La beauté éphémère des cerisiers en fleurs
Au commencement d'un printemps timide,
S'éveille sous un ciel d'azur étendu,
Un spectacle de pureté presque candide,
La beauté éphémère des cerisiers en fleurs tendu.
Ces messagers de saison, en robes de satin,
Dispensent au monde leur grâce éphémère,
Leurs pétales blancs, doux et fins,
Dansent au vent, libres comme l'air.
Au cœur de l'éphémère, une éternité se dessine,
Chaque fleur, un souffle, une destinée divine,
Un cycle de vie qui, dans sa brièveté, s'achève,
Pour renaître de ses cendres, et à nouveau, s'élève.
Sous leurs branches, un voile de tranquillité,
Les âmes se retrouvent, en quête de vérité,
Les cerisiers, en fleurs, murmurant à l'unisson,
Des récits ancestraux, d'amour, de passion.
Le soleil, à travers les pétales translucides,
Teinte le monde de rose, de nuances lucides,
C'est un instant de paix, volé à l'éternité,
Une ode à la vie, à sa fragile beauté.
Les fleurs, dans leur danse, semblent susurrer,
Des mots doux, éphémères, pour l'âme consoler,
"Saisis l'instant, car rien n'est éternel,
Dans le murmure du vent, trouve ton essentiel."
La beauté des cerisiers n'est pas qu'un spectacle visuel,
C'est un voyage intemporel, presque spirituel,
Un moment de réflexion, sur la fugacité de l'existence,
Sur l'importance de chérir chaque instant avec clairvoyance.
Comme les cerisiers, notre vie est un printemps éphémère,
Où chaque fleur, chaque rêve, chaque espérance, est légère,
Nous sommes les jardiniers de notre destinée,
Semant des graines de bonheur, d'amour, de sérénité.
Et puis, les fleurs tombent, le spectacle prend fin,
Les cerisiers se dressent, forts, assurés de leur destin,
Dans la chute de leurs pétales, une promesse se renouvelle,
Celle d'un retour, d'un nouveau cycle, éternel.
Dans le silence de la chute, une beauté se révèle,
Dans l'éphémère, une leçon de vie nous interpelle :
Tout est cyclique, tout renaît, dans la nature, dans les âmes,
Dans chaque fin, se cache un commencement, une nouvelle flamme.
Ainsi, lorsque les cerisiers se parent de blanc,
C'est un rappel, pour chaque passant,
De vivre pleinement, avec passion et ardeur,
Car la vie, comme les cerisiers, est une suite de fleurs.
Et dans cette contemplation, un silence s'installe,
Invitation à écouter, ce que la nature nous enthrall,
Que dans l'éphémère beauté des cerisiers en fleurs,
Se trouve une vérité plus grande, sur nos cœurs, nos valeurs.
La beauté éphémère des cerisiers en fleurs,
Un spectacle de la nature, éclatant de couleurs,
Nous enseigne l'importance, de chaque instant savourer,
Et dans le cœur de l'éphémère, l'éternité capturer.
Alors que le printemps s'efface, doucement, dans le temps,
Les souvenirs des cerisiers en fleurs, persistent, vibrants,
Un rappel, gracieux, de la beauté dans la fragilité,
Dans l'incessant cycle de la vie, une éternelle vérité.
La beauté éphémère des cerisiers en fleurs,
N'est pas juste un moment, mais un maître du cœur,
Une muse, inspirant les âmes à danser, à s'élever,
Au-delà de l'éphémère, vers l'infini des possibilités.
Que ce poème soit un hommage, une révérence,
À la beauté fugace, à sa puissante essence,
Puisse-t-il résonner, au-delà des mots,
Dans chaque cœur, comme le souffle beau, des cerisiers, si haut.
