La plénitude des formes
Dans l’écrin d’un silence à peine éveillé,
Sous le voile léger d'une aube purifiée,
S'élève doucement la mélodie d'un jour,
Annonçant les couleurs de l'éphémère amour.
Les premiers mots tracent, d’une plume timide,
Un chemin sinueux où l’esprit s’abîme,
Cherchant dans les replis de nos rêves évanouis,
La clé qui ouvrira les portes de l’infini.
Ombres et lumières dansent d’un pas cadencé,
Tissant sur la trame du temps un tissu étoilé.
Et sous la caresse d’un vent à peine murmuré,
Se révèlent les contours d'une existence étoffée.
Les mots se déploient, ailes de papillon,
Porteurs des souffles chauds, des frissons d’horizon.
Ils murmurent à l’oreille de l’âme voyageuse,
Des histoires anciennes, intimes et merveilleuses.
Les rivières coulent avec une grâce infinie,
Traversant des vallées aux murmures endormis.
Elles charrient l’espoir, les peines et les rires,
Dans un ballet incessant, un reflet à saisir.
Dans le jardin secret où fleurissent les désirs,
Le temps suspend son vol, invitent à s’épanouir.
Chaque pétale ouvert est une promesse tenue,
Un bout de l’univers, intimement reconnu.
Et vient alors le soir, drapant de sombre les heures,
Éteignant doucement l’éclat des mille couleurs.
Mais dans l’ombre grandit un monde de douceur,
Où la nuit offre ses étoiles aux cœurs en fleur.
Les constellations dessinent nos destinées,
Sur l’océan du ciel, nos âmes sont projetées.
Elles voguent, libres, par-delà les frontières,
Unies par le fil doré d’une lumière première.
Le temps, ce sculpteur, modelant chaque existence,
Grave dans le marbre de l’âge notre essence.
Sous chaque ride, chaque sourire partagé,
Se cache l’écho vibrant d’un passé égrené.
La plénitude des formes, dans toute sa splendeur,
Montre que dans chaque fin réside un débutateur.
Que dans l’éphémère se trouve l’éternel,
Et dans le silence, un amour universel.
Comme les vagues sur le sable, laissez une trace,
Marquez le monde de votre unique empreinte.
Car dans l’infini des possibles, chaque pas,
Peut transformer les contours de notre espace.
La vie, dans son essence, est un tableau vivant,
Chaque jour une teinte, chaque rire un savant.
C’est dans le cœur de l’homme que bat le véritable,
Un rythme profond, indompté, indiscible.
Et à l’aube nouvelle où tout semble à recommencer,
Nous trouverons la force de nous redessiner.
Dans le miroir des eaux, dans l’éclat d’un regard,
Se trouve la promesse d’un autre départ.
Ainsi voyagent les mots, portés par le vent,
A la recherche d'un sens, d’un renouvellement.
La plénitude des formes s’offre à qui sait voir,
Que tout est lié, dans cet immense devoir.
Dans le grand livre du monde, chaque page tournée,
Est un pas vers soi, une vérité murmurée.
Ce poème se veut un pont entre les cœurs,
Pour qu’en chaque fin, nous trouvions un créateur.
Alors, puissions-nous danser sur les rives du temps,
Embrasser chaque instant avec amour, passionnément.
Car dans la course éperdue vers l’indicible,
Se trouve une beauté simple, presque invisible.
La plénitude des formes, dans sa magnificence,
Nous rappelle l’importance de l’existence.
De nos liens tissés serrés, de nos rêves partagés,
Naît une symphonie, un monde réenchânté.
Dans le silence qui suit la dernière note jouée,
Résonne l’écho de la vie, dans son entièreté.
Et dans le souffle du vent qui caresse l’aurore,
Se trouve l’espoir, intense, d’un amour qui éclore.
May this journey of words guide you through the diversity of human experience and the beauty of life's continuous unfolding, prompting deep reflection and emotional resonance.
