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Fragments de Vie

Dans le souffle du temps, ‘Fragments de Vie’ nous invite à explorer la condition humaine et la nostalgie à travers les ruelles pavées d’une ville ancienne. Ce poème nous transporte dans un voyage introspectif où chaque pas dévoile des fragments de souvenirs, témoins d’une existence éphémère mais profondément humaine.

L’Errance des Souvenirs Épars

Dans l’ombre des ruelles pavées d’une ville ancienne, là où le temps semble s’être arrêté dans la pierre et l’âme des murs, errant parmi les vestiges d’un passé oublié, un homme se meurt de nostalgie et de mélancolie. Ce personnage, l’Errant aux souvenirs épars, arpente les venelles silencieuses, porteur d’une histoire fragmentée et d’une quête inassouvie de sens. Son regard tremble face aux reflets d’un passé révolu, et chaque pavé, chaque lueur vacillante, lui murmure les secrets d’autrefois.

Au détour d’une ruelle, dans le cliquetis des carrés au sol et le bruissement des feuilles échappées aux branches des platanes centenaires, une voix intérieure s’éveille. Elle se fait l’écho de fragments poétiques enfouis au plus profond de sa mémoire :

« Ô souvenirs, esquisses en filigrane,
Comme des éclats de lune sur le chemin,
Vous bâtissez le pont de l’âme errante,
Entre l’ombre du passé et l’aube de demain. »

Ainsi commence le récit de l’Errant, dont chaque pas sur le pavé résonne en échos mélancoliques, en une symphonie intimiste où se mêlent la condition humaine, la fatalité et la nostalgie d’un temps révolu.

Il se souvient d’une aube légère, d’un matin où la brume caressait encore la ville endormie. Dans ces instants suspendus, où le silence des lieux se faisait complice de ses pensées, l’Errant entendait la ville lui parler. « Regarde, » semblait chuchoter la pierre des anciens murs, « tu es le gardien de mes réminiscences. » Et, par cette résonance, l’homme entamait une marche lente, scrutant les méandres des méandres du temps.

Ses pas le mènent vers une place oubliée, dont la fontaine, aux eaux jadis limpides, s’était figée dans le souvenir d’un banquet et de rires harmonieux. Là, il rencontre un vieil ami de l’ombre, un passant discret aux traits empreints de douceur, qui l’accueille d’un salut feutré :

« Mon cher Errant,
Tes pas te ramènent à moi,
Et dans le tumulte du souvenir,
Nos voix se retrouvent en écho. »

L’Errant, d’un regard pénétrant, répond en silence, laissant ses mots se dissoudre dans l’atmosphère dense de la vieille cité. Ensemble, ils échangent de courts dialogues, de ces murmures qui trahissent une profondeur insoupçonnée, sans pour autant dévoiler tout l’inconnu de leur destin.

Les fragments poétiques qui s’entrelacent au fil de leur rencontre semblent former un tableau où chaque couleur exprime une nuance d’émotion. Une allégorie naît des regards échangés, symbolisant le parcours de l’âme humaine, tantôt vacillant, tantôt lumineux. Dans ce montage de souvenirs et d’instants fugaces, l’Errant se souvient des jours anciens, des époques de lumière et d’ombre, et se perd dans les méandres de son être.

Sa route, semée d’interrogations et de nostalgie, l’amène devant un vieil escalier de pierre, gravissant les marches comme pour tenter d’atteindre un sommet d’oubli ou de révélation. Chaque foulée est une emprunte sur le chemin de la condition humaine, une invitation à se confronter aux regrets d’hier et aux incertitudes de demain.

