À travers son poème ‘La Jeune Locrienne’, André Chénier capte les nuances de l’évasion face à la douleur et au désespoir. Écrit à la fin du XVIIIe siècle, cette œuvre illustre la sensibilité romantique de l’époque, où l’amour et la peur s’entrelacent dans une danse tragique. Chénier, l’un des poètes les plus influents de son temps, nous invite ici à plonger dans un univers où la beauté rencontre la tragédie, rendant ce poème intemporel et toujours pertinent.
«Fuis, ne me livre point.
Pars avant son retour;
Lève-toi, pars, adieu; qu’il n’entre, et que ta vue
Ne cause un grand malheur, et je serais perdue.
Tiens, regarde, adieu, pars, ne vois-tu pas le jour?»
Pars avant son retour;
Lève-toi, pars, adieu; qu’il n’entre, et que ta vue
Ne cause un grand malheur, et je serais perdue.
Tiens, regarde, adieu, pars, ne vois-tu pas le jour?»
Ce poème d’André Chénier nous pousse à réfléchir sur nos propres fuites face aux difficultés de la vie. Partagez vos pensées sur ‘La Jeune Locrienne’ et découvrez d’autres œuvres poignantes de cet auteur remarquable.