back to top

Utilisation des poèmes : Tous les poèmes de unpoeme.fr sont libres de droits et 100% uniques "sauf catégorie poésie classique" .

Vous pouvez les utiliser pour vos projets, écoles, affichages, etc., en mentionnant simplement notre site.

⚠️ Les poèmes soumis par nos lecteurs qui souhaitent en limiter l'usage auront une mention spécifique à la fin. En l’absence de cette mention, considérez-les comme libres de droits pour votre usage personnel ou professionnel.

Profitez-en !

Partagez votre talent avec nous ! ✨ Envoyez vos poèmes et histoires via ou utilisez ce formulaire.
Tous les styles sont bienvenus, tant que vous évitez les sujets sensibles. À vos plumes !
Article précédent

La Parole Retrouvée

Dans un monde où le passé et le présent se rencontrent, ‘La Parole Retrouvée’ nous plonge dans une quête émotionnelle. Ce poème évoque la recherche de nos origines et l’importance des souvenirs qui façonnent notre identité.

L’Écho des Racines Oubliées

Dans un grenier voilé par les poussières du temps,
Où l’ombre danse au gré des souvenirs errants,
Un chercheur d’âmes, au cœur aux mille doutes,
Découvrit, en un recoin, une lettre aux éclats flous et coûteux.

Le papier jauni, empreint d’une antique senteur,
De secrets murmurés entre les lignes d’une douleur,
Parut à cet homme en quête d’identité révolue,
Un pont entre son passé et l’avenir incongru.

I. L’Appel des Anciennes Traces

Dans le silence feutré d’un grenier abandonné,
Lui, voyageur des âmes, s’aventura à l’instant sacré ;
Les craquements des vieilles poutres, en une ritournelle,
S’accordaient à l’écho d’une mémoire solennelle.

« Que dis-tu, ô lettre, messagère du temps révolu ? »
Murmura-t-il, la voix éteinte par l’ombre des rues ;
« Trouverai-je dans tes mots l’essence de mes racines,
Éveillant en mon esprit l’élu mystère de mes origines ? »

Les traits inscrits, tels des chemins sinueux disparus,
L’entraînaient dans un labyrinthe d’émotions inculpables et confus.
Ainsi, sa quête se commença, entre passé et présent,
Un dialogue intimiste avec l’esprit du temps mouvant.

II. Aux Confins des Souvenirs

Par une après-midi voilée de mélancolie et de brise,
Le chercheur se rappela la voix d’une mère exquise,
La douce mélodie du berceau, en échos discrets,
Maintenant ensevelie dans les brumes d’un passé imparfait.

« Ô vous, ombres fragiles de mes jours oubliés,
Répondez à mon appel, ne restez point figés ! »
Interpellait-il en feuilletant les lignes si fragiles,
Où se mêlaient rires d’antan et notes subtiles.

Les mots, tels des miroirs reflétant son âme en peine,
Éveillaient en lui l’espoir et l’ombre d’une rengaine ;
Entre les plis de la lettre, la lumière d’un ancien jour
Lui chuchotait que la mémoire est le plus pur retour.

Le grenier, scène muette d’un théâtre d’antan,
Devint le lieu sacré des confidences d’un géant ;
Chaque mot, chaque virgule, tissait un lien invisible,
Reliant les âmes dispersées par le destin impassible.

III. La Rencontre avec l’Envolée des Vents

À l’ombre d’un chêne séculaire, en un crépuscule doré,
Le chercheur, en méditant, laissa son esprit s’égarer.
Les vents, messagers d’une vérité ancestrale et discrète,
Portaient en eux les échos d’une existence secrète.

« Parlez-moi, vents voyageurs, de ce passé qui s’efface,
De cette vie inachevée, d’une mémoire audacieuse et tenace! »
Ainsi s’exclamait-il, dans un souffle de poésie,
Espérant trouver dans l’air la clef de sa symphonie.

Les feuilles d’or et d’ambre, emportées par le vent,
Lui renvoyaient un doux murmure d’un temps en suspens ;
« Tu n’es point seul, âme en peine, dans ta quête ardente,
Car chaque brise, chaque souffle, guide ton existence palpitante. »

Alors naquit en lui, un dialogue repentant et sincère,
Entre le passé et le présent, un pont d’un lien meurtrier ;
Les mots se confondaient dans une valse mélancolique,
Telle une tristesse sublime, féerique et éthique.

IV. Les Visages du Passé

Au cœur de la lettre, les traits d’un visage évanoui,
Un témoin d’un temps jadis, que l’histoire rendit inconnu,
S’inscrivait comme un poème, gravé dans une encre de douleur,
Révélant des contes enfouis, aux souvenirs en fleurs.

« Qui étais-tu, noble anonyme, dont l’âme se lie à la mienne,
Toi qui dans le flot des jours, perdit ton reflet, ta pleine ? »
Interrogea le chercheur, l’œil brillant d’une quête infinie,
Espérant, par cet écho, retrouver son essence bénie.