Sur ces marches, il s’arrête et déclame à haute voix, comme pour invoquer l’esprit de la cité :

« Ô ruelles, témoins muets de mes errances,
Vos pierres, gravées des secrets d’un temps raffermi,
M’enseignent le chemin, entre ombres et lumières,
Là où la vie se dessine, entre rires et cris. »

L’Errant se remémore alors d’autres fragments d’un passé tant aimé qu’abandonné. Dans un coin éclairé faiblement par le soleil couchant, il retrouve l’empreinte d’un banc de pierre, siège d’innombrables confidences jadis échangées sous le murmure complice des arbres. Là, doucement, il revoit les silhouettes d’amitiés évanouies et entend la mélodie d’un temps qui ne reviendra plus. C’est dans ces instants que surgit un monologue intérieur, une confession à voix basse :

« Ne sais-tu point, ô fragile destin,
Que nos vies se dispersent tel le vent d’automne,
Les souvenirs se font échos dans l’éther,
Et l’âme en errance jamais ne trouve repos ? »

Ainsi, dans la ville ancienne aux ruelles mystérieuses, son parcours se tisse entre la splendeur d’un passé révolu et l’inexorable avance du présent. Chaque pas, chaque regard, devient un fragment d’un puzzle infiniment complexe où la fatalité se mêle aux espoirs timides d’un renouveau.

Le crépuscule embrase les façades en pierre; la lumière se faufile entre les bâtisses, et dans la pénombre, l’Errant découvre un vieux mur où l’inscription d’un poème oublié se lit à demi effacée. Les mots, vestiges d’un temps lointain, résonnent en lui tel un appel du destin :

« Aux méandres du temps, je laisse mes pas,
L’inscription du rêve, en lettres de silence,
Où la mémoire et l’oubli s’entrelacent,
Et le cœur, en errance, trouve sa délivrance. »

Ces mots, semblables à un chant funèbre et d’une beauté ineffable, le poussent à méditer sur la condition humaine. Il se rend compte que sa quête n’est pas seulement celle d’un homme à la recherche de ses fragments de vie, mais aussi celle, universelle, de tout être qui se débat entre les ombres et la lumière. Il se rappelle alors les paroles d’un vieil ami, murmure sagement égaré dans le dédale de leur destin commun :

« La vie n’est qu’un assemblage de moments,
Qui se brisent et se recollent tel un vitrail,
Chaque éclat, une part d’éternité,
Chaque fissure, le reflet d’un rêve avorté. »

Au fil de ses errances dans la cité, l’Errant croise la route d’un enfant jouant sur la place désormais déserte. L’insouciance de l’enfant contraste avec le poids de ses propres souvenirs. Dans le regard vif de l’enfant, il perçoit l’image d’un futur encore à écrire, une page blanche sur laquelle pourrait s’inscrire un fragment d’espoir. « Toi, petit voyageur des rêves noués,
Sauras-tu dévoiler la lumière cachée,
Dans le labyrinthe des heures égarées ? » se demande-t-il, ébranlé par la pureté d’un instant volé à l’indifférent.

Au détour d’une ruelle, l’Errant s’arrête devant une porte massive, aux ferrures rouillées par le temps, lieu d’un ancien café littéraire où jadis se retrouvaient les âmes sensibles. Là, les murs semblent encore vibrer des discussions passionnées et des débats enflammés. Il franchit le seuil de cet antre oublié et, dans un murmure presque suspendu, déclame :

« Ô ce lieu où les âmes se parlaient en silence,
Où chaque mot, chaque geste, était une offrande,
Je te retrouve aujourd’hui, reflet de l’absence,
Des amours, des rêves que le temps commande. »

À l’intérieur, le mobilier fatigué n’est qu’une pâle réminiscence d’une époque d’effervescence culturelle. Des tableaux, aux couleurs fanées, ornent les murs, et chaque œuvre semble porter en elle la poésie des jours disparus. L’Errant s’assoit à une table usée, et, dans le craquement du bois, il laisse se fondre ses pensées dans un flot ininterrompu :

« J’ai erré, perdu entre ombre et lumière,
Sur ces pavés chargés d’histoire et de peine,
Portant en mon être la vie qui se désespère,
Cherchant dans chaque fragment, l’allégresse sereine. »

