La majesté des falaises et des côtes sauvages
Dans l'écrin azur d'un monde oublié,
Où le vent danse avec les marées,
Se dresse, fière et inébranlable, la falaise,
Témoin éternel du temps qui apaise.
Sur son front, les larmes du ciel coulent en rivières,
Sillonnant les roches, histoires éphémères.
Elle regarde au loin les vagues se battre,
Dans un ballet sauvage qui vient l'éclabousser.
Le chant des mouettes perfore le silence,
Mélodie d'un royaume sans défiance.
C'est là, sur la crête de ces géants de pierre,
Que se dévoile le secret de la terre.
Chaque grain, chaque fissure, une épopée,
Narration gravée par le vent, par les marées.
Les falaises, sentinelles d'une nature indomptée,
Veillent sur l'horizon, sur l'infini éthéré.
Sous le regard impassible des cieux,
La côte sauvage déploie ses lieux,
Où chaque cri d'oiseau, chaque rugissement de vague,
Est un vers dans le poème de notre monde vague.
Là, où le soleil embrasse l'océan,
Dans un adieu flamboyant qui s'éteint lentement,
La lumière dore les flancs rugueux,
Et l'ombre tisse son voile mystérieux.
Dans ce royaume où le temps s'efface,
L'homme vient chercher son espace.
Devant l'immensité, son cœur palpite,
Résonance d'une quête infinie.
Car c'est dans le sauvage, dans l'indompté,
Que se révèle la beauté dans sa vérité.
Les falaises nous parlent d'une force latente,
Du souffle de vie qui en toute chose s'enchante.
Elles sont le miroir de nos âmes vagabondes,
Reflet d'un désir profond qui nous inonde.
De tenir face aux tempêtes, immuable,
De trouver dans notre essence, le stable.
Ainsi, dans le tumulte et le calme, la nature enseigne,
Que chaque épreuve, chaque joie, s'enchaîne.
Les falaises et les côtes, dans leur majesté,
Nous invitent à contempler, à aimer sans cesser.
Et à mesure que la nuit étend son voile,
Sur les contours d'un monde qui dévoile,
Le silence de ce lieu parle à qui veut entendre,
De la beauté de vivre, de la grandeur à défendre.
Que sous la voûte étoilée ou sous l'ardeur du soleil,
La majesté des falaises reste sans pareil.
Car elles sont le récit d'une lutte incessante,
La poésie du monde, sa force vibrante.
La côte sauvage, avec ses ombres et ses lumières,
Nous enseigne la richesse de notre terre.
Dans le souffle du vent, dans le murmure des vagues,
Réside l'écho de notre passage.
Face à l'immensité, nos cœurs s'éveillent,
À la beauté simple, à l'amour qui sommeille.
Les falaises et les côtes, dans leur éternelle danse,
Nous rappellent la valeur de l'existence.
Alors, laissons-nous guider par cette nature grandiose,
Par la majesté des falaises, par la grâce des choses.
À travers elles, c'est un appel à l'audace,
À aimer, à vivre, dans le temps qui passe.
Que ce poème soit un phare, une lumière,
Guidant vers la majesté de notre terre.
Dans le chant des vagues, dans le cri des mouettes,
Réside la promesse de jours de fête.
La beauté de notre monde se dévoile,
Dans la force tranquille, dans le vent qui dévoile.
Les falaises et les côtes, dans leur immuable présence,
Nous enseignent la patience, l'essence de l'existence.
Et quand l'aube viendra caresser l'horizon,
Que chaque couleur se fondra en fusion,
Sachez que chaque instant est un cadeau,
Dans le grand poème de la vie, éternel, beau.
La majesté des falaises et des côtes sauvages,
Est un hymne à l'amour, à travers les âges.
Un appel à contempler, à rêver grand,
À embrasser la vie, avec passion, ardemment.