Dans un royaume tissé de brume et de mystère,
L’éveil d’un chant lointain rompt le silence monastère.
Aurore aux doigts de rose effleure l’horizon,
Et Philippe, preux chevalier, suit l’écho de sa passion.
L’aube dévoile ses charmes en un théâtre d’ombres,
Chaque rayon est un vers, chaque souffle une ronde.
Près des rivières miroitantes sous l’éclat d’une étoile,
Leur histoire se noue, témoin muet de leur émoi.
Dans les jardins d’émeraude, le temps suspend son vol,
La princesse déambule, rêvant à son idylle sous le ciel frivole.
Elle effleure la rosée, son coeur en floraison,
Et laisse à la brise légère le soin de porter sa chanson.
Tandis que Philippe, l’âme assoiffée d’absolu,
Chevauche vers son destin que le sort a exclu.
Son regard planté dans l’avenir, il franchit monts et vals,
Cherchant la clé de l’énigme, la fin de son bal.
Poètes des temps modernes, reprenez votre plume,
Et que vos mots soient le fer qui fend la brume.
Que l’amour triomphe de la crainte, les cœurs en allégresse,
Et que s’illuminent les yeux d’un voile de tendresse.
Sous le feuillage sacré où se murmurent les légendes,
La princesse Aurore, d’une larme, bénit la lande.
Et Philippe, fier et vaillant malgré le traquenard,
Grave leur serment éternel sur l’écorce d’un regard.
L’aube a tissé leur amour dans sa toile de destinées,
Sur le métier du monde, le fil des éternités.
Et la nature complice, en sa richesse déployée,
Offre son cadre immortel où la passion est encadrée.
Le zéphyr transporte en ses bras, les fragments de leurs poèmes,
Des confidences éparpillées parmi les chrysanthèmes.
Chaque strophe raconte l’ardeur d’une étreinte déposée,
Sur l’autel du ressenti, une offrande exaucée.
Et le chevalier s’élance, vaillante silhouette au clair de lune,
Sa lame fend l’air, son cœur suit la course de la fortune.
Les étoiles, témoins silencieuses de ses faits et gestes,
Scintillent d’envie, reflétant ses nobles quêtes.
Aux confins des terres où se jouent sortilèges,
L’éclosion d’un amour dédaigne les privilèges.
Aurore et Philippe, loin des couronnes et des pompes,
S’étreignent sous le ciel, là où le rêve trompe.
La plume glisse sur la toile de leur fable intemporelle,
Des vers enchâssés d’or, d’une beauté irréelle.
La rime coule comme un ruisseau limpide dans la forêt,
Narrant l’épopée d’un amour sans décalage ni arrêt.
Le prince, dans son armure d’un éclat sans pareil,
Défie les ombres, éclaire le chemin vers le soleil.
Son amour pour Aurore, une flamme inébranlable,
L’inspire, le guide, le rend plus que capable.
Aucun dragon, aucun mal, ne peut freiner cette histoire,
Leur amour, tel un phare, brille malgré la turbulence.
Et Aurore, d’une grâce qui n’appartient qu’à elle,
Sème la lumière, réveille les cœurs en sommeil.
Sur la portée du vent et les ailes du poème,
Un symbole s’élève en un vibrant diadème.
Les notes de leur hymne à l’amour inconditionnel,
Dispensent un baume guérisseur, touchent l’essentiel.
Pourquoi blêmir devant le miroir de nos craintes ?
L’amour est une épopée, pas un chemin sans empreintes.
La quête de sens, si chère à nos âmes perdues,
Se trouve entre ces vers, dans la chanson entendue.
Et tandis que l’aurore berce le jour naissant,
Philippe trouve sa princesse, le cœur bouillonnant.
Enlacés, ils font serment, au-delà des douleurs,
De forger la légende d’un amour sans heures.
Leur chanson se perpétue, une ode à l’affection,
Vibrant au delà des mers, franchissant toutes les nations.
Tel un phénix renaissant, elle traverse les âges,
Unissant les êtres, éclipsant tous les présages.
La Chanson de la Princesse Aurore et le Prince Philippe,
Une ballade où l’amour et le courage s’équipent.
Au fil des mots, au gré des vagues de notre existence,
Renaît l’espoir, se dessine une infinie puissance.
Dans la douceur de la nuit, sous le charme envoûtant des étoiles,
Chaque cœur résonne avec la mélodie du bien qui jamais ne défaille.
Dans ce poème se cachent les vérités de nos vies,
Un reflet de l’humanité, un écho des harmonies.
convergeant vers l’âme, cette chanson s’élève,
Telle une promesse d’aube pour ceux qui cherchent la trêve.
Dans la nuance des mots et l’expérience humanité,
Réside la clé des cœurs et de la vérité.