Les mots se font écho dans sa mémoire, réminiscence des instants volés, tandis que l’âme de la ville ordonnance ses souvenirs. Chaque table, chaque fenêtre, chaque coup de vent qui caresse les façades est porteur d’un témoignage, d’un fragment de destin. Parfois, l’Errant aperçoit dans la glace d’un vieux paravent le reflet de son propre regard, empreint d’une tristesse infinie et d’une quête de rédemption. C’est dans ce jeu de miroir qu’il apprécie la fragilité de l’existence : la vie, cet amalgame de moments fugaces, se dissout dans la brume du souvenir.

Au moment où le soir s’installe, enveloppant la cité d’un voile de mystère, l’Errant se retrouve dans une ruelle étroite où l’ombre semble prendre des formes insaisissables. La pierre et le fer, austères témoins des années passées, se dressent en une architecture silencieuse, comme pour protéger des secrets indécidés. Là, il s’exprime à nouveau avec la verve d’un poète désabusé:

« Dans l’étreinte du soir, mes pas s’égarent,
Sur les pavés des ans, témoins d’une errance,
La nostalgie, muse inlassable et rare,
Scelle mes frontiers en une valse d’errance. »

Ses mots se dispersent dans l’air, emportés par la brise nocturne, échos d’un récit inachevé. L’Errant continue sa dérive, le cœur lourd de pensées infinies et d’un désir ardent de comprendre la trame invisible qui unit le passé au présent.

Au détour d’un autre couloir labyrinthique, se trouve une petite cour intérieure ornée d’un jardin secret. Des plantes indomptées s’y mêlent aux sculptures érodées, vestiges d’un art jadis florissant. C’est ici, dans ce havre oublié, que l’Errant s’assoit sur un banc de pierre, et là, laisse libre cours à un soliloque intérieur, intime et sincère :

« La nature, impérieuse et fuyante,
Écrit son nom en silence sur ces murs,
Les feuilles, témoins d’une époque passagère,
Murmurent des vérités trop pures.

Je suis l’Errant, porteur de fragments dispersés,
Un pèlerin des souvenirs et des regrets,
En quête de réponses dans le souffle du vent,
D’un destin qui se forge au gré du temps. »

Ainsi se tisse l’assemblage de fragments poétiques et de récits épars qui compose la trame de sa vie. Dans le murmure des feuilles, dans le pas feutré sur la pierre, dans le reflet tremblotant d’une vitre ancienne, il entrevoit les contours d’un être en devenir, une âme en quête de son identité véritable.

L’histoire se poursuit à mesure que la nuit s’installe, apportant avec elle une résonance singulière, une communion tacite entre le passé et le présent. Les pavés semblent raconter à nouveau leurs légendes, et les ombres se parent des couleurs d’un temps où chaque vie semblait écrite dans l’or et la souffrance.

Le vent glacial soulève quelques papiers oubliés, vestiges d’un journal intime où l’Errant avait consigné ses pensées les plus secrètes. Dans ces pages jaunies, il retrouve des bribes de promesses, des espoirs évanouis et des rêves d’autrefois :

« Sur le chemin des ruelles usées,
J’ai dessiné des contours de fugace espoir,
Chaque mot noté, poussière d’éternité,
Porte en lui la mélodie d’un vieux noir. »

Ces lignes, tantôt légères, tantôt lourdes comme l’enclume de la destinée, témoignent de la lutte intérieure de celui qui, chaque jour, affronte la réalité de sa fragilité. L’Errant se souvient : « Parfois, la beauté de l’âme réside dans son imperfection, dans ces bribes d’émotions que la vie éparpille au gré du vent. »

Au cœur de la ville, les vitrines des échoppes anciennes semblent pleurer les heures où elles accueillaient la foule vibrante. L’Errant s’arrête devant l’une d’elles, irrésistiblement attiré par la nostalgie des objets exposés, des souvenirs de fabrication artisanale chuchotant ainsi :

