Vers l'inconnu
Dans le berceau du jour qui s'éveille doucement,
Un murmure s'élève, porté par le vent d'or.
Il raconte l'histoire d'un monde loin devant,
Où les rêves fleurissent, où l'espoir est encore.
Au coeur de l'immensité, sous le ciel vaste et clair,
Une voix nous invite à parcourir le monde,
À s'aventurer loin, au-delà des frontières,
Dans un voyage profond, où chaque seconde
Est un fil d'Ariane dans le labyrinthe de nos doutes,
Chaque pas une note dans la symphonie de la vie.
Les cœurs battent en rythme, sur une route
Dérobée, qui serpente sous la lune qui luit.
Les étoiles sont des phares dans la nuit de nos âmes,
Éclairant les abîmes, dessinant notre trajet.
Chaque homme est un navigateur qui proclame
Le droit de chercher sa voie, son propre secret.
Les montagnes se dressent, fières et sauvages,
Les océans rugissent, libres et indomptés.
Dans ce monde Eden, au mille visage,
Se cache le sens de notre éternité.
Dans le creuset du temps, nos rêves prennent forme,
Forgerons de destinées, nous sculptons l'aurore.
Avec pour seul guide la lumière des normes,
Nous avançons, poussés par le désir d'encore.
Et tandis que le jour se meurt en flamboyance,
Laissant place à la nuit, mère des réflexions,
Un espoir persiste, fait de résilience,
Éclairant demain de ses douces oraisons.
Alors, que dire du voyage, de cette quête insensée,
Sinon qu'elle est la trame sur laquelle est tissée
La grande épopée humaine, en constante effervescence,
Poussée par l'amour, la peur, et l'existence ?
Car voyager vers l'inconnu n'est pas fuir,
Mais embrasser l'horizon, dans un élan d'ouverture.
C'est réapprendre à rêver, à sourire, à ressentir,
Et peindre sa vie de mille et une couleurs pures.
À travers les épreuves, les joies et les peines,
Chaque souffle est un pas vers ce que nous choisissons de devenir.
Dans cette danse éternelle, cette lutte qui enchaîne,
On trouve la force de croire, d'aimer, de construire.
Et s'il est vrai que chaque histoire a une fin,
Que chaque rêve se dissout dans l'aube qui naît,
La beauté réside dans le voyage sans fin,
Dans la poursuite incessante de ce qui sera, de ce qui est.
Alors, audacieux voyageurs de l'instant éphémère,
Continuons de tracer nos routes dans l'immensité de l'éther.
Que chaque mot soit une étoile, que chaque pensée soit une mer,
Dans ce grand poème qu'est la vie, toujours à refaire.
Que la fin de notre voyage soit un commencement,
Une porte sur un autre monde, un autre temps.
Car, dans le cœur de l'inconnu, réside la vraie magie :
Le pouvoir de transformer, d'aimer, de changer notre vie.
Et ainsi, en tissant des mots avec art et subtilité,
Nous voyageons à travers les ombres et la lumière,
Redécouvrant le monde à chaque instant, avec authenticité,
Comme des poètes, des amoureux de la Terre entière.
Ce poème est un voyage, un pas vers l'inconnu,
Un appel à explorer le vaste monde de nos âmes.
À travers le prisme de nos yeux, tout est vu,
Tout est possible, dans ce grand ballet qui enflamme.
Car, dans la langue des poètes, dans le chant des mots,
Réside un pont vers l'ailleurs, un passage secret
Où le monde se dévoile, loin des échos
De notre quotidienne réalité, de notre quête.
À vous, lecteurs audacieux, chercheurs d’étoiles,
Qui bravez l’inconnu avec courage et envie,
Sachez que chaque rime, chaque mot qui s’étale,
Est un pas de plus vers la lumière de la vie.
Dans ce voyage sans fin, embrassons l'horizon,
Avec pour seule boussole le cœur vibrant de passion.
Que nos vies soient des poèmes, écrits avec émotion,
Naviguant vers l'inconnu, avec détermination.
Et lorsque le rideau tombera, et que le silence
Embrassera notre être, dans un souffle final,
Que restera-t-il de nos jours, de notre existence ?
Sinon l'amour, les rêves, et ce voyage intemporel.
Vers l'inconnu, nous marchons, les yeux plein d'étoiles,
Avec la poésie comme voile, l'aventure comme voie.
Dans le livre de la vie, chaque mot est une étoile,
Illuminant notre chemin, vers ce que l'on croit.
Ainsi se conclut notre épopée, douce et forte à la fois,
Un hymne à la vie, au voyage, à la quête de soi.
Écrire, vivre, aimer, c'est embrasser la joie,
De découvrir, page après page, ce qui réside en toi.
