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La Ballade des Jardins suspendus de Babylone

Dans l’écho des siècles passés, là où la réalité et le mythe s’entrelacent, s’élevait la splendeur des Jardins Suspendus de Babylone. Ce poème, un voyage à travers le temps, explore la majesté de ce paradis perdu. Avec chaque vers, plongez dans un monde de rêves et d’émerveillement, où les frontières de l’imaginaire s’estompent pour révéler les profondeurs de l’âme humaine.

Splendeur des Jardins Suspendus de Babylone: Un Poème Envoûtant

Au sein de Babylone, l’ancienne, s’éveillait une merveille,
Jardins suspendus, oasis céleste, flottant comme des étoiles dans le ciel.
Dans cet eden, les ruisseaux murmuraient des chansons d’antan,
Là où la beauté transcendait la nature, un spectacle sans précédent.

Chaque pas sur ce sol sacré résonnait d’échos de légendes,
Là où le marbre et l’or sculptaient des récits d’immortalité.
Les allées de Babylone, ornées de gemmes, brillaient sous la voûte céleste,
Des jardins où l’art et la nature dansaient dans une harmonie parfaite.

Fleurs aux mille couleurs, dans un ballet perpétuel,
Papillons virevoltant, messagers d’un monde onirique.
L’air embaumé de parfums rares, essence de la création,
Dans ce sanctuaire, le temps suspendait son vol, un moment d’évasion.

Un voyageur, émerveillé, arpenta ces sentiers fleuris,
Cherchant la paix, il trouva un monde d’enchantement infini.
Sous les frondaisons luxuriantes, un sanctuaire de sérénité,
Où chaque recoin racontait une histoire d’éternité.

Le murmure des eaux, mélodie apaisante, berçait l’esprit,
Dans ce jardin, les âmes perdues retrouvaient leur chemin.
Berceau de vie, de sagesse, de rêves et d’amour,
Babylone, dans son éclat, nous enseignait chaque jour.

Mais dans cette splendeur, des secrets sommeillaient,
Des murmures de douleurs, de joies et de regrets.
L’éclat des fleurs cachait des larmes de cristal,
Un équilibre fragile, un héritage ancestral.

Le voyageur découvrit alors la vérité cachée sous les pétales,
L’existence, dans toute sa complexité, dans chaque détail.
La vie, la mort, l’amour et la peur coexistaient,
Dans ce jardin, un microcosme de notre humanité.

Les souvenirs de Babylone, gravés dans nos cœurs,
Reflets d’un passé glorieux, écho d’un monde meilleur.
Et bien que les jardins aient disparu, leur essence demeure,
Dans nos rêves, nos espoirs, notre quête intérieure.

Ainsi s’achève la ballade des jardins mystiques,
Un hymne à la beauté, à la vie, à la poésie lyrique.
Que ce récit inspire nos âmes, éveille nos consciences,
À chercher la beauté dans l’ordinaire, dans notre existence.

Dans la quête de notre vérité, laissons les rêves nous guider,
Poursuivre nos passions, nos désirs, sans jamais se limiter.
Car en chacun de nous sommeille un jardin suspendu,
Un univers unique, un monde de possibilités, un espoir inattendu.

Puisse ce poème être un pont entre le passé et l’avenir,
Un rappel que dans la beauté, dans l’art, réside le pouvoir de grandir.
Dans la ballade des Jardins Suspendus de Babylone, trouvons notre voie,
Un chemin pavé de rêves, où chaque pas est un choix.

Les jardins de Babylone, plus qu’une merveille du monde antique, symbolisent la quête éternelle de l’humanité vers la beauté et la perfection. Ce poème est une invitation à explorer les jardins suspendus de notre propre esprit, à cultiver nos rêves et à nourrir notre imagination. Puissions-nous tous trouver notre Babylone intérieure, un lieu de paix, de créativité et d’harmonie.

1 COMMENTAIRE

  1. Babylone

    Oh l’immense cité ! Vit-on rien de plus beau
    Depuis ces temps obscurs où Mardouk vint sur terre ?
    À l’orient son temple dresse un escabeau
    Posé là pour sonder le céleste mystère

    Aux pieds duquel tout orgueilleux se sent nabot.
    La ville frénétique ne saurait se taire
    Et sa vive clameur mêle aux cris d’un corbeau
    Le sourd mugissement du taureau solitaire.

    Une foule entre ou sort par ses portes d’airain
    Tel au creux de la main du sable grain par grain
    Lentement glisse d’un engin qu’on déboulonne :

    Écoute, admire, humble potier, docte savant,
    Les bruits et les couleurs dont vibre Babylone
    Ignorant son destin fait de sable et de vent !

    Thierry COUTURE
    Dimanche 31 décembre 2023

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