Le manuscrit, tel un miroir aux reflets d’un autre temps,
Suscita en lui une lueur, un effleurement palpitant ;
La nostalgie de ses ancêtres, la douleur de l’exil,
S’entremêlaient en un chant qui faisait ressurgir le fil.

Ce portrait d’un inconnu, inscrit par un destin capricieux,
Devint le symbole vibrant d’un passé mystérieux.
Ainsi, il cherchait en chaque mot la trace de ses origines,
Et dans l’attente de ce reflet, son cœur doucement s’incline.

V. La Voie du Retour Intérieur

Au gré des mots, des phrases, telle une rivière en crue,
Le chercheur découvrit la force d’une âme inconnue ;
Revivant en lui l’étincelle d’un feu sacré et ancestral,
Il sentit renaître en son être la pulsation vitale.

« Par ces lettres, en bribes, ressuscitent les ardents feux
De nos mémoires égarées, des instants précieux.
Chaque mot est une clé, chaque ligne un chemin de vie,
Ouvre-toi donc toi-même, et laisse-toi guider, ami ! »
Ainsi, se parla-t-il, en un monologue intime et discret,
Cherchant dans l’écriture le reflet d’un destin secret.

Tel un miroir, l’âme du chercheur se dévoilait,
Entre chaque syllabe, un écho d’autrefois s’imprimait.
Les ombres de son passé, se révélant par nuances,
Dessinèrent sur sa vie l’esquisse d’une nouvelle danse.

À travers la trame d’un récit d’amertume et d’espoir,
Il retrouva la force de bâtir un nouveau départ ;
Chaque ligne, chaque mot, un fragment d’un être en quête,
Pour dire adieu aux regrets, et aux heures trop discrètes.

VI. Le Dialogue des Cœurs Retrouvés

Dans une alcôve oubliée, la lettre prit vie en son regard,
Parlant d’un temps effacé, d’un destin incertain et barbare.
« Mon ami, entends-tu cette voix qui résonne en lointain écho ?
N’est-ce point la tienne, tissée dans l’infini flot des mots ? »
La voix intérieure du chercheur, en un souffle presque charmant,
Répondit aux murmures du passé d’un ton doucement haletant.

« Oui, c’est bien moi, le pèlerin aux rêves égarés,
Cherchant en chaque vers la trace d’un passé enlacé ;
Je reconnais en ces mots l’empreinte d’une âme sœur,
Qui, par-delà les ombres, alluma la flamme de mes pleurs. »

Entre le dialogue feutré du cœur et l’écriture ancestrale,
S’établissait une trame d’une beauté presque immorale.
C’était une rencontre d’esprits, une fusion d’hier et de demain,
Où se mêlaient le désir de retourner à l’essence du matin.

VII. Les Vers Libre de l’Abîme

Les mots se firent rivières, courant vers l’infini,
Chaque strophe une marche, chaque vers un nouveau défi ;
Le chercheur, le regard levé vers l’horizon flétri,
Voyait dans l’écriture l’ombre d’une lumière inédite.

Il évoqua, en dialogues intérieurs, des masques du passé,
Des murmures de souvenirs que le temps ne saurait effacer.
« Ô mémoire vagabonde, pourquoi te caches-tu ainsi ?
Laisse-moi voir l’âme de mes ancêtres perdus, sans répit. »

Les réponses se distillaient en éclats de lumières fugaces,
D’un destin brisé et reconstruit au gré des traces.
Alors qu’une brise légère faisait danser les poussières,
Il sentit en son cœur renaître des émotions sincères.

Oui, c’était là la quête d’un homme épris de vérité,
Traversant les méandres d’une existence embrouillée ;
Chaque lettre dévoilait un fragment d’un être jadis aimé,
Chaque mot ramenait l’écho d’une vie oubliée, d’une destinée.

VIII. L’Instant Suspendu

Un soir, où l’ombre s’étendait sur le paysage désolé,
Le chercheur, émue par ces renouveaux rêvés,
S’arrêta devant la lettre, témoin d’un temps à la dérive,
Où chaque mot de vérité, tel un baume, l’enivrait, l’active.

« Que m’enseignent tes lignes, ô parchemin d’un autre monde ?
Dois-je, ainsi, me perdre en quêtes profondes ?
Ou bien dois-je embrasser l’énigme de mes origines,
Pour dessiner l’âme d’une vie où la mémoire se devine ? »

Le silence répondit, dans une élégante hésitation,
Tel l’invitation à franchir l’abîme de l’introspection.
Alors, dans ce moment suspendu, sous le ciel en mutation,
Se déploya en lui le sentiment d’une inéluctable transition.

Les mots de la lettre, comme des phares dans la nuit,
Illuminaient des fragments d’espoir, de rêves affranchis.
Le chercheur, absorbé par l’appel de ce passé enlacé,
Perdit pour un instant la notion du temps, dans son âme embrasée.

