Au cœur d'une nuit éthérée, dans les ombres de la ville,
Résonnent les murmures d'une légende immortelle,
Faust et Méphistophélès, figures de l'au-delà,
Dansent sur le fil ténu de la tentation mortelle.
Faust, l'homme érudit en quête de vérité profonde,
Méphistophélès, démon rusé aux ruses infinies,
Un pacte scellé dans l'encre rouge du destin,
Où le bien et le mal s'entrelacent en harmonie.
Les rues pavées résonnent des pas de ces deux êtres,
Cherchant l'extase ultime, la connaissance absolue,
Entre les rires cruelles et les rêves brisés,
Se joue le jeu éternel de l'âme en perpétuel exil.
Sous le clair de lune, Faust s'égare dans les ténèbres,
Cherchant la lumière au cœur de l'obscurité,
Méphistophélès chuchote des promesses éphémères,
L'illusion d'un bonheur éphémère, d'une éternelle félicité.
Au-delà des apparences, des masques et des faux semblants,
Se dessine le portrait troublant de l'humanité,
Faust et Méphistophélès, reflets de nos tourments,
Dansent ensemble au rythme de la fatalité.
Que reste-t-il au matin de cette valse macabre?
Sinon le souvenir fugace d'une passion dévorante,
Faust et Méphistophélès, figures de l'ombre et de la lumière,
Écho éternel de nos désirs et de nos tourments.