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L’ivresse des altitudes

L'ivresse des altitudes

Dans le souffle cristallin de l'aube émergeante,
Où les cieux se drapent d'or et d'indigo,
S'entame le récit, la danse éloquente
D'un monde suspendu entre rêve et écho.

Portés par le désir, aspirant aux sommets,
Nos cœurs s'élèvent, défiant l’immensité,
Sur les ailes du temps, sans chaînes ni regrets,
Vers ces altitudes où tout semble à portée.

Là, où l’air est plus pur, la vue infinie,
L’horizon nous appelle, la brume s’estompant,
Rejoindre les étoiles, quête inassouvie,
Dans un ballet silencieux, mais obsédant.

Les sommets embrassent les nuages de leur fraîcheur,
Dessinant dans le ciel des fresques mouvantes,
L'homme, face à l'éternel, perçoit sa petitesse,
Et dans cet instant, trouve sa véritable essence.

Chaque sommet conquis devient un testament,
De courage, d'espoir, dans le silence des altitudes,
C'est dans l'effort que l'on saisit pleinement
La beauté brute de nos rêves en plénitude.

Mais l’ivresse des cimes cache un vertige profond,
Un appel au renoncement, à l'humilité,
Car dans la grandeur de la nature se fond
La délicate frontière de notre humanité.

On y apprend que pour toucher le ciel,
Il faut embrasser l'abîme, aimer chaque pierre,
Et que la vérité, dans son éclat le plus cruel,
Est aussi douce que la caresse de la terre.

Ainsi, dans la quête de ces hauteurs silencieuses,
Se révèle un chemin semé d’étoiles et de poussière,
Où chaque pas est une note dans la symphonie précieuse
De l'univers, et de notre éphémère traversée.

L’ivresse des altitudes, enivrante liberté,
Nous enseigne la force dans la vulnérabilité,
Que chaque souffle, chaque larme versée,
Est un couplet dans la grande ode de l’humanité.

Et quand le crépuscule tisse son voile d'obscurité,
Que les cimes retrouvent leur solitude austère,
C'est dans le silence retrouvé, la sérénité,
Que l'on comprend que notre quête était terre à terre.

Car ce n’est pas l’altitude qui nous élève,
Mais la profondeur de notre voyage intérieur,
Dans cette incessante recherche, cette trêve,
Nous trouvons un sens, un but, un moteur.

Alors, que restera-t-il de nos ascensions?
Des souvenirs gravés dans le marbre du temps,
Des instants volés à l'infini, des chansons
Qui résonnent, échos de nos rires, de nos pleurs.

L'ivresse des altitudes n'est pas finir, mais débuter,
Un chemin perpétuel, tourné vers l’inconnu,
Un rappel que, dans l’immensité de cette voie lactée,
Notre plus grand voyage est celui que nous n’avons pas vu.

Dans le souffle cristallin de l'aube naissante,
Le poème se tait, mais l'histoire demeure,
Car chaque âme est une étoile, ardente, dansante,
Dans l'ivresse des altitudes, trouve son cœur.

Et le message, dans sa beauté simple, se déploie:
C’est dans l’embrasse de nos réalités multiples,
Dans le murmure des vents, la caresse de la pluie,
Que se tisse le lien indéfectible de nos vies.

Que ce poème soit un phare, guidant vers l’authenticité,
Un rappel tendre que, dans l’immensité de nos luttes,
Se trouve l’essence même de la fraternité,
Et dans le partage de nos rêves, notre véritable but.

Ainsi, portons nos regards vers l’horizon,
Avec courage, amour, et une pointe d’ambition,
Dans l’ivresse des altitudes, notre vision,
Se déploie, majestueuse, sans limitation.

Dans cette quête, chaque mot, chaque vibration,
Est un pas de plus vers notre élévation,
Dans le grand livre du monde et de ses passions,
Notre histoire s'écrit, pure, sans prétention.

Au cœur de l'ivresse des altitudes, nous sommes,
Voyageurs de l'éphémère, étoiles en floraison,
Dans ce vaste univers, nous traçons notre nom,
Avec la plume de notre existence, notre plus belle chanson.

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