IX. La Renaissance du Souvenir

Peu à peu, au fil des pages, de l’écriture à la plume légère,
Le chercheur perçut en lui l’essence d’une âme sincère ;
Les contours d’une identité jadis dissimulée se dévoilaient,
Rappelant que la mémoire, en tout être, toujours se criait.

« Je suis le pont entre le temps, entre l’ombre et la clarté,
Portant en moi l’héritage de tous ceux qui m’ont précédé.
Ma vie est un manuscrit en perpétuelle construction,
Une quête, une aventure, un défi à l’horizon. »

Ainsi se fit une rencontre, en un dialogue intimiste et vibrant,
Entre le passé enveloppé de brume et l’avenir tremblant.
Les mots tissés par la lettre étaient des éclats de vérité,
Révélant à l’âme en errance l’éclat d’une identité retrouvée.

Grandit en lui, comme une fleur sur l’herbe d’un verger endormi,
La force de renaître, d’exister, portée par l’insoumise vie.
Chaque strophe était une marche sur le sentier de l’oubli,
Retrouvant par le verbe d’antan le goût d’un destin jauni.

X. L’Épilogue Ouvert

À l’issue de cette lecture, emplie de rêves et de secrets,
Le chercheur comprit que sa quête n’était point un arrêté,
Mais bien un chemin d’infini, d’émotions sans conclusion,
Où chaque page écrite attise la flamme de sa rédemption.

« Ô destinée incertaine, je marche vers ton horizon,
Portant en mon âme les échos d’une antique chanson.
Qu’aucune réponse définitive ne scelle ce chemin,
Car le mystère de l’être se révèle à l’infini, en écrin. »

Ainsi, dans le silence du grenier, ses pas résonnèrent,
Continuant la danse des ombres où les souvenirs se libèrent.
La lettre, complice muette de retrouvailles intérieures,
Laissa au chercheur le voeu d’un avenir en constante lueur.

Les mots se fondirent alors dans une énigme indéfinie,
Comme un tableau inachevé, aux contours de mélancolie.
Le cœur du chercheur, vibrant entre passé et présent,
Écrivait encore sa vie, au cœur de l’éternel moment.

L’histoire, inscrite dans le creux de ce temps suspendu,
Lui rappela que l’identité n’est jamais complètement révolue ;
Elle s’enrichit de notes, de silences, de voix retrouvées,
Dans une quête infinie, où la mémoire demeure éveillée.

Le grenier, sanctuaire des vestiges d’un souvenir ancien,
Garda la trace d’un homme en quête, d’un destin serein.
Au milieu des ombres, la lettre brillait comme un phare inconstant,
Offrant à celui qui osait lire un monde de sentiments.

Les mots se dirent enfin, dans un murmure intemporel :
« La quête de soi est un voyage sans fin, un pont charnel
Entre hier et demain, entre l’ombre des regrets d’antan,
Et la lumière d’un renouveau, qui guide nos pas vacillants. »

Et désormais, dans un sourire empreint d’une douce infinie,
Le chercheur laissa son histoire en suspension, doucement bénie,
Où chaque pas, chaque mot, écrivait sur le vent des destins
L’espoir d’un futur ouvert, vibrant en échos incarnants.

Ainsi se termine ce récit, non par une fin absolue,
Mais par l’immuable promesse que chaque être, chaque âme continue
Son chemin sur la vaste étendue d’une vie en perpétuelle étreinte,
Où le passé et le présent se mêlent dans une danse sans contrainte.

Le lecteur, à l’ombre de ces vers, se voit désormais convié
À explorer ses propres racines, à rêver, à oser rêver
Qu’en cherchant en soi-même le reflet d’un passé immortel,
On peut, à l’instar du chercheur, étreindre un destin éternel.

Et l’histoire reste ouverte, suspendue entre l’obscur et le clair,
Invitant chacun à se perdre et se retrouver dans l’éphémère,
Car la mémoire, telle une étoile dans l’immensité du ciel,
Guide l’âme en errance, en quête perpétuelle et intemporelle.

À travers cette exploration des mots et des souvenirs, réfléchissons à notre propre cheminement. Chaque lettre, chaque souvenir est une clé pour comprendre qui nous sommes et honorer ceux qui nous ont précédés. La quête de soi est un voyage éternel, illuminé par les échos du passé.
Mémoire| Racines| Quête Didentité| Introspection| Souvenirs| Poésie| Poème Sur Les Souvenirs Et Lidentité| Fin Ouverte
Auteur: Jean J. pour unpoeme.fr

💖 Soutenez notre travail ! 💖

Si nos poèmes et histoires ont touché votre cœur et apporté un peu de lumière à votre journée, nous vous invitons à soutenir notre projet, chaque don, même modeste, nous aide à continuer à créer et partager ces moments de douceur, de réflexion et d'émotion avec vous.
Ensemble, nous pouvons faire grandir cet espace dédié à la poésie et aux histoires, pour qu’il reste accessible à tous.

Merci de tout cœur pour votre générosité et votre soutien précieux. 🌟

➡️ Faites un don ici

Laisser un commentaire

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici