La poésie des cieux enflammés
Dans l’azur où se peignent les rêves,
Où l’on voit les étoiles s’élever,
Une danse commence, loin des grèves,
Sous les cieux enflammés à rêver.
Là où le silence parle aux âmes,
Dans un souffle doux, presque un secret,
Les mots se tissent de milles flammes,
Dévoilant un monde discret.
Aux confins d'un univers éthéré,
Où les pensées deviennent lumière,
Chaque étoile, un destin éclairé,
Guide nos cœurs à travers l’éther.
Sous la voûte céleste, en voyage,
Nos esprits s'envolent sans ancrage,
Dans ce royaume où tout semble sauvage,
Ils cherchent paix, amour, et courage.
Les constellations, tels des phares,
Dans la nuit, écrivent des histoires,
Des épopées, des mythes rares,
Qui chantent les gloires et les déboires.
Le temps là, ne suit plus son cours,
Dans ce monde où les heures s’évadent,
Chaque instant est un nouvel amour,
Chaque seconde, un rêve qui parade.
À travers les galaxies lointaines,
Nous sommes tous des navigateurs,
Cherchant des terres moins incertaines,
Où fleurissent des jours meilleurs.
Mais dans ce voyage immortel,
Où l’on cherche notre essentielle vérité,
Se révèle, sans fin ni appel,
La beauté dans la simplicité.
Ainsi, sous les cieux enflammés,
Nous apprenons à lire les signes,
À décoder les secrets cachés,
Dans le murmure du vent qui dessine.
Car la poésie, c’est ce feu dans la nuit,
Qui éclaire nos âmes perdues,
Elle est la voix qui nous suit,
Sur les chemins jamais battus.
Peut-être qu’en ces vers entrelacés,
Se cache la clé des immensités,
Un univers de sens éveillé,
Ou bien simplement, la liberté.
Et quand viendra l’aube nouvelle,
Sur ces terres de poésie pure,
Le monde s’éveillera sous son aile,
Dans un éclat doux et sûr.
Ainsi la poésie des cieux enflammés,
Ne se borne pas à nos yeux admirés,
Elle réside dans chaque souffle éthéré,
Dans chaque cœur à jamais marqué.
Sur ce chemin où la langue nous porte,
Où chaque mot est une découverte,
L’humanité tout entière s’escorte,
Dans une quête éternellement ouverte.
Dans la finitude de notre existence,
Repose une infinité de nuances,
La langue, notre plus noble essence,
Tisse entre nos vies une alliance.
Écoutez donc, sous les cieux enflammés,
Le chant des étoiles éternelles,
Elles nous parlent de l’amour, de l’amitié,
Et de la vie, si belle, si réelle.
Car chaque fin n’est qu’un commencement,
Dans ce grand poème qu’est notre temps,
Soyons les auteurs, passionnément,
De chaque jour, de chaque instant.
Que nos mots soient des lumières,
Dans l’ombre de nos univers,
Guidant nos âmes solitaires,
À travers les mers et les éthers.
Qu’ainsi demeure en nos cœurs,
La poésie des cieux enflammés,
Comme un phare dans la noirceur,
Éclairant l’humanité.
Sous les cieux enflammés, notre terre,
Recèle des miracles à découvrir,
Apprenons à regarder l’univers,
Avec les yeux du cœur, pour s’épanouir.
À travers les saisons, les époques,
Les vers coulent, ruisseaux de notre espoir,
Ils sont le reflet de nos époques,
Un miroir de notre histoire, notre devoir.
Ainsi, dans cette odyssée sans fin,
Où chaque mot est un voyage,
La poésie est notre destin,
Le guide de nos plus beaux rivages.
Puissions-nous toujours nous souvenir,
De la magie des cieux enflammés,
Là où l’art de vivre vient s’inscrire,
Dans l’infini des possibles rêvés.
Avec ces vers, je vous laisse partir,
À la conquête de vos propres cieux,
Pour que jamais ne cesse de fleurir,
La poésie, aux couleurs de vos yeux.
