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Chose Ayant des Noms

Le poème ‘Chose Ayant des Noms’ de Malika Assimi invite à une contemplation profonde de la prière et de la souffrance humaine. Écrit dans un contexte où la spiritualité est souvent mise à l’épreuve, ce poème révèle l’angoisse, l’espoir et la résilience de l’âme confrontée à l’abandon du monde. À travers des images poignantes et un langage évocateur, Assimi nous pousse à réfléchir sur notre place dans l’univers.
Au coucher de la lune je suis née L’aube se penchait sur l’univers et la poitrine de la nuit déchirait de rage sa tunique Les parents pauvres se sont assis sur le seuil de la terre de Dieu Les oiseaux du paradis ont alors chanté La branche éternelle s’est inclinée a ombragé cette terre puis s’est couverte de soie et d’églantines Le jour de ma naissance je fus foudroyée La montagne Tor est apparue et derrière elle les prodiges de la lumière et le visage de Dieu J’ai entendu la voix grandiose murmurer : créature de la terre va vers l’étang et l’eau vers le bleu dans l’œil du phénix et tu trouveras l’homme ployant sous le fardeau de la terre Ne t’attriste pas Dans ta main droite il y aura les nuages et dans ta gauche la glèbe Ne sois pas avare d’eau car la terre est à l’abandon Dieu m’a parlé avant le lever du soleil Les branches ont fondu en larmes et le monde s’abandonnait toujours au péché « Prie ô fille de la brise et des tempêtes Ta prière rafraîchira les tourmentés de la géhenne soulagera les affligés en cet univers » J’ai prié le malheur ne s’est pas dissipé et Sa vaste miséricorde n’est pas descendue sur ce monde d’infortune Chaque fois que je veux prier je dois combattre ceux qui s’emparent du mihrab et postent des gardiens devant les mosquées Mes prières n’ont pas purifié l’univers mais je continue à prier
Ce poème interpelle sur la nécessité de la prière même lorsque la miséricorde semble lointaine. Explorez davantage d’œuvres de Malika Assimi et partagez vos réflexions sur cette quête spirituelle.

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