Au sein d’une forêt profonde et mystérieuse, où les ombres
Chuchotent les secrets des temps anciens,
S’éveille une légende, douce et ténébreuse,
Racontant le Roi des Aulnes et le Chevalier, âmes sœurs de chemin.
Lorsque l’aurore peint de rose les cimes,
Le Roi des Aulnes, souverain de la brume et du rêve,
Guide les esprits perdus, son pouvoir ultime,
Dans ce royaume où la magie sans cesse s’élève.
Mais voilà qu’au cœur de cette toile tissée d’argent,
Surgit le Chevalier noir, armure luisant sous la lune,
Porteur d’espérance, d’un destin ardent,
Défiant les ténèbres, une quête opportune.
Première rencontre sous le voile de l’aube
Le Chevalier noir, en quête de gloire et de lumière,
Croise le Roi, dont le regard comme l’orbe,
Sonde l’âme, cherche la faille, guerrier-ère.
« Il te faut traverser la forêt enchantée,
Résoudre les énigmes de mon royaume oublié, »
Dit le Roi des Aulnes, voix éthérée.
« Seul alors, le chemin vers la vérité te sera dévoilé. »
Le défi de l’énigme et la clarté de l’esprit
Avec courage, le Chevalier accepte l’épreuve,
Marchant sous les branches, là où le mystère s’enivre,
Il découvre les énigmes, puzzle complexe qui s’émeut.
Chaque réponse apportée, une lumière se révèle,
Éclairant la forêt, dissolvant la brume cruelle.
Ainsi, pas à pas, le Chevalier avance,
Vers la connaissance, gagnant sa lance.
L’apogée de la quête et la bataille intérieure
Enfin, face au Roi, le Chevalier se tient prêt,
L’épée de vérité levée, un défi muet.
Mais le Roi des Aulnes, en sa sagesse, confronte le guerrier,
Non avec l’acier, mais avec les miroirs de son passé, l’ultime barrière.
Dans le reflet, le Chevalier voit ses peurs, ses doutes,
Les ombres qui l’entourent, les cris sans écoutes.
C’est dans cette bataille contre soi-même,
Que la victoire se dessine, un nouveau diadème.
La révélation et l’union des contraires
« La vraie force, » dit le Roi, « réside dans l’union,
De la lumière et de l’ombre, la fusion. »
Le Chevalier, les yeux emplis de larmes, comprend,
Que dans chaque cœur, s’entrelacent noirceur et éclat si prenant.
Ainsi, le Roi des Aulnes et le Chevalier noir,
Unissent leurs forces, dans un espoir.
Car dans ce monde de mystères et de merveilles,
Se trouve la clé, le sens de notre pareille.
Épilogue : L’harmonie retrouvée
Sous l’éclat d’une aurore nouvelle, le royaume s’éveille,
La forêt enchantée, libérée de son sommeil,
Respire la paix, témoigne de l’union sacrée,
Du Roi des Aulnes et du Chevalier, désormais alliés.
La légende se répand, telle une mélodie,
Au-delà des monts, des vallées, dans chaque nid.
Rappelant aux âmes errantes et aux cœurs perdus,
Que dans l’obscurité, la lumière n’est jamais à l’abandon, jamais détenue.
Car au-delà des nuits sans lunes et des jours sans soleils,
Réside en nous, cette étincelle, ce réveil.
L’harmonie entre ombre et lumière, dans le tumulte de la vie,
Est le chant éternel, la danse infinie.
Laissons donc ce récit, cette épopée,
Guider nos pas, dans la quête et l’amitié.
Pour que chaque mot, chaque rêve, chaque pensée,
Soit un pont entre nos âmes, l’avenir en beauté.
La légende du Roi des Aulnes et le Chevalier noir enseigne,
À chercher en notre cœur, la paix, l’harmonie qui étreint.
Dans ce monde de contrastes, d’amour et de peines,
Il nous est donné, en partage, le pouvoir de choisir notre chemin.
