« Le Chant du Phénix » vous invite à découvrir la légende d’un oiseau mythique, métaphore de la force intérieure et de la renaissance.
Dans les brumes d’un matin tranquille,
Là où le ciel embrasse l’horizon,
Se dessine l’histoire d’une créature,
Le Phénix, symbole de résurrection.
Ses ailes aux couleurs de l’arc-en-ciel,
Flamboient comme des braises vives,
Chaque plume, un souffle de vie,
Chaque battement, un espoir qui dérive.
Au cœur de l’ardente représentation,
Un feu sacré brûle sans fin,
Consumant les peines et les désillusions,
Transformant le vieux en chemin divin.
Le Phénix, dans sa danse flamboyante,
Se mêle aux cendres de son passé,
De la désolation, naît l’ascendance,
Une mélodie de renouveau à embrasser.
Oh ! Toi, voyageur des temps immémoriaux,
Ton existence est un refrain éternel,
Dans le crépuscule, tu trouves l’écho,
D’une saga écrite dans le ciel.
Brisant le silence de la nuit,
Ton chant résonne dans les âmes meurtries,
Tissant des rêves à la lueur des étoiles,
Éclairant les ombres, soignant les blessures.
Les âmes perdues au gré des tempêtes,
Se rassemblent autour de ta lumière,
Elles tiennent espoir, dans leurs cœurs, elles s’entêtent,
À croire que demain sera moins amer.
Tu es l’artisan du jour levant,
Le phare des désespérés, des égarés,
Avec toi, les lieux sombres deviennent rieurs,
Et chaque pleur, une perle à savourer.
Dans ce cycle où l’on s’épuise,
Où chaque fin semble être une trahison,
Ta résilience, ô Phénix, s’impose,
Comme un mantra d’une douce raison.
Au creux de l’hiver, quand tout semble stagner,
Quand les doutes s’accumulent en silence,
Tu es là, prêt à embraser,
Les torrents d’espoir, la magnifique danse.
Renaître de ses cendres, éternelle promesse,
C’est l’essence même de ton voyage,
Un être flamboyant délaisse la tristesse,
Pour bâtir un avenir sans outrage.
Les échecs, des étoiles dans la nuit,
Des leçons précieuses à nulles autres pareilles,
Chaque chute, une chance d’être ébloui,
Par la beauté de l’éveil que tu veilles.
Au plus haut des cieux, tu tournoies,
Gravant dans l’azur ton empreinte dorée,
Le cours des saisons t’est un témoignage,
De la beauté qui jaillit de l’effacée.
Le monde t’admire, ancêtre des chênes,
Qui, de ses racines, nourris tout Paris,
Chantaient les louanges d’une danse sereine,
Où chaque pas magnifie la vie.
Où es-tu, ô noble Phénix, en ces temps incertains,
Quand la peur tisse des toiles de désespoir ?
Laisse-moi, dans l’aube d’un lendemain,
Renaître par ta flamme, me sortir du noir.
À chacun de nous, tu offres ton reflet,
L’inspiration pour un lendemain flamboyant,
Car sous chaque néant, une lueur attend,
Le chant du Phénix, doux et puissant.
Rappelle-nous que vivre est un voyage,
Que chaque fin cache un nouveau destin,
Dans les cendres, brille un message,
Celui de l’honneur, du courage sans fin.
Car chaque âme est un minerai précieux,
Foré par la souffrance, poli par l’espoir,
Le Phénix, avec grâce, nous montre les lieux,
Où l’on renaît, où l’on peut s’asseoir.
Ainsi voyageons, portés par ton souffle,
Empruntons les sentiers de l’éternité,
Chaque cicatrice, un hommage, une preuve,
Que de la douleur, l’amour va briller.
Et dans ce ballet des ombres et de la lumière,
Nous dansons, apprenant à nous lever,
Car après l’hiver, inéluctablement,
Arrive le printemps, tant aimé.
Écho de l’ancien, créateur de l’ici,
Tu es un murmure qui nous accompagne,
Dans le chant du Phénix, la mélodie de la vie,
Chaque cœur a besoin d’un brin d’éloquence.
Réveillons nos flammes, embrasons nos âmes,
Car nous sommes tous faits du même tissu,
Le Phénix redonne élan, efface les drames,
Et nous montre qu’il suffit de croire aux avenues.
Alors, épanouissons-nous en honorant notre essence,
Célébrant chaque instant, chaque expérience,
Car le monde est vaste, rempli de nuances,
Et dans nos luttes, réside notre danse.
Ainsi, d’une cendre à l’autre, un cycle s’achève,
Renaître, c’est vivre, c’est l’art du voyage,
Le Chant du Phénix, un élan sans trêve,
Nous rappelle l’amour, l’espoir et le courage.
Sordides échos du passé, échos du futur,
Dans notre être résonne cette vérité,
Que le Phénix, toujours frais et sûr,
Symbolise l’éternelle beauté de la variété.
N’ayons plus peur des cendres qui recouvrent,
Car de l’obscurité, tout renferme une promesse,
Et grâce à lui, nous osons découvrir,
Que de l’ardent feu, jaillit la tendresse.
Renaître chaque jour comme un art,
Se libérer des chaînes, trembler encore,
Pour écrire l’histoire du départ,
Et s’élever ensemble vers le fort.
Ainsi chante le Phénix sans fin,
Renaissant dans cet orange matin,
Gardons en nous ce joyau précieux,
Car vivre, c’est renaître, c’est lumineux.
Ce poème inspire à embrasser le changement et à reconnaître que dans chaque fin se trouve le germe d’un nouveau commencement.
