L’Élégie 12 de Rouben Melik est une œuvre émotive qui aborde les thèmes universels de l’amour, de la perte et de la mémoire. Écrite dans un contexte où la poésie moderne cherche à exprimer les émotions intérieures humaines, ce poème reste un témoignage poignant de la souffrance causée par l’absence d’un être cher. Melik, avec son style unique, entraîne le lecteur dans une profondeur de réflexion sur ce que signifie aimer et se souvenir.
Sois la semblance en moi de l’amour que tu fus Sans passé ma vivante à jamais à ne croire Où sera de t’attendre après quoi le refus Après toi me rassemble au passé sans mémoire À n’être en moi que toi. Sois la semblante en moi De qui ne meurt ne sait de quel amour pour quelle Attente que sera l’autre amour sans mémoi re après moi sans passé. Qui sera l’autre qu’elle A quel moment de moi la double part de la Mémoire où je la traîne en moi ? Sois le partage En moi la ressemblance et la mort au-delà D’avoir été sans l’autre amour et ni l’otage Après moi de ta mort. Je me viendrai de toi Par des chemins de terre où tu seras passée Avant cela qui fut un tremblement d’étoi le à travers ton absence et la mort caressée A peine qu’un sourire autre part que l’espa ce où tu seras ma morte en moi ta ressemblance Et mon refus de toi que morte. À qui ne pa sse à quoi lui dire où l’ombre encore est en balance À mesure d’amour avec cet arbre et son Feuillage, avec le mur autour de toi, la rue Et la fenêtre avec l’enfance et la leçon Du soir, la table étroite, et la chance courue En moi que tu seras la ressemblante sans Désir que désiré, sans amour que d’absence Autre part que ce corps qui ne fut que naissant Dans sa mort à ne croire à quelle obéissance ?
À travers les vers de Melik, nous sommes invités à contempler notre propre relation avec l’amour et la mémoire. Ce poème nous rappelle que même face au chagrin, chaque souvenir peut devenir un phare dans l’obscurité. N’hésitez pas à explorer d’autres œuvres de Rouben Melik pour découvrir davantage sur ses réflexions sur la vie et l’amour.