et là, au plus profond, où tout n'est que beauté,
Où l'esprit, libre, peut enfin respirer,
Les clairières du bonheur se révèlent à ceux qui osent,
Y chercher la paix, et dans un souffle, se métamorphosent.
Car le bonheur, ce voyage sans fin ni début,
Se niche dans l'éclat d'un regard, dans un geste tendu,
Dans la fusion des âmes avec le monde vibrant,
Où chaque instant est un joyau éblouissant.
Ce poème, tissé d'espérance et de lumière,
Est une ode à la vie, à sa beauté éphémère,
Aux clairières du bonheur, oasis de notre existence,
Où l'amour et la joie naissent de la patience.
Alors, que chaque mot, chaque vers de cette épopée,
Porte en lui l'écho de nos cœurs, en quête de clarté,
Pour que dans ces clairières, nous trouvions notre part,
De bonheur, cette étincelle qui illumine le regard.
Et lorsque le voile du temps tombera enfin,
Que nos âmes s'élèveront au-delà du chemin,
Que restera-t-il de nos jours, sinon l'amour,
Semé au cœur des clairières, où tout commence, toujours.
Dans ces refuges de paix, où le silence parle,
Où la beauté du monde s'offre sans fard ni marbre,
Nous apprenons que le bonheur est une terre à cultiver,
Un art, où chaque geste est un mot à murmurer.
Les clairières du bonheur, vastes étendues de vie,
Sont le miroir de nos âmes, l'écrin de nos envies,
Un havre où le temps s'égrène doucement,
Nous rappelant que tout est précieux, tout est émouvant.
Ainsi, au cœur de ce poème, s'entrelace la vérité,
Que le bonheur est une quête, un chemin à arpenter,
Avec pour seule boussole, l'amour et la tendresse,
Dans les clairières du bonheur, gardons cette promesse.
Que chacun de nous, explorateur de l'existence,
Puisse trouver sa clairière, son essence,
Et dans le murmure du vent, le chant des oiseaux,
Découvrir que le bonheur est le plus beau des cadeaux.
Car au-delà des mots, des vers et des rimes,
Se trouve l'essence même de nos âmes sublimes,
Dans les clairières du bonheur, au creux de la nature,
Notre humanité se révèle, pure et sans armure.
Les clairières du bonheur, songes éveillés,
Sont le témoignage vibrant d'une humanité reliée,
À la terre, au ciel, à l'univers tout entier,
Un poème vivant, un hymne à la beauté.
Alors, marchons ensemble vers ces clairières enchantées,
Où la vie se célèbre, où le cœur trouve sa vérité,
Dans le silence des forêts, écoutons l'appel,
De ces terres de lumière, où tout est éternel.
Les clairières du bonheur, lieux de convergence,
Où la sagesse et l'amour sont la seule urgence,
Nous invitent à regarder au-delà des apparences,
À découvrir dans la simplicité, l'essence de notre existence.
