Au cœur de l’aube naissante d’Avalon, là où le ciel embrasse les cimes d’un rose tendre, le chant d’amour de la Fée Morgane et du Chevalier Lancelot se révèle. C’est une invitation à explorer un monde où l’amour défie le temps, tissé dans le voile diaphane des légendes et des rêves.
L’Éveil d’Avalon : L’Amour Immortel de Morgane et Lancelot
Dans le voile diaphane de l’aube naissante,
Où le ciel peint de rose les cimes altières,
Naît un murmure doux, le souffle d’un instant,
Le Chant d’amour de la Fée Morgane et le Chevalier Lancelot.
Dans ce ballet de lumières, pure fascination,
Que la vie et l’amour dessinent en silence,
S’élève la cadence d’un monde si lointain,
Où le cœur et l’esprit se mêlent sans fin.
Sur les rives oubliées du légendaire Avalon,
Le tendre sentiment s’envole en fredonnant,
Amour tissé de rêves, étoffé de légendes,
Où l’humain et le mythe dans un baiser se fondent.
Au creux des vers se nouent les destinées,
L’écho d’un amour, pur et inaltéré,
Un conte qui voyage à travers les âges,
Des murmures d’amour sur un parchemin de pages.
Dans la clarté d’une larme, brillant d’espoir assouvi,
Morgane tisse de magie la toile de sa vie.
Lancelot, brave et preux, d’humilité revêtu,
Cherche en son noble cœur la vérité absolue.
Danse des sentiments en un essaim délicat,
La passion se déploie comme un voile d’éclat.
Sur les versants des âmes, où les mots font écho,
À cette histoire d’amour, plus brillante que l’eau.
Leur chanson s’épanouit telle une floraison,
Chimères l’espace d’un souffle, envolées sans horizon,
Entre rives de douceur et tourmentes de la vie,
S’entremêle le fil d’un amour infini.
La fée, de son cœur, à la lune confiait,
Ses vœux pour ce chevalier, que le temps défiait.
Lancelot, de sa lame, fendait la nuit,
À la recherche de l’aurore que son âme souhaitait.
La nature en son sein, scelle leur serment,
Dans le domaine du vent, de l’eau et des champs,
La terre, nourrice sage, berce leur union,
Et célèbre leur danse en une douce chanson.
Amour intemporel, amour éthéré,
Toile cosmique où tout est entrelacé,
La beauté dans la trame de cette existence,
Est amour, est lumière, et douce résonance.
La lune, d’argent vêtue, dans les cieux blanchissants,
Écoute les amorces de leurs serments vibrants,
Dans le jardin des astres, leur destin se raconte,
Grâce des étoiles, leurs rêves redessinés.
Dans les profondeurs de l’océan des possibles,
Leur amour, comme un navire, navigue insensible,
Aux tempêtes et aux vents qui pourraient l’ébranler,
Car il est le phare dans la nuit étoilée.
Sur ce chemin d’azur que seul l’amour connaît,
S’avance l’odyssée qui par le temps est faite,
Morgane et Lancelot, tels des astres liés,
Dans l’éternel ballet d’une galaxie aimée.
Leurs âmes s’élèvent, dépassent les pénombres,
Dans l’éclat d’un univers où les mots se font nombre.
Car dans le firmament de leur passion pure,
Ils sont vents et marées, ils sont la littérature.
Au crépuscule doux, les étoffes de la nuit,
De leur amour parsemées, font trembler l’infini,
Ainsi se tisse l’éveil d’une aube nouvelle,
Où l’amour est poème, et le poème est aile.
Par delà le voile léger de nos vies mortelles,
Se répète l’adage des amours éternelles.
Telle une mélodie qui jamais ne s’achève,
Dans le flot de l’histoire, leur amour se relève.
En cette illustre ballade où le temps se suspend,
Leurs cœurs dans l’unisson dictent l’enchantement,
Une ode à l’univers, aux mystères de l’âme,
Où l’amour sculpte en nous sa plus belle flamme.
Et nous, voyageurs sur ces sentiers d’écrits,
Emportés par ce chant doux de la nuit,
Comprenons que la vie, en ses mille couleurs,
Est un prisme à travers lequel filtre l’amour.
Le Chant d’amour de la Fée Morgane et le Chevalier Lancelot
Reflet d’une épopée dans les cœurs résonne,
Un prélude sans fin où chaque note est mot,
Et chaque mot, un pont vers l’âme qui frissonne.
Ce poème, tendre écho d’une étreinte sans temps,
Enlace le lecteur dans un écrin vivant,
Pour que se découvre, aux confins des pensées,
La richesse de la langue et la vie en ses degrés.
Devant l’infini, nos esprits se déploient,
L’horizon s’élargit et l’être humain émoi,
Dans le reflet subtil d’une œuvre intemporelle,
C’est notre propre quête que l’artiste interpelle.
Car voici l’ultime versement de l’encre,
L’élan d’un dernier souffle que le poète évince,
Il est l’invitation à penser et ressentir,
À s’émerveiller encore, à aimer et à construire.
Que ce chant d’amour, dans son écrin de mots,
Comme le souffle d’un rêve qui jamais ne s’endort,
Soit cette ode à la vie, en ses plus beaux atours,
Qui dans le cœur de chacun, pour toujours, demeure.
Voilà la quête, voilà l’ultime voyage,
De page en page forgé, d’un amour sans âge.
Dans les méandres de nos âmes, la lumière se tisse,
Et dans le verbe aimant, l’univers s’immisce.
À travers les âges, l’histoire de Morgane et Lancelot nous rappelle que l’amour, dans sa forme la plus pure et éthérée, transcende les frontières du réel et du mythique. Que leur chant d’amour résonne en nous comme un appel à chercher et à célébrer l’amour dans toutes ses formes. Dans le reflet de leur épopée, puissions-nous trouver l’inspiration pour tisser nos propres légendes d’amour, de courage et de lumière.