« Vois comme ces objets, aux formes délicates,
Sont reflets d’un temps révolu et d’une modernité en sommeil,
Chaque détail raconte l’histoire d’âmes errantes,
Chaque courbe est une larme dans l’infini du réveil. »

Le dialogue silencieux avec ces témoins de l’histoire lui fait sentir que la vie n’est qu’un assemblage de fragments – des instants où l’ombre et la lumière se confondent, se disputent l’espace de quelques battements de cœur. Et au creux de cette lutte, il se surprend à rêver d’un ailleurs, d’un horizon où ses fragments se recomposeraient en un tout, ni totalement défini ni entièrement éphémère.

Bientôt, le fracas habité des passages se mue en une mélodie plus douce, aux accents de piano lointain qui semblent chanter une complainte universelle. Dans cette valse nocturne, l’Errant retrouve une silhouette familière, la mémoire d’un ami d’antan autrefois partagé sur les bancs solitaire des vieux quais. Ce visage, à la fois flou et lumineux, se matérialise sous le halo d’un réverbère vacillant. Leurs regards se croisent, et sans mot dire, ils échangent des confidences muettes sur le chemin parcouru :

« Cher ami, que dis-tu des errances,
Des moments de grâce et de désillusions ? » murmure l’ombre.

L’autre répond d’un sourire triste, comme s’il espérait que l’éclat d’une amitié oubliée puisse redonner un sens à leur existence fragmentée. Leurs yeux, miroirs des âmes fatiguées, se disputent un instant la possession du secret de l’humanité. Malgré la brièveté de cet instant, cet échange sculpte un souvenir nouveau et précieux dans la trame de leurs vies éphémères.

Inspiré par cette rencontre fugace, l’Errant reprend sa route. Il se glisse à nouveau dans les profondeurs labyrinthiques de la cité, observant l’architecture des ruelles et l’ombre des pavés, tout en se laissant bercer par une douce mélancolie. Chaque lieu, chaque pierre, était un fragment d’un grand poème, un montage de mémoires et d’instants rares, où les rêves se mêlent aux regrets et aux espoirs inassouvis.

Au détour d’une allée adossée à des façades recouvertes de lierre, il découvre une petite cour voilée d’une végétation discrète et sauvage. Là, dans le reflet d’un bassin, il se voit en quelque sorte transformé en une figure mythique, moitié ombre et moitié lumière, reflet de sa quête incessante pour trouver un sens à sa propre existence. Dans le miroir de l’eau, il voit, non pas un homme défunt des sentiments, mais un être en perpétuel devenir, sculpté par le temps et les expériences. Ses yeux se perdent dans le vague, et il murmure à l’intime du silence :

« Moi qui ai tant voyagé,
Tant perdu, tant cherché dans le fracas du souvenir,
Reste en moi l’espoir fragile, l’éclat d’un rêve inachevé,
Qui, tel un astre en errance, persiste à vouloir s’unir. »

Là, au cœur même de l’instant, se déploie une série de fragments poétiques, comme en une danse rythmée par l’âme du temps :

Fragment I – L’appel du passé
« Sous la voûte étoilée des jours révolus,
S’élève en silence une prière sans mots,
Où chaque pierre, marquée des larmes des âmes,
Raconte l’histoire d’un cœur en quête d’absolu. »

Fragment II – Le chemin de la mémoire
« Entre les ombres dansantes des ruelles,
Se dessinent les contours d’un destin épars,
Où chaque pas, une note dans la symphonie du temps,
Écrit, en filigrane, l’éternel combat des âmes. »

Fragment III – L’écho d’un sourire
« Dans le regard d’une âme sœur éphémère,
Brille la lueur d’un espoir inextinguible,
Un instant suspendu, fragile et sincère,
Qui défie l’infini de l’oubli indicible. »

Ces fragments, tissés d’émotions et de souvenirs, constituent le manteau poétique que l’Errant porte en lui, une mosaïque d’instants précieux et douloureux. Ils se superposent aux échos de ses pas, lui rappelant que, malgré la discontinuité de ses souvenirs, il demeure l’architecte de son propre destin.

