La majesté des montagnes enneigées
Dans le silence d’un matin immaculé,
L’aurore caresse les cimes éveillées,
Où la brume se dévoile en douceur,
Les montagnes enneigées, gardiennes du temps,
Se dressent, majestueuses, témoins éternels
De la passion indomptable de la nature sauvage.
Leurs sommets, tels des diadèmes d’argent,
Brillent sous le regard bienveillant du ciel,
Comme des phares dans le vacarme du monde,
Guidant les âmes perdues vers un havre de paix.
Chaque flocon, une pensée éphémère,
Dessine des rêves en cascades blanches.
Sous leurs mantels glacés, des histoires oubliées,
De valeureux guerriers et de princesses lointaines,
Sommeillent, échos figés d’une époque révolue.
La glace, telle une gardienne fidèle,
Protège les secrets de ces amours légendaires,
Enfouis profonds, sous son étreinte éternelle.
Ces géants silencieux, parés de leur blancheur,
Chantent en choeur une mélodie sans âge,
Un hymne à la vie, à sa beauté fragile,
Qui, malgré les tempêtes et les vicissitudes,
Persiste et signe dans le marbre des époques,
L'immuable espoir d'un renouveau perpétuel.
Au cœur de l’hiver, quand le froid mord la peau,
Et que le soleil se fait paresseux et lointain,
Les montagnes enneigées, dans leur grande sagesse,
Remind us that every end is but a beginning,
Que chaque adieu cache une promesse de retour,
Dans le cycle éternel de la création.
Au printemps, elles offrent leurs larmes fondues,
Pour que vallées et rivières se parent de fleurs,
Et que la vie, dans un élan de gratitude,
Renaisse, plus vibrante, sous leurs bienfaits.
Elles nous enseignent, dans leur mutisme éloquent,
L'humilité et la grandeur de l'existence.
L’été, sous le zénith, elles défient le soleil,
Refusant de se soumettre à sa flamme ardente,
Préservant en leur sein la fraîcheur des abîmes,
Oasis de calme dans le désert de l’ardeur,
Rappelant que, même dans l’épreuve et la canicule,
La persévérance mène aux oasis de paix.
L’automne les pare de ors et de pourpres,
Dans un ultime éclat avant le grand sommeil,
Un feu d’artifice célébrant l’éphémère,
Un rappel qu’en toute finitude réside une beauté,
Que chaque feuille qui tombe est un poème,
Une ode à la transformation et au changement.
Et lorsque le cercle de l’année se referme,
Les montagnes enneigées, dans leur immuable présence,
Nous invitent à contempler le chemin parcouru,
À chercher dans le silence la voix de notre essence,
Pour comprendre, enfin, que la vie, dans sa splendeur,
Est un poème sans fin, écrit par la main du temps.
Dans la majesté des montagnes enneigées,
Se trouve un miroir de notre âme en quête,
Reflecting the myriad facets of our journey,
Chaque crête, chaque vallée, une histoire à raconter,
Un chapitre de ce vaste épos qu’est l’existence,
Où chaque souffle est un vers, chaque pas un quatrain.
Alors, contemplez avec révérence ces titans de glace,
Laissez leur silence vous parler, vous inspirer,
Pour que, dans le tumulte de notre monde empressé,
Nous puissions retrouver la sérénité des hauteurs,
Et comprendre que, dans le grand poème de la vie,
Chaque mot compte, chaque moment est précieux.
Car dans la majesté des montagnes enneigées,
Se révèle la force tranquille de l’être,
Une invitation à élever notre esprit,
À dépasser nos peurs, nos doutes, nos limites,
Et à embrasser, avec audace, le magnifique mystère
Que représente l’extraordinaire voyage de la vie.
Puissions-nous, à l’image des montagnes enneigées,
Devenir des phares, des guides pour l’humanité,
Témoins de l’amour, de la beauté et de la vérité,
Dans ce grand poème qu’ensemble, nous continuons d’écrire,
Offrant au monde, à travers nos vers et nos actes,
Un héritage de lumière, d’espérance et de majesté.
