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Césarine

Comme un phénix, renais d’amour, ô Césarine,
En ces contrées lointaines, où l’écho se dessine,
Souffle sur les braises, d’un feu qui jamais ne s’éteint,
Allumant la passion, en un élan souverain.
Rêves éthérés, se mêlant aux étoiles,
Illuminent nos nuits, d’une lueur sans égale,
Naviguant dans les cieux, portés par le vent,

En quête d’un amour, éternel et puissant.
Au-delà des montagnes, où les rivières chantent,
Murmurent les secrets, de nos âmes ferventes,
Onde d’émotions, déferlant sur les rivages,
Unissant nos cœurs, dans un écrin sauvage.

Résonance des sentiments, en harmonie secrète,
Embrase notre amour, d’une flamme discrète,
Voyage enivrants, au gré des mélodies,
Enlaçant nos destins, en une symphonie.

Lueurs de l’aube, caressant l’horizon,
Annoncent le retour, d’un amour sans raison,
Tissant l’éternité, d’un fil d’or et de soie,
Inspire en nos cœurs, un amour sans effroi.

Oasis de tendresse, où se rencontrent les âmes,
Nourrit notre amour, de ses douces flammes,
S‘élève en un chant, puissant et éloquent,
Encensant l’amour, de Cesarine, en cet instant.

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