La fête des fleuves, cours d'eau nourriciers
Dans l'écrin du monde où s'épanouissent les rêves,
Là où le silence danse avec le vent,
Commence le voyage d'une goutte d'eau clairvoyante,
Une odyssée à travers la fête des fleuves, ces cours d'eau nourriciers.
Au sein des vallées oubliées, sous le scintillement des étoiles,
Se murmurent les secrets des rivières,
Berceau de la vie, miroir des cieux,
Où chaque reflet chante les louanges de la terre mère.
Les fleuves, tels des poètes, dessinent les contours de nos pensées,
Dans leurs méandres, se cachent des histoires inédites,
Des chants ancestraux portés par les vagues,
Courent le long des rives en quête de nostalgie.
Chaque vague, un battement de coeur,
Chaque rivière, une veine pulsant la sève de ce monde,
La nature, dans sa majestueuse symphonie,
Éveille en l'âme une infinité de sensations profondes.
Sous le regard bienveillant de la lune,
Les eaux susurrent à ceux qui veulent bien écouter,
Les leçons du temps, le souffle de l'histoire,
Un héritage de rêves étoilés, emporté par le soupir des marées.
À travers les siècles, les fleuves ont sculpté les visages des roches,
Forgeant des canyons, des vallées, où la vie se fraie un chemin,
Dans cet incessant ballet d'eau et de terre,
Réside une force douce, un appel au voyage immémorial.
Voilà l'âme des fleuves, puissants et sages,
Ils nourrissent la terre, affrontent les orages,
Guidés par une invisible main,
Ils tissent le lien entre hier et demain.
Dans le silence de la nuit, entends-tu leur murmure?
Ces vaillants gardiens de mystères,
Porteurs d'espoirs, de mélancolie,
Éclairant notre chemin d'une lumière éphémère.
Et dans ce grand bal des éléments,
Où chaque goutte d'eau compte, chaque grain de sable,
La fête des fleuves, dans un éclat de joie pure,
Nous rappelle la beauté de la vie, fragile et monumentale.
Ainsi, que la rivière de nos vies coule libre et fière,
Qu'elle embrasse les rochers, sans jamais se soumettre,
Que dans ce voyage au long cours,
Nous découvrions la force qui sommeille en notre amour.
Car, à l'image des fleuves et des rivières inépuisables,
Notre existence se fraie un passage entre les épreuves et les bonheurs,
Nourrissant les semences de demain,
Dans l'éternel cycle de la nature, baigné de lumières et de couleurs.
Voyageurs des temps modernes,
Écoutons le chant des fleuves,
Laissons-le guider notre quête,
Vers un avenir où l'homme et la nature coexistent en paix.
Puisse ce poème, tel un ruisseau serpentin,
Vous emporter, lecteurs, vers des paysages inexplorés,
Où la fête des fleuves, dans toute sa splendeur,
Nous enseigne l'humilité, l'amour, et la grandeur.
Dans la douceur d'un crépuscule doré,
Quand les derniers échos de la fête s'éteignent,
Résonne l'espérance d'un monde où chaque fleuve, chaque être,
Trouve sa place, son rôle, dans ce grand concert de la vie.
Ainsi, quand le rideau tombe sur la fête des fleuves,
Laissons leur sagesse couler en nous,
Que leurs eaux nourricières nous inspirent,
À cultiver avec passion le jardin de notre existence.
Car, dans le lent et puissant cours de la vie,
Chaque instant est précieux, chaque rencontre, un trésor,
Et dans ce fleuve intarissable des jours et des nuits,
Puisse notre esprit voguer, libre et sans peur, vers l'horizon des possibles.
