Parmi les érables et les encens, la ville chante ses siècles comme on souffle sur le thé.
Les cloches se répondent aux torii vermillons, et le vent porte l’odeur du jasmin et du matcha.
Voici une promenade où l’histoire et la vie quotidienne tiennent la main, humble et fière.
Portrait en cinq lettres
Ya la cité, meurtrie par la Guerre d’Onin, se relève autour du château Nijō en saison.
Ou Kiyomizu, Kinkaku-ji et les milliers de torii de Fushimi composent un tableau de tradition.
Tant les bambous d’Arashiyama, le pavé de Gion et la cérémonie du thé dessinent l’horizon.
Or les marchés, l’encens, le parfum du matcha, et le tambour du Gion Matsuri célèbrent l’admiration.
Viens sentir la pierre polie des temples, le bois des maisons de thé et le bruissement des kimonos.
Visite pour le patrimoine, l’artisanat vivant, les jardins et les festivals qui font battre la ville.
Reste ; la cité t’apprend la patience, la beauté et la résilience, au rythme des saisons et des cloches.
Clés de Lecture du Poème
Genre Poétique: acrostiche et poème en vers courts, tonalité lyrique et narratif historique.
Thèmes Abordés: histoire (Heian 794, Guerre d’Onin), monuments (Kiyomizu-dera, Kinkaku-ji, Fushimi Inari, Nijō, Arashiyama, Gion), mémoire et quotidien.
Atmosphère Évoquée: vermillon des torii, odeurs d’encens et de matcha, cloches et shamisen, bambous qui murmurent.
Invitation du Poète: parcourir la ville pour son patrimoine, son artisanat, ses jardins, et ses festivals comme le Gion Matsuri.