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La symphonie des paysages

La symphonie des paysages

Dans l'écho lointain où murmure l'esprit du monde,
S'élève doucement une mélodie profonde.
C'est le souffle secret des forêts oubliées,
Le chant silencieux des étoiles étoilées.

Là, où le vent caresse les cimes éthérées,
Danse la symphonie des paysages vénérés.
Sur leurs partitions s'inscrit le temps, immuable,
Comme un fleuve tranquille, doux et insondable.

Au commencement, un simple murmure,
Un frémissement de vie à la texture pure.
La mer, en sa vastitude, embrasse l'infini,
Ses vagues, tels des vers, composent une épopée sans fin, unis.

Les montagnes dressent vers le ciel leurs strophes majestueuses,
Témoins millénaires de l'Histoire, âmes silencieuses.
Leur splendeur gravée dans le marbre du temps,
Offre aux regards émerveillés un spectacle flamboyant.

L'horizon dévoile ses rimes en couches colorées,
Où le crépuscule et l'aurore, amants éternellement liés,
S'enlacent dans un ballet de lumières et d'ombres,
Peignant le ciel de nuances sans nombre.

Puis, au coeur des vallées, sous le voile de l'aube frémissante,
Coule une rivière, veine d'eau claire et vivifiante.
Son cours, tel un vers libre, s'écoule et s'entrelace,
Réveillant la terre avec grâce.

Dans le silence feutré des forêts ancestrales,
Chaque feuille murmurant est une note originale.
Leurs mélodies se fondent en un choeur immense,
Célébrant la vie, dans sa plus pure essence.

Mais qu'est-ce donc que la symphonie des paysages,
Sinon le reflet de notre âme à travers les âges?
Un miroir où chaque homme peut voir son visage,
Dans le cours d'un ruisseau, ou à l'ombre d'un feuillage.

À travers les saisons, ce poème de la nature,
Nous enseigne la patience, la beauté, la mesure.
Il nous rappelle que, dans le grand orchestre de la vie,
Chaque note compte, et à l'unisson, embellit.

Finalement, au crépuscule de notre existence,
Quand se taisent les bruits, s'éteint la cadence,
Reste la symphonie des paysages, éternelle,
Comme une promesse douce, infinie et fraternelle.

Que ce poème soit un chemin vers la sagesse,
Un guide pour traverser l'existence avec adresse.
Puissions-nous comprendre la langue de la terre,
Et, dans son infinie beauté, trouver ce qui éclaire.

Ainsi, au terme de notre voyage singulier,
Quand viendra le temps du dernier soupir, du dernier éclair,
Que notre âme s'élève, légère, portée par le vent,
Dans la symphonie des paysages, éternellement.

Et que résonne, au-delà des mots et des vers,
La musique des mondes, subtile et universelle.
Dans ce grand concert, que notre contribution,
Soit amour, compassion et compréhension.

Entendez-vous? C'est la symphonie des paysages,
Invitation au voyage, à travers les âges.
Elle nous parle de liens, de racines, d'envol,
De la beauté de la vie, magnifique et frivole.

Que ce long poème, tissé de mots et de passion,
Résonne en chacun, éveille émotion et raison.
Car dans l'union de l'homme et de la nature,
Réside un trésor d'amour, pur et sûr.

Laissons-nous guider par cette symphonie,
Dans sa danse, trouvons notre harmonie.
Et que notre passage sur cette terre,
Soit empreint de douceur, de lumière.

C'est là, tout l'enjeu de notre éphémère existence,
Savoir écouter, apprécier les silences.
Et dans le grand livre de la vie, humblement contribuer,
À la symphonie des paysages, sans cesse à réinventer.

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