Chant des Sylphes

Au cœur des bois murmurants où la brise se faufile,
Des esprits chantent loin des tumultes virils et vils.
Ce sont les sylphes, murmures d’un autre monde si fragile,
Leurs voix dansent et tissent de l’éther un tapis d’asile.

Un Chœur Céleste et Subtil

Dans la clairière où l’aura de l’aube en silence opère,
Les sylphes ondulent et façonnent l’air en prière.
Leurs mélodies douces comme la rosée claire,
Unissent la terre et les cieux en une harmonie légère.

Balade des Âmes diaphanes

Éphémères, mais immortelles en leur essence,
Elles glissent entre feuilles et fleurs avec aisance.
Le Chant des Sylphes, alliance de la lumière et de l’absence,
Peint le monde d’une aura de mystère et de transparence.

La Danse des Voix Aériennes

Sylphides aux voiles parsemées de lueurs argentées,
Leur ballet dans l’air n’est qu’un souffle passionné.
Valsant autour des arbres, perles de rosée incarnées,
Leurs voix un unisson, un arc-en-ciel sonoré.

Rhapsodie en le Vieil Éther

L’aurore s’étire et s’invite au récital des esprits,
L’aile des sylphes frôle la lumière qui luit et leur sourit.
Le Chant des Sylphes, plus beau que tout joyau poli,
Éveille dans les cœurs une faim d’infini.

Les Échos du Monde Invisible

Au détour d’un rêve, où la pensée en vol se libère,
Le Chant des Sylphes s’infiltre, doux et altier.
Il dévoile des royaumes où le temps semble prospérer,
Là où l’impossible devient un horizon à célébrer.

Les Gardiennes de l’Équilibre

Disciples de l’air, protectrices de la nature merveilleuse,
Dans leur chanson s’entremêlent vérités et légendes pieuses.
Le Chant des Sylphes raconte aux âmes curieuses,
Les secrets de la vie et de sa force précieuse.

Berceuse pour les Mondes endormis

Face au crépuscule, l’éclat de leurs voies se fait confident,
Leur mélopée s’élève, couvre les murmures du vent.
Elle berce les étoiles, cajole l’univers indolent,
Aucun mal ne saurait troubler ce moment suspendu, flottant.

Sérénade pour l’Aube Nouvelle

Aux premières lueurs, le cycle se renoue sans fin,
Le Chant des Sylphes s’embrase et parcourt le jardin.
Il appelle le soleil, témoin de l’astre divin,
Et dans son ascension, promet un demain martin.

L’Épilogue Aérien

Finesse des êtres que l’œil ne saurait saisir,
Leur hymne s’efface, touche ultime sur la lyre.
Le Chant des Sylphes, écho du tendre désir,
Dans l’âme de la forêt, éternellement va s’enfuir.

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