Dans les ruelles étroites de Salem,
Réside une légende, un sombre diadème,
Celle de la sorcière au cœur de flamme,
Dont le nom résonne comme un poème.
Ses yeux perçants comme des éclairs,
Défient le silence et la nuit noire,
Dans sa demeure, elle tisse les destins amers,
De ceux qui osent braver son pouvoir.
Ses cheveux sombres dansent avec le vent,
Ses pas résonnent comme un chant funèbre,
Les âmes perdues sont son unique présent,
Dans son royaume de cendres et de ténèbres.
Les esprits errants murmurent son nom,
Les corbeaux portent ses paroles anciennes,
La sorcière de Salem, gardienne des ombres,
Hantant les songes des âmes vauriennes.
Sous la lune pâle, elle erre sans repos,
Cherchant des âmes à emporter dans l'au-delà,
La légende de Salem, telle est son propos,
Écrite dans le sang, gravée dans le trépas.
Méfiez-vous des nuits où le vent hurle,
Où les chandelles vacillent dans l'obscurité,
La sorcière de Salem, gardienne des sépultures,
Veille sur la ville, dans toute sa férocité.
Dans les brumes éternelles de Salem,
La légende de la sorcière perdure,
Comme un avertissement pour ceux qui blasphèment,
Sous le regard implacable de sa nature impure.
