Le Secret des Sept Mers de Sindbad

Dans le creuset du ciel flamboyant s’inspirent,
Des aventures lointaines, en échos des soupirs.
Un navire fend l’azur, sous la voûte étoilée,
Vers des horizons perdus, où mystères sont scellés.

Ô rêveurs, suivez-moi dans cette odyssée,
Où Sindbad le marin, aux sept mers a dansé.
Chaque vague est un vers, chaque souffle un récit,
Rejoignez ce périple, où le rêve prend vie.

Sur la Première Mer : Le Souffle des Origines

Naviguant sous l’aube claire, aux premières lueurs,
Où le monde encore muet, écoutait le batteur.
Des eaux, naquirent des chants, des murmures profonds,
La vie s’y déployant, en d’innombrables frissons.

Les étoiles, curieuses, se penchaient pour voir,
Les contours de ce monde, dressant l’histoire.
Chaque éclat une note, dans la symphonie du temps,
Où Sindbad, émerveillé, naviguait, apprenant.

Sur la Deuxième Mer : Le Miroir des Âmes

L’eau, comme un miroir, reflétait les vérités,
Des âmes rencontrées, en fragments de clarté.
Des visages amis, des amours éphémères,
Sindbad y voyait, la danse de la terre.

Parfois l’eau se trouble, par les larmes versées,
Mais le marin savait, qu’après la pluie, la beauté.
Dans chaque reflet, une leçon de vie,
Un secret murmuré, dans l’onde infinie.

Sur la Troisième Mer : L’Écrin des Tempêtes

Sur une mer agitée, où l’horizon s’assombrit,
Sindbad face aux tempêtes, son courage aiguisé.
Chaque éclair, un défi; chaque tonnerre, un appel,
Dans l’adversité, trouvait la beauté, éternelle.

Comme l’acier trempé, dans les feux de l’épreuve,
Sindbad, dans la tempête, sa force se retrouve.
Car dans le cœur de l’orage, se cachait une clé,
Pour comprendre le monde, dans sa sauvage beauté.

Sur la Quatrième Mer : Les Jardins Sous-marins

Des profondeurs, émergeaient, jardins secrets,
Où les couleurs flirtaient, sous un soleil discret.
Poissons et coraux, en un ballet muet,
Invitaient Sindbad, à contempler, respecter.

Le mystère de la vie, dans chaque recoin caché,
Sous l’onde, révélait, des univers entrelacés.
Apprenant à écouter, le silence des profondeurs,
Sindbad découvrait, le langage des fleurs.

Sur la Cinquième Mer : La Voûte des Souvenirs

À la surface brillante, sous la lune argentée,
Reflets de souvenirs, en perles éclairées.
Chaque vague porteuse, d’histoires oubliées,
Sindbad recueillait, les échos du passé.

Apprenant que le temps, est un trésor enfoui,
Que chaque instant vécu, est une étoile dans la nuit.
Le passé, ni fardeau, ni ancre à son navire,
Mais voiles déployées, pour vers l’avenir, s’élancer.

Sur la Sixième Mer : Les Échos du Futur

Horizon se fondant, où le ciel et l’eau s’unissent,
Sindbad, vers l’inconnu, son regard précise.
La mer, comme un oracle, dévoilait ses secrets,
Des murmures d’avenir, en vagues projetés.

Ainsi, chaque jour, est une page à écrire,
Un destin à tisser, dans l’immense empire.
Sindbad, marin philosophe, dans le futur, lisait,
Que chaque pas nous mène, où nos rêves l’ont rêvé.

Sur la Septième Mer : Le Berceau de l’Horizon

Et enfin, la septième, où tout est fusion,
Où l’âme du monde, chante en unisson.
Sindbad, le cœur ouvert, au berceau de l’horizon,
Comprend que dans l’union, réside la véritable passion.

Ici, finit le récit, mais le voyage continue,
Dans chaque cœur ardent, que l’aventure séduit.
Car le secret des mers, si ardemment cherché,
Est la quête elle-même, dans l’âme éveillée.

L’Écho des Mots

Ainsi se tisse le conte, dans le sillage des mots,
Un voyage sans fin, sur l’océan des propos.
La poésie, comme une voile, au grand vent hissée,
Emporte le lecteur, vers des cieux embrasés.

À travers ce récit, j’espère avoir semé,
Des graines de rêves, dans vos terres, fécondées.
Le secret de la vie, dans la quête se trouve,
Et en chaque mot, un monde, doucement, s’entrouvre.

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