La fête des étoiles, voûte céleste scintillante
Dans le silence éthéré de l’obscur firmament,
Un bal silencieux s’anime lentement.
D’étoiles en comètes, enchantement céleste,
Une fête des lumières danse sans cesse.
L’ouverture de cette scène illustre le songe,
Où l'univers déploie ses voiles et nous plonge
Dans un rêve éveillé, aux mille et une parcelles,
Serti de joies pures, d’éclats immortels.
Le firmament, tel un peintre aux doigts d’or,
Trace des arabesques à l’infini, sans effort.
Chaque étoile, une note sur la portée du vent,
Compose une symphonie pour l’auditeur attentif.
La voie lactée, d’un blanc nacré, écharpe l’espace,
Comme un fleuve qui serpente, un chemin qui s’efface.
Les astres, comme des joyaux ouvrant le bal,
Guident les âmes perdues vers leur idéal.
Sur cette scène céleste, le temps semble suspendu,
Les constellations racontent des légendes perdues.
Orion, le chasseur, veille dans son éternelle quête,
Et Cassiopée, dans sa chaise, rêve à la fête.
Des météores, en éclaireurs, filent sans bruit,
Dessinant des souhaits dans le tissu de la nuit.
Leurs trajectoires, flèches argentées,
Pointent vers des demains encore étoilés.
Chaque astre, une âme qui veille ou rêve encore,
Éclaire le chemin pour ceux qui cherchent le nord.
Dans l’immensité froide, leur chaleur nous rappelle,
Que même dans l’ombre, la lumière est éternelle.
Et parmi cette fête, un astre plus brillant,
Vénus, déesse du soir, passion ardente brûlant.
Elle susurre aux amants les secrets de la nuit,
Enveloppe leur monde d’un voile de douceur infini.
L'aube, timidement, lève le rideau du jour,
La fête s'efface, mais promet un retour.
Car chaque nuit, les étoiles, dans leur sublime élan,
Renouvellent leur serment d’illuminer les temps.
Que cette voute céleste, dans son infinie beauté,
Nous enseigne la valeur de l’immortalité.
Non dans le fait de durer à travers les âges,
Mais dans les instants éphémères qui s’inscrivent en nous comme des pages.
La nuit nous révèle que dans l’obscurité la plus pure,
Résident lumière, espoir, et rêves que l’on capture.
Elle nous incite à chercher notre propre lumière,
À être des étoiles dans le ciel de nos propres univers.
La fête des étoiles, voûte céleste scintillante,
Un poème qui se vit, se ressent, non pas qui se chante.
Dans cette danse céleste et ce ballet d’éclats,
Est un appel à trouver notre voie, notre propre éclat.
En conclusion, ce voyage au cœur de la nuit étoilée,
Est un miroir des âmes et de leur quête éthérée.
Les étoiles, métaphores de nos propres lumières,
Nous invitent à réfléchir sur notre rôle sur cette Terre.
Car la vie, telle une fête des étoiles ininterrompue,
Est un ensemble de moments brillants, de passions vécues.
À travers ce poème, un rappel, une ode à la vie,
Pour chérir chaque instant, comme la nuit chérit l’infini.
