Dans le creuset des temps anciens, où les cœurs se tissent,
Une légende dans le voile de l’aube s’éveille,
Elle s’embrase sous la quête des amants épris,
Ici commence notre récit, ô merveille.
Au jardin de l’Eden des passions oubliées,
Eros, d’un souffle, enflammait les âmes solitaires,
Ses flèches d’amour, sur le monde, il dispersait,
Engendrant joies et peines, dans ce monde éphémère.
Anteros, reflet d’une tendresse fraternelle,
Naquit de l’écho, d’un amour partagé, sincère,
Une force opposée, mais d’un lien indéfectible,
Dans leur combat, un équilibre à repenser.
Leurs jeux célestes, dans les cœurs, des flammes ravivent,
Eros, d’un amour fou, les âmes enchaîne,
Anteros, par son toucher, la passion rééquilibre,
En leur danse éternelle, l’amour se déchaîne.
Sous les étoiles, leurs destins se mêlent, s’entrelacent,
D’un amour naissant à un sentiment plus mature,
Chaque frisson, chaque soupir, qu’ensemble ils tracent,
Comme des artistes, peignant l’azur sur leur fresque pure.
Les saisons passent, mais leur message demeure intact,
Un rappel que l’amour exige une réciprocité,
Dans chaque sourire partagé, chaque geste délicat,
Réside la vérité de l’amour, en sa simplicité.
Mais tout amour véritable se voit éprouvé,
Par les tempêtes et les marées de l’existence,
Eros et Anteros, par les épreuves, forgés,
Offrent la sagesse en héritage, en leur absence.
Dans le miroir de l’humanité, leur reflet persiste,
Chaque histoire d’amour, un écho de leur essence,
Dans les yeux de l’aimé, leur flamme subsiste,
Un pont entre les âmes, au-delà de la présence.
Ainsi, la légende d’Eros et d’Anteros s’enchaine,
Un tissu de rêves, sur le métier du destin brodé,
Un rappel, que même dans la douleur, l’espoir reste,
Que l’amour vrai est un feu ardent, jamais érodé.
Comme les vagues se retirent, puis viennent caresser le rivage,
L’amour se renouvelle, se transforme, et jamais ne meurt,
Dans ce perpétuel mouvement, cet éternel passage,
Se trouve la beauté de vivre, le cœur ouvert, sans peur.
Dans la profondeur de nos cœurs, résonne l’appel,
De chercher, de trouver cet amour inaltérable,
Dans la danse d’Eros et d’Anteros, le message est éternel,
L’amour, sous toutes ses formes, est d’une valeur infinie.
Et lorsque viendra le crépuscule sur nos vies, effilé,
Que nos souffles se feront doux, nos regards, lointains,
Que restera-t-il de nos passions, nos amours articulés ?
Sinon l’écho de cet amour, dans l’infini, sans fin.
Ô lecteur, dans cette légende, puisses-tu trouver,
La clé des sentiments profonds, le chemin vers ton cœur,
Laisse les histoires anciennes, ton âme inspirer,
Et dans l’amour, découvrir ta propre splendeur.
La légende d’Eros et Anteros, plus qu’un mythe,
Une exploration de l’amour sous tous ses visages,
Dans cette quête, peut-être découvriras-tu, avec délice,
Que l’amour vrai est le plus précieux des voyages.
Ainsi s’achève notre conte, dans l’espoir et la lumière,
Une ode à l’amour, en toutes ses manifestations,
Que chaque vers de cette épopée, comme une prière,
Éveille dans les cœurs, les plus douces vibrations.
Dans le silence qui suit la dernière note jouée,
Reste l’écho d’une histoire, une essence éternelle,
Dans la légende d’Eros et Anteros, on est invité,
À réfléchir sur la vie, l’amour, dans leur beauté naturelle.