Les heures s’égrenant lentement, l’Errant sent venir la fin d’une journée qui fut autant de révélations qu’un voile sur le mystère de l’existence. Toutefois, dans cette ville où chaque pavé est une énigme, la fin n’est qu’un autre commencement, une ouverture sur d’autres chemins, d’autres fragments encore à découvrir. La cité, témoin silencieux de tant d’histoires éphémères, confie dans un dernier murmure :

« Va, errant, et laisse la nuit t’emporter,
Car dans l’obscurité se cache la lumière du renouveau,
Chaque souvenir, chaque pas, est un vers de ton poème,
Et c’est dans l’infini de l’inachevé que naît ton plus beau tableau. »

Ainsi, l’Errant continue sa marche incertaine, guidé par la force invisible du passé et l’ombre bienveillante de ses propres doutes. La rue s’ouvre devant lui avec des promesses et des mystères, et il sait, en son for intérieur, que chacune de ses errances est un fragment de sa vérité, une pièce indispensable au puzzle de son existence.

Dans cette scène d’une ville millénaire aux ruelles de pierre, l’histoire se dissout dans l’entrelacs des destins. Et tandis que l’Errant avance, le poème de sa vie n’est pas fini, mais se construit à chaque instant, à chaque regard jeté sur les vestiges du passé, à chaque rencontre fugace qui laisse une empreinte indélébile sur son cœur fatigué mais ardent.

La nuit se pare alors d’un voile d’incertitude, et dans le silence des rues, l’Errant se trouve face à l’insondable infinité du temps. Le lecteur, comme témoin complice de ces errances, se demande : que réserve encore l’avenir à cet être en quête, à cet écho de souvenirs dispersés dans les méandres d’une ville ancienne ?

Le poème s’achève ici, non pas sur une note définitive, mais sur une ouverture. Le destin reste suspendu, tout comme les fragments poétiques qui se dissolvent dans l’obscurité, invitant à une suite inévitable d’aventures, de rêves et de mélancolie. L’Errant, silhouette en mouvement, continue sa quête, et le chemin se divise en une myriade de directions incertaines, promettant mille autres fragments à recueillir.

Les ruelles pavées, témoins des vies effleurées, dans le scintillement des lampadaires, gardent le secret d’une histoire en perpétuel devenir. Le destin, en une danse subtile avec le temps, laisse la porte entrouverte sur un avenir qui se dessine, invisible et prometteur.

Et tandis que la ville se fond dans la quiétude d’une nuit tendre, le poème, tel un souffle d’éternité, incite chacun à retrouver en soi l’Errant qui sommeille, celui qui observe et ressent, qui mémorise et espère, dans un montage infini de fragments d’âme et de reliques du passé.

Ainsi se termine, ou plutôt se prolonge, l’histoire de l’Errant aux souvenirs épars, dont les pas sur les pavés anciens continuent d’écrire, en vers discrets et mélancoliques, les chapitres d’une quête universelle qui ne demande qu’à être vécue, ressentie et partagée – autant d’horizons ouverts sur l’infini des possibles.

En fin de compte, chaque souvenir, chaque instant ressenti, s’assemble pour former le tableau complexe de notre vie. Comme l’Errant qui arpente les pavés de cette ville ancienne, nous sommes tous en quête de sens, cherchant à assembler nos propres fragments pour composer notre histoire. Prenons un moment pour réfléchir sur les souvenirs que nous chérissons et sur ceux que nous laissons derrière nous, car c’est là que réside la richesse de notre existence.
Nostalgie| Condition Humaine| Souvenirs| Errance| Poésie| Vie| Poème Sur La Nostalgie| Fin Ouverte
Auteur: Jean J. pounpoeme.fr

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