Dans les limbes bleutées où se mêlent les songes,
Un récit s’étire, lointain écho des mensonges.
C’est un monde où les amazones, fières guerrières,
Tissent la trame d’une légende, ô combien singulière.
Au commencement, l’aurore effleurait la cime des arbres,
Une fraîcheur tendre berçait la terre dans ses marbres.
Ces dames de fer, en quête de vérité et de puissance,
Défièrent le destin, dans une élégante danse.
Le roi des Scythes, à la barbe tressée de mystères,
Regardait l’horizon, pensif, le cœur en guerre.
« Qu’est-ce que la force, sans la douceur d’une main ? »
Murmurait-il au vent, qui emportait son chagrin.
Les étoiles, témoins silencieux de ces âmes vagabondes,
Brillaient d’un éclat, révélant des secrets du monde.
Leur lumière guidait les pas de ces fières cavalières,
A travers forêts profondes et montagnes altières.
Un jour, lorsque le soleil déclinait, rouge et fier,
Un affrontement naquit, à la croisée des éthers.
Amazones et Scythes, dans un ballet de lames,
Jouaient une symphonie aux allures de drame.
Mais soudain, au cœur de la tourmente et des cris,
Une étincelle, fragile, dans le chaos, prit vie.
Une amazone et le roi, l’un face à l’autre, immobiles,
Virent dans les yeux de leur adversaire, une île.
Une île où la haine se mue en respect,
Où la guerre s’efface, laissant place à l’aspect,
D’une paix trouvée, dans l’œil du cyclone,
Là où l’âme se révèle, pure, sans icône.
Ils baissèrent leurs armes, comprenant soudain,
Que la victoire ne se trouve pas au bout du chemin.
Mais dans les liens tissés, doucement, entre ennemis,
Qui découvrent que l’amour triomphe, même dans la nuit.
Leur histoire, murmurée par les vents et les rivières,
Se mêle à la voix des bêtes et à la lumière.
Elle parle d’union, de la force dans la tendresse,
De ces batailles intérieures, où l’on baisse les défenses.
Ainsi marchent ensemble, amazones et scythes,
Dans un monde réinventé, au-delà des mythes.
Là où la compréhension forge des royaumes éternels,
Dans le silence des regards, univers parallèles.
Leurs pas laissent sur la terre, un sillon d’espoir,
Une promesse que demain, on pourra voir,
Un monde où la guerre devient un vieux souvenir,
Où l’humanité, enfin, apprend à construire.
Alors, si vous écoutez, au creux d’une brise légère,
Vous entendrez l’écho de cette légende, ô combien sincère.
Elle enseigne que la bravoure réside dans la paix,
Que l’amour et l’entente sont les plus grands faits.
Dans cette légende, un trésor caché : la sagesse,
Une lumière guidant à travers les ténèbres, sans cesse.
Ainsi se tisse l’histoire des amazones et le roi des Scythes,
Un récit éternel d’amour, là où la lumière s’invite.
Et quand les étoiles scintillent, dans le velours de la nuit,
Souvenez-vous de cette légende, qui doucement nous instruit.
Qu’au cœur des plus ardentes batailles, des liens se forment,
Tissant l’avenir, où, ensemble, nous sommes les plus forts.
Pour conclure, dans le murmure des vagues et le souffle du vent,
Ce conte ancien nous rappelle, avec un doux accent,
Que la langue de l’union et l’écho de la compréhension,
Sont les clefs d’un monde meilleur, au-delà de toute illusion.
Puisse cette réflexion sur les nuances de la langue,
Et les divers aspects de l’expérience humaine, étrange,
Nous inspirer à chercher dans chaque cœur, un pont,
Pour bâtir entre nous, un avenir rayonnant, unissant nos horizons.
