La communion avec la nature
Dans l'enceinte où le ciel caresse la verdure,
Se dévoile un poème, un souffle d'aventure,
Où les mots sont des feuilles, et les vers, des ruisseaux,
Dans cette symphonie, s'élève un écho.
Au commencement, la rosée étreint les prairies,
Caresse matinale, douce mélodie.
La nature s'éveille dans un tendre murmure,
L'aurore déplie ses voiles, pure figure.
Sous le dôme azuré, le soleil roi s'empare
De chaque horizon, de chaque bizarre.
Il peint de sa lumière, les champs et les forêts,
Dans ce royaume vert, son amour il décret.
Les arbres, sages anciens, aux branches élancées,
Racontent l'histoire d'une terre embrassée.
Leurs feuilles dansent au gré d'un vent, conteur d'antan,
Chuchotant les secrets, tissés depuis longtemps.
La rivière, ce ruban d'argent, serpente, agile,
Traversant rocs et terres, en quête d'équilibre.
Son chant, une ode à la vie, pure et cristalline,
Dans son cours, elle étreint la nature divine.
Mais alors, surgit l'homme, curieux spectateur,
Émerveillé, il marche, cœur plein d'ardeur.
Il observe, il écoute, la beauté sans pareil,
De ce monde où chaque détail semble s'éveiller.
Dans cette communion, l'homme et nature unis,
Il découvre le langage des bois, le chant de la pluie.
L'harmonie se révèle, sublime et sans détour,
Dans cet échange, se trouve l'amour.
Puis, le soleil descend, teintant tout de sa gloire,
Le ciel s'embrase, raconte une autre histoire.
L'horizon s'enflamme, tableau vivant et fier,
Adieux rayonnants, dans le silence du soir.
Dans ce cycle éternel, saison après saison,
La nature enseigne, dispense ses leçons.
Elle montre la voie, celle de l'équilibre,
Invitant chaque âme à écouter son écrit.
L'homme, dans son désir, aspire à la comprendre,
Non pour la conquérir, mais humblement s'y rendre.
Pour, dans son essence, trouver réconfort et paix,
Dans l'écrin sacré, que la terre lui a fait.
Mais, dans la grande danse, l'homme doit aussi veiller,
À ce que son passage, ne puisse la briser.
Car cette communion, précieuse et vitale,
De l'amour et du respect, doit rester l'idéale.
Lorsque la lune monte, dans le ciel nocturne éclairé,
La nature s'endort, sous son voile étoilé.
Le cycle se complète, dans un silence profond,
La communion avec la nature, un lien si rond.
Ce poème, un voyage, dans les méandres du temps,
Où chaque être vivant, peut être un amant.
De la terre, de l'air, des eaux et du feu,
Dans cette harmonie, nous sommes tous des dieux.
La communion avec la nature, enseignement si pur,
Invite l'âme à s'élever, au-delà du mur.
Dans la splendeur de la vie, la beauté se révèle,
Un message d'espoir, que la nature étincelle.
Dans le langage des fleurs, le murmure des forêts,
Réside une sagesse, pour qui sait l'écouter.
Au cœur de l'univers, une vérité profonde,
Que dans la communion, la paix se fonde.
Laissons donc nos cœurs, ouverts à cette magie,
À cette ode à la vie, qui jamais ne tarit.
Dans la communion avec la nature, nos âmes s'épanouissent,
Dans ce ballet divin, où toutes beautés jaillissent.
Que ce poème soit, une porte ouverte,
Sur un monde où règne, l'harmonie offerte.
La communion avec la nature, chemin d'éveil,
Où chaque pas nous guide, vers le soleil.
Dans le respect, l'amour, et la contemplation,
Trouvons notre place, dans cette vaste création.
Que ce poème inspire, à chercher l'union,
Avec la nature, source d'une éternelle passion.