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À M. L’Oillart-D’avrigny

Le poème ‘À M. L’Oillart-D’avrigny’ de Jacques Delille, écrit en 1807, s’inscrit dans la tradition poétique française tout en rendant hommage à la mythologie grecque. En évoquant Ulysse, héros d’Homère, Delille connecte le passé épique à ses contemporains, nous rappelant ainsi la puissance intemporelle de la poésie. Ce texte riche en émotions et en réflexions mérite une attention particulière pour son exploration des thèmes de l’amour, de l’absence et du destin.
Le poète immortel d’Achille et d’Andromaque, Jadis d’un ton harmonieux Chanta le prince errant de la petite Ithaque ; Grâce à tes vers ingénieux L’Ulysse des Français nous attache encor mieux. À travers les écueils, sur les gouffres de l’onde, Nous demandons aux mers sa poupe vagabonde ; Et, tremblants pour ses jours chéris, Craignons, en la cherchant, de trouver ses débris. Sa Pénélope, hélas ! dans le royaume sombre, Peut-être maintenant accompagne son ombre ; L’impatient désir de retrouver l’époux Qu’à ses embrassements ravit le sort jaloux, Lui fit voir sans terreur les voûtes infernales, Et du Styx les ondes fatales, Qui, mieux que ses remparts de fer, Défendent en grondant la porte de l’enfer. Aujourd’hui, dans les bois des champs Elysiens, Dont les paisibles citoyens Bravent le triple cri des gueules de Cerbère, Le couple heureux entend les vers du grand Homère. Et se console en relisant les tiens. Extrait de: Poésies fugitives (1807)
Ce poème invite les lecteurs à contempler la profondeur des émotions humaines face à l’absence et à la quête de retrouvailles. N’hésitez pas à plonger davantage dans l’œuvre de Jacques Delille et à partager vos pensées sur ce poème touchant.